Image du jour (2015 à 2017)

Il ya quelques jours, une brillante boule de feu a été photographiée dans les Alpes Suisses. La boule de feu, provenant probablement de la pluie d'étoiles filantes des Taurides, était remarquable non seulement par son éclat, mais par la rare lueur orange qu'elle a créé et qui a perduré plusieurs minutes.
La photo ci-dessus a été acquise en essayant d'imager la célèbre nébuleuse d'Orion, visible sur la partie supérieure gauche. La vive étoile bleue Rigel de la constellation d'Orion est visible sur la droite.
Cette semaine, la pluie d'étoiles filantes des Taurides continue d'être active même si elle a dépassé son pic, tandis que la pluie des Léonides, plus active, est juste à son apogée.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2015)

La nébuleuse du Pélican se transforme lentement. IC 5070, sa désignation officielle, est séparée de la grande nébuleuse d'Amérique du Nord par un nuage moléculaire rempli de poussière sombre. Cependant le Pélican est très étudié pour l'évolution des nuages de gaz et par le fait que c'est une région de formation d'étoiles particulièrement active.
L'image ci-dessus a été produite en trois couleurs spécifiques - la lumière émise par le soufre, l'hydrogène et l'oxygène - qui peut nous aider à mieux comprendre ces interactions. La lumière de jeunes étoiles énergétiques transforme lentement le gaz froid en gaz chaud, avec la limite entre les deux, connue comme le front d'ionisation, visible dans en orange vif sur la droite.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2015)

Là, elle souffle ! Une impressionnante démonstration de la façon éphémère de certains jets de comètes a été fournie par la sonde Rosetta en orbite autour du noyau de la comète 67P/Churyumov-Gerasimenko. L'animation de trois images ci-dessus représente des changements dans la comète en rotation.
Alors que les comètes s'approchent du Soleil, elles produisent de longues et belles queues qui se diffusent à travers le système solaire interne. Comment les jets produisent ces queues de comète est un sujet de recherche - aidé par de telles images.
La comète 67P a un diamètre d'environ quatre km, tourne autour du Soleil entre la Terre et Jupiter, et la sonde Rosetta de l'ESA y est en orbite depuis août 2014.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2015)

Centaurus A, la galaxie active la plus proche de la Terre, est à seulement 11 millions d'années-lumière de nous. S’étendant sur plus de 60.000 années-lumière, la galaxie elliptique particulière est également connue comme NGC 5128.
Sculptée lors d’une collision de deux galaxies dites normales, le fantastique pêle-mêle de jeunes amas d'étoiles bleues, de régions de formation d’étoiles, et d’imposantes bandes sombres de poussière sont vus dans l’image ci-dessus dans un remarquable détail.
Le portrait coloré de la galaxie est une combinaison de données obtenues par des télescopes au sol et en orbite terrestre.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2015)

Les étoiles filantes appelées Léonides sont tombées sur la planète Terre cette semaine, la pluie annuelle de débris poussiéreux de la comète 55P/Tempel-Tuttle abandonnés sur notre orbite. L'image composite ci-dessus a été faite dans le sud de l'Ontario.
Enregistré avec un appareil photo sur trépied, les poses individuelles ont capturé l'activité des brillants météores tout au long de la nuit du 16 au 17 novembre dernier, environ un jour avant le pic de l'essaim météoritique. Quelques Taurides, également actives en novembre, semblent s'être invitées sur l'image.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2015)

Suite à une ancienne collision entre galaxies à 200 millions d'années-lumière de la Terre, les débris d'une galaxie riche en gaz, NGC 5291, ont été éjectés loin dans l'espace intergalactique. NGC 5291 et le probable intrus, connu comme la galaxie du Coquillage, sont près du centre de l'image dans cette scène spectaculaire.
L'image ci-dessus, issue d'un télescope basé au sol, regarde vers l'amas de galaxies Abell 3574 dans la constellation australe du Centaure. Le long des longues queues de marée gravitationnelle, s'étirant sur 100.000 année-lumière, sont des amas de galaxies naines qui sont dépourvues de vieilles étoiles et dominées par de jeunes étoiles et d'actives régions de formation d'étoiles.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2015)

Cette lune est condamnée. Mars, la planète rouge appelée du nom du dieu romain de la guerre, a deux lunes minuscules : Phobos et Deimos, dont les noms sont dérivés du grec pour la crainte et la terreur. La lune la plus grande, Phobos, est visible dans l’image ci-dessus prise par le vaisseau spatial Mars Reconnaissance Orbiter, enregistrée à une résolution d'environ 7 m par pixel.
Mais Phobos orbite si près de Mars - environ 5.800 kilomètres au-dessus de la surface (comparée aux 400.000 km environ pour notre Lune) - que les forces de marée gravitationnelles l'entraînent vers le bas. Dans 100 millions d'années, Phobos sera probablement brisée par l'effort provoqué par les contraintes de marée implacables, les débris formeront alors un anneau autour de Mars ou s'écraseront à la surface de la planète.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2015)

La constellation d'Orion c'est beaucoup plus que trois étoiles alignées. C'est une région dans l'espace qui est riche en nébuleuses impressionnants. Pour mieux apprécier cet endroit bien connu du ciel, de nombreuses poses ont été prises au cours de plusieurs nuits claires en 2013 et 2014. Après 212 heures cumulées et une année supplémentaire pour le traitement, l'image ci-dessus cumule 1400 poses et couvre plus de 40 fois le diamètre angulaire de la Lune.
Parmi les nombreux détails intéressants devenus visibles, celui qui attire particulièrement l'œil est la Boucle Barnard. En haut à gauche, on voit les nébuleuses de la Rosette, du Cône et de la Fourrure de Renard. En bas à droite, près de l'étoile Rigel, on voit la nébuleuse de la Tête de la Sorcière. Les autres célèbres nébuleuses visibles incluent la nébuleuse de la Flamme et la relativement faible Tête de Cheval.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2015)

Les aurores se produisent généralement au-dessus des nuages. La lueur aurorale est créé lorsque des particules éjectés du Soleil se déplaçant rapidement, percutant la magnétosphère terrestre, et se déplaçant en spirale le long du champ magnétique de la Terre rencontrant les atomes et les molécules de la haute atmosphère.
La partie la plus basse d'une aurore va généralement se produire à 100 km d'altitude, alors que la plupart des nuages existent habituellement en-dessous à environ 10 km. Les hauteurs relatives des nuages et des aurores sont clairement présentés dans l'image ci-dessus prise à Dyrholaey, en Islande.

Source : Astronomy Picture of the Day


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Ces fosses inhabituelles sur Pluton ont été découvertes au cours de survol de la sonde New Horizons de la planète naine en juillet dernier. Les plus grandes fosses couvrent un kilomètre de diamètre et ont une profondeur de dizaines de mètres dans un lac d'azote gelé, un lac qui étend sur Sputnik Planum, une partie de la célèbre région en forme de cœur de couleur claire appelé Tombaugh Regio. L'absence de cratères d'impact indique que ces fosses se sont formées relativement récemment.
Même si la sonde New Horizons est maintenant en route vers une nouvelle destination, elle continue à renvoyer sur Terre de nouvelles images et données de sa rencontre avec Pluton.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2015)

L'horizon de la planète Terre s'étend à travers ce récent portrait du groupe de planète du système solaire, vu de l'Observatoire de Las Campanas au Chili, dans l'hémisphère sud. Pris avant l'aube, il retrace l'écliptique avec un alignement familier pour les lève-tôt du mois de novembre.
Vers l'est, on peut voir les planètes Vénus, Mars et Jupiter, ainsi que l'étoile alpha de la constellation du Lion, Régulus. Les planètes sont immergées dans la faible lueur de la lumière zodiacale, visible depuis ce site sombre.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2015)

La théorie générale de la relativité d'Einstein, publié il y a 100 ans ce mois-ci, a prédit le phénomène de lentille gravitationnelle. C'est ce qui donne à ces galaxies lointaines une telle apparence fantaisiste, vue à travers des données en rayons X et en lumière visible provenant des télescopes spatiaux Chandra et Hubble.
Surnommé le groupe de galaxies Cheshire Cat, deux grandes galaxies elliptiques du groupe sont encadrées par des arcs suggestifs. Les arcs sont des images optiques de lointaines galaxies d'arrière-plan déformées par l'effet de lentille gravitationnelle généré par la masse du groupe de galaxies au premier plan dominé par la matière noire.
Le groupe du Chat de Cheshire sourit dans la constellation de la Grande Ourse, à quelque 4,6 milliards d'années-lumière de distance.

Source : Astronomy Picture of the Day


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Sans véritable éclat, la comète 67P/Churyumov-Gerasimenko, accompagnée de la sonde Rosetta, se déplace lentement dans le ciel de la planète de la Terre avant l'aube près de l'alignement de planètes le long de l'écliptique.
Cette image composite télescopique suit les progrès de la comète alors qu'elle s'éloigne au-delà de l'orbite de Mars, de fin septembre (à gauche) jusqu'à la fin de novembre (à droite). On peut voir sa coma et sa faible queue étendue sur fond d'étoiles colorées près de la bordure orientale de la constellation du Lion.

Source : Astronomy Picture of the Day


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Des groupes de rides brunes, ressemblant à des arbres, ont été photographiés par Mars Reconnaissance Orbiter sur les dunes de sable rosâtre couvertes de givre en train de fondre.
L'image ci-dessus a été prise en avril 2008 près du pôle nord de Mars. À ce moment-là, le sable sombre à l'intérieur des dunes martiennes est devenu de plus en plus visible pendant que le Soleil printanier faisait fondre la légère couche de glace d'anhydride carbonique. Quand cela se produit près du sommet de la dune, le sable noire peut dévaler vers le bas laissant des rides sombres parallèles à la pente. Pour preuve que ce ne sont pas des arbres, il n'y a pas d'ombre. Ceci indique que les stries sombres sont collées au sol.

Source : Astronomy Picture of the Day


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La magnifique galaxie spirale NGC 3521 se trouve à seulement 35 millions d'années-lumière de nous, vers la constellation du Lion. S'étendant sur environ 50.000 années-lumière, sa région centrale est montrée dans cette image construite à partir des données d'archives de Hubble Legacy. La vue en gros plan accentue les multiples bras spiraux inégaux, irréguliers et remplis de poussière et d'amas de jeunes étoiles bleues.
NGC 3521 est facilement visible dans de petits télescopes, mais souvent négligé par les amateurs qui lui préfèrent d'autres galaxies spirale de Lion, comme M66 et M65.

Source : Astronomy Picture of the Day


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Riche en amas d'étoiles et en nébuleuses, l'antique constellation du Cocher (Auriga) monte haut dans le ciel d'hiver de l'hémisphère nord. Image composite réalisée à partir de filtres et couvrant près de 8 pleines Lunes (4°) sur le ciel, ce point de vue télescopique montre quelques-uns des beautés célestes du Cocher.
Le champ comprend la région d'émission IC 405 (en haut à gauche) à environ 1.500 années-lumière de distance, aussi connu comme la nébuleuse de l'Etoile Flamboyante. IC 410 (en haut à droite) est beaucoup plus lointain, à quelques 12.000 années-lumière. La région de formation d'étoiles est célèbre pour son amas intégré de jeunes étoiles, NGC 1893, et ses nuages de poussière et de gaz en forme de têtard. IC 417 et NGC 1931, en bas à droite, appelés l'Araignée et la Mouche, sont également des amas de jeunes étoiles qui se situent bien au-delà de l'amas IC 405. L'amas d'étoiles NGC 1907 est tout en bas du cadre, juste à droite du centre.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2015)

Le cadre est la baie de San Francisco, le moment est au coucher du Soleil et le pont est le Golden Gate. Ce que vous allez voir est un double coucher de Soleil inattendu se terminant avec un rare rayon vert.
Dans la séquence enregistrée en time-lapse, l'air exceptionnellement chaud, créé par le trafic de pont, et les nuages engendrent ce mirage. La scène se termine avec l'atmosphère turbulente et épaisse de la Terre ne laissant passer que la partie la plus énergétique de la lumière, créant ainsi le fugace rayon vert.

Source : Astronomy Picture of the Day


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La lune glacée de Saturne, Encelade, pose juste au-dessus des anneaux de la géante gazeuse dans cette image de la sonde Cassini. La scène a été capturée le 29 juillet dernier, tandis que Cassini croisait juste en dessous du plan des anneaux, ses caméras regardant en arrière dans une direction presque directe au Soleil à environ 1 million de kilomètres du brillant croissant de la lune. D'un diamètre de 500 km, Encelade est une lune étonnamment active. On voit parfaitement ses geysers au pôle sud.
En fait, les données et les images recueillies, lors des survols de Cassini pendant des années, ont récemment révélées la présence d'un océan d'eau liquide sous la croûte glacée de cette lune.

Source : Astronomy Picture of the Day


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Ces nuages de gaz et de poussière dérivent à travers de riches champs d'étoiles le long du plan de notre Voie Lactée vers la constellation du Cygne. Pris dans le champ de vue télescopique sont la Bulle de Savon (en bas à gauche) et la nébuleuse du Croissant (en haut à droite) qui se situent toutes deux à environ 5.000 années-lumière. Toutes deux ont été formées à une phase finale dans la vie d'une étoile.
Aussi connu sous le nom de NGC 6888, le Croissant a été façonné par sa brillante étoile Wolf-Rayet centrale, WR 136, qui s'est débarrassé de son enveloppe extérieure dans un fort vent stellaire et qui, proche de la fin de sa courte vie, devrait finir dans une spectaculaire explosion en supernova. Découvert plus récemment, la nébuleuse de la Bulle de Savon est probablement une nébuleuse planétaire, le linceul final d'une étoile d'une masse inférieure, comme notre soleil, destinée à devenir une naine blanche en refroidissant lentement.

Source : Astronomy Picture of the Day


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La mission de traque d'exoplanète Kepler a confirmé plusieurs systèmes planétaires, soit 1705 mondes en orbite autour de 685 étoiles lointaines. Mettez toutes ces orbites d'exoplanètes sur la même échelle et suivez leurs mouvements orbitaux relatifs pour obtenir Kepler Orrery IV.
Dans la vidéo ci-dessus, pour rendre les planètes visibles, leurs tailles ne sont pas représentées à l'échelle saut les orbites des planètes dans le Système Solaire (lignes pointillées). Bien sûr, Kepler utilise transits planétaires pour détecter des exoplanètes, à la recherche d'une légère variation de la lumière quand la planète passe devant son étoile. Les orbites du système multi planétaire de Kepler sont tous orientées de façon à mettre les transits observés à la position trois heures. Les couleurs indiquent la température de surface estimée de la planète en fonction de sa taille, de son orbite et de son étoile-mère.

Source : Astronomy Picture of the Day


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Cette petite boule apporte la preuve que l'Univers va s'étendre indéfiniment. Mesurant un peu plus d'un dixième de millimètre, la bille se déplace vers une plaque lisse en réponse à l'énergie des fluctuations quantique dans le vide de l'espace. L'attraction est connu sous le nom de l'effet Casimir, du nom de son découvreur, qui, il ya 55 ans, essayait de comprendre pourquoi les fluides comme la mayonnaise se meuvent si lentement.
Aujourd'hui, la preuve indique que la plupart de la densité d'énergie dans l'Univers est sous une forme inconnue surnommée l'énergie noire. La forme et la genèse de l'énergie noire est presque totalement inconnu, mais on pense que c'est lié à des fluctuations du vide semblables à l'effet Casimir, mais générées en quelque sorte par l'espace lui-même. Cette vaste et mystérieuse énergie noire semble repousser gravitationnellement toute la matière et donc est susceptible de causer l'expansion perpétuelle de l'Univers.

Source : Astronomy Picture of the Day


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La comète Catalina est prête pour son gros plan. La boule de neige sale géante du système solaire externe, connue officiellement comme C/2013 US10 (Catalina) qui a viré près du Soleil le mois dernier, se dirige maintenant vers son point le plus proche de la Terre en janvier.
La comète Catalina n'est pas décevante. Bien que moins brillante que les premières prédictions, la comète possède deux queues, une de poussière (en bas à gauche) et d'ions (en haut à droite), ce qui en fait un objet impressionnant pour des jumelles et appareil photo longue pose. L'image ci-dessus a été prise la semaine dernière aux îles Canaries, au large de la côte nord-ouest de l'Afrique.

Source : Astronomy Picture of the Day


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Les légendes se heurtent dans cette vue mêlant la terre, la mer et le ciel. La terre est l'Islande, spécifiquement Vík í Mýrdal, un village du Sud connue pour ses belles plages de sable noir. La mer, c'est l'océan Atlantique, cernant les Reynisdrangar, des piliers de roches basaltiques érodées, que le folklore islandais désigne comme les restes pétrifiés de trolls ayant tentés en vain de faire glisser un trois-mâts sur le sable. Dans le ciel, brille en haut à droite le dieu du ciel Jupiter selon la mythologie romaine (Zeus chez les Grecs). Aussi visible dans le ciel sont plusieurs autres légendes grecques sous forme de constellations : un lion(Leo), un gros ours (Ursa Major) et un serpent d'eau (Hydra).
Tout ce tumulte pourrait avoir été la cause de la spectaculaire aurore – mais en réalité c'est juste une éruption en provenance du Soleil.

Source : Astronomy Picture of the Day


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La planète naine Cérès est le plus grand objet de la ceinture principale d'astéroïdes du système solaire avec un diamètre d'environ 950 km. En orbite de Cérès depuis mars dernier, la caméra de la sonde Dawn a révélé environ 130 mystérieuses taches brillantes, la plupart du temps associés à des cratères d'impact dispersés autour de la surface sombre du petit monde.
La plus brillante est au centre du cratère Occator qui fait 90 km de large, et qui est visible dans cette photo en fausses couleurs combinant les données d'image en proche infrarouge et en lumière visible. Une étude tendrait à penser que ces taches seraient probablement composées d'un type de sulfate de magnésium appelé hexahydrite. Ce sulfate de magnésium est également connu des habitants de la Terre comme le sel d'Epsom.

Source : Astronomy Picture of the Day


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Entre ces deux grandes galaxies, se battant en duel, un pont cosmique d'étoiles, de gaz et de poussière s'étend actuellement à plus de 75.000 années-lumière et les lie. Le pont est une preuve que ces deux immenses univers-îles sont passé l'un près de l'autre induisant de violentes forces de marées gravitationnelles. Comme preuve supplémentaire, la galaxie spirale vue de face sur la droite, aussi connu comme NGC 3808A, présente de nombreux amas de jeunes étoiles bleues produits dans un éclat de formation d'étoiles. La spirale de gauche (NGC 3808B) semble être enveloppée dans la matière qui relie les galaxies et semble entourée par un curieux anneau polaire.
Ensemble, le système est connu comme Arp 87 et se situe à 300 millions d'années-lumière en direction de la constellation du Lion. Bien que de telles interactions se déroulent sur des milliards d'années, des passages répétés à proximité devraient finalement conduire à la fusion des galaxies en une seule.

Source : Astronomy Picture of the Day


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