Image du jour (2018 à 2020)

Près du centre de ce portrait cosmique, au cœur de la nébuleuse d'Orion, sont quatre chaudes étoiles massives connues sous le nom de Trapèze. Concentrées dans une région autour de 1,5 année-lumière de rayon, elles dominent le cœur du dense amas d'étoiles de la nébuleuse d'Orion.
Il y a environ trois millions d'années, l'amas était encore plus compact dans ses jeunes années et une étude dynamique indique que les collisions stellaires à un âge plus précoce pourraient avoir formé un trou noir de plus de 100 fois la masse du Soleil. La présence d'un trou noir au sein du l'amas pourrait expliquer les vitesses élevées observées des étoiles du Trapèze. A la distance de la nébuleuse d'Orion de quelques 1.500 années-lumière, il serait le trou noir le plus proche connu de la planète Terre.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2018)

Il y a quelque chose d'inhabituel dans cette photographie orientée vers le ciel. Ce n'est pas évident - elle n'a été découverte que pendant le post-traitement.
Ce n'est pas la Lune, capturé alors qu’elle se lève lors d’une éclipse totale. Ce n'est pas Mars, que l'on trouve en bas à droite de la Lune. (Mars est visible presque toute la nuit ce mois-ci). Ce ne sont pas les montagnes au premier plan, bien que les Alpes françaises offrent des perspectives spectaculaires sur la planète Terre. C'est la chèvre.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2018)

Mars est également connue sous le nom de la Planète Rouge, souvent vue avec une teinte rougeâtre dans le ciel nocturne sombre. Mars brille de tous feux en haut à gauche de cette magnifique vue matinale depuis Mornington Peninsula, Victoria, en Australie, mais la Lune et la planète Terre semblent encore plus rouges qu’elle.
Pris le 27 juillet, la Lune totalement éclipsée se couche. Elle a l'air rougi parce que l'ombre de la Terre n'est pas complètement sombre. Au lieu de cela, l'ombre de la Terre est imprégnée d'une faible lumière rouge provenant du lever de soleil de la planète, vue depuis la perspective d'une lune éclipsée. Les couchers de soleil et les levers de soleil sont rougis parce que l’atmosphère de la Terre disperse la lumière bleue plus fortement que le rouge, créant ainsi le faible ciel crépusculaire bleuâtre. Bien sûr, les rochers escarpés du bord de mer prennent également les couleurs rouges de ce lever de soleil australien.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2018)

La grande et belle galaxie spirale NGC 6744 a un diamètre de près de 175.000 années-lumière, bien plus grande que notre propre galaxie, la Voie Lactée. Elle se trouve à quelques 30 millions d'années-lumière de la Terre dans la constellation australe du Paon. Nous voyons le disque de l'univers-île inclinée vers notre ligne de mire. Cette orientation et composition donnent un effet de profondeur à ce portrait galactique colorée qui couvre une superficie de la taille angulaire de la pleine Lune.  
Au delà du noyau jaunâtre, les bras spiraux sont remplis d’amas de jeunes étoiles bleutées et mouchetés régions de formation d'étoiles roses. Un bras étendu balaye une galaxie satellite plus petite en haut à gauche. Le compagnon galactique de NGC 6744 rappelle la galaxie satellite de la Voie Lactée, le Grand Nuage de Magellan.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2018)

Il y a 4 semaines à peine, un ciel sombre au-dessus du désert dans le nord de l'Iran offrait cette vue céleste séduisante. La mosaïque numérique spectaculaire trouve la Lune et Mars à côté des ruelles poussiéreuses, des étoiles et des nébuleuses de la Voie Lactée. Capturé à travers une série de poses couvrant une gamme de luminosité, cette nuit-là la pleine Lune est immergée dans l'ombre de la Terre. Elle apparaît en fait plus faible et plus rouge que la planète rouge elle-même lors de l’éclipse totale de la Lune largement surveillée.
Pour les touristes cosmiques, le paysage comprend également les nébuleuses de la Lagune (M8) et Trifide (M20), et la planète Saturne qui brillent contre la pâle lumière étoilée de la Voie Lactée.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2018)

Pendant des poses photographiques sur la galaxie d'Andromède en 2016, près du pic de la pluie des Perséides, un caillou de la taille d'un grain de sable, venu de l'espace profond, a traversé juste devant le compagnon lointain de notre galaxie, la Voie lactée. Le petit météore a pris seulement une fraction de seconde pour passer à travers ce champ de 10°. Il a éclaté à plusieurs reprises pendant le freinage violent qu'il a subi en entrant dans l'atmosphère terrestre.
Bien que l'exposition ait été programmée pour attraper une Perséides, l'orientation de la série imagée semble en meilleure adéquation avec un météore des Delta Aquarides du Sud, une pluie de météorites qui a culminé quelques semaines plus tôt.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2018)

À 500.000 km/h, l'onde de choc d'une supernova courre à travers l'espace interstellaire. Cette onde de choc est connue sous le nom de la nébuleuse du Crayon, ou NGC 2736. D'une longueur de 5 années-lumière et à 800 années-lumière de nous, elle fait partie du rémanent de supernova des Voiles, une coquille de gaz en expansion d'une étoile qui a explosé il y a environ 11.000 ans.
Dans l'image à large bande, à champ large, les couleurs rouge et bleue suivent respectivement l'éclat caractéristique des atomes d'hydrogène et d'oxygène ionisés.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2018)

Y a-t-il un pont de gaz reliant ces deux grandes galaxies ? Très probablement, mais il est difficile d'être sûr. M86 en haut à gauche est une galaxie elliptique géante près du centre de l’amas de galaxies voisin. Notre galaxie de la Voie Lactée est en train de tomber vers l’amas de la Vierge, située à environ 50 millions d'années-lumière. En bas à droite de M86 se trouve la galaxie spirale inhabituelle NGC 4438, qui, avec le voisin angulaire NGC 4435, est connue sous le nom des Yeux de Markarian (également Arp 120).
Voici une des images les plus profondes de la région, indiquant que le gaz brillant entoure M86 et le relie apparemment à NGC 4438. L'image couvre la taille de la pleine Lune. Il est également connu, cependant, que le gaz cirrus dans notre propre galaxie se superpose devant le groupe de la Vierge, et les observations de la faible vitesse de ce gaz semblent plus cohérentes avec cette hypothèse d’origine de la Voie Lactée.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2018)

L'un des principaux objectifs de la mission de Parker solar Probe (PSP) sur le Soleil est d'accroître la compréhension de l'humanité des éruptions du Soleil qui ont un impact sur les satellites et les réseaux électriques de la Terre. Avant cela, les années passeront avant que la sonde PSP ait suffisamment d’énergie orbitale pour s'approcher du Soleil, contournant Vénus sept fois. A terme, la sonde PSP devrait passer dangereusement près du Soleil, à moins de 9 rayons solaires. À cette distance, la température sera de 1.400°C du côté du bouclier solaire de la PSP - suffisamment chaude pour faire fondre de nombreuses formes de verre.
Sur la photo ci-dessus, le lancement nocturne de la PSP à bord de la fusée Delta IV Heavy des United Launch Alliances, du dimanche matin 12 août.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2018)

Le bref éclair d'une brillante météorite des Perséides se dessine dans la partie supérieure droite de l’image composite faite tôt dimanche matin près du pic de la pluie annuelle de météores des Perséides. Installé à environ 3 km du Space Launch Complex 37 à la base aérienne de Cap Canaveral, le photographe a également capturé la longue piste de quatre minutes d’une fusée Delta IV Heavy qui transportait la sonde solaire Parker dans le ciel sombre du matin. Les météores perséides ne sont pas lents. Les grains de poussière provenant de la comète périodique Swift-Tuttle se vaporisent à mesure qu'ils se déplacent dans la haute atmosphère terrestre à environ 60 km/s (214.000 km/h).
En route vers notre étoile, l’approche au plus près du Soleil de Parker Solar Probe diminuera progressivement pour finalement atteindre une distance de 6,1 millions de kilomètres. C'est à peu près 1/8 de la distance entre Mercure et le Soleil, et à l'intérieur de la couronne solaire, l'atmosphère extérieure ténue du Soleil. À ce moment-là, il parcourra environ 190 km/s (692.000 km/h) par rapport au Soleil, un record pour le satellite le plus rapide depuis la planète Terre.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2018)

Entourée d'une atmosphère épaisse, la plus grande lune de Saturne, Titan, est vraiment difficile à voir. Les petites particules en suspension dans la haute atmosphère provoquent un voile presque impénétrable, diffusant fortement la lumière à des longueurs d'onde visibles et masquant les caractéristiques de surface de Titan des regards indiscrets. Cependant, la surface de Titan est mieux représentée aux longueurs d’ondes infrarouges où la diffusion est plus faible et l’absorption atmosphérique réduite.
Présentées autour de cette image de lumière visible centrée de Titan, les vues infrarouges globales les plus claires de la lune en fausses couleurs présentent un traitement cohérent de 13 années de données d'image infrarouge provenant du spectromètre de cartographie visuelle et infrarouge (VIMS) à bord du vaisseau spatial Cassini. Ils offrent une comparaison étonnante avec la vue de la lumière visible de Cassini.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2018)

De quelle sorte de nuages s'agit-il ? Bien que leur formation soit actuellement inconnue, ces étranges structures atmosphériques, aussi menaçantes qu'elles puissent paraître, ne semblent pas être des signes avant-coureurs de fléaux météorologiques.
Connue sous le nom d'asperatus ondulatus, ces nuages, aussi magnifiques que rares, sont relativement peu étudiés et ont même été suggérés comme nouveau type de nuage. On pense que les nuages asperatus sont une variante des nuages lenticulaires qui se forment en montagne, ou les mammatus associés aux orages, ou peut-être dus au vent de foehn (un type de vent sec qui souffle le long du flanc des montagnes). L'image ci-dessus a été prise au-dessus de Hanmer Springs à Canterbury, Nouvelle-Zélande, en 2005.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2018)

Pourquoi le soleil est-il si calme ? Comme le Soleil entre dans une période appelée minimum solaire, il présente, comme prévu, moins de taches solaires et de régions actives que d'habitude. La tranquillité est quelque peu troublante, cependant, car depuis le début de cette année, la plupart des jours ne montrent aucune tache solaire. En revanche, de 2011 à 2015, pendant le maximum solaire, le soleil a affiché des points à peu près tous les jours.
Les maxima et minima se produisent sur un cycle de 11 ans, le dernier minimum solaire étant le plus silencieux du siècle. Ce minimum solaire actuel ira-t-il encore plus loin ? Même si l'activité du Soleil affecte la Terre et ses environs, personne ne sait avec certitude ce que le Soleil fera ensuite, et la physique derrière les processus reste un sujet de recherche actif. L'image ci-dessus a été prise il y a trois semaines et montre que notre Soleil est occupé même par une journée calme. Les protubérances du plasma chaud, certaines plus grandes que la Terre, dansent continuellement et sont plus facilement visibles sur le bord.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2018)

Des étoiles se forment dans l'âme de la Reine d'Ethiopie. Plus précisément, une grande région de formation d'étoiles, appelée la nébuleuse de l'Âme (IC 1898), se trouvent dans la constellation de Cassiopée. Cette nébuleuse de l'Âme abrite plusieurs amas ouverts d'étoiles, une source radio appelée W5 et d'énormes bulles soufflées par les vents énergétiques des jeunes étoiles massives.
Située à environ 6.500 années-lumière de nous, la nébuleuse de l'Âme s'étend sur environ 100 années-lumière et est généralement imagée à côté de son voisin céleste la nébuleuse du Cœur (IC 1805). L'image présentée ci-dessus est un composite de trois expositions de différentes couleurs : rouge émise par l'hydrogène, jaune par le soufre et bleue par l'oxygène.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2018)

Ce grand diamant spatial a une valeur estimée à plus de 80 milliards de dollars. Il ne s'agit que de diamants, mais on pense que l'astéroïde 162173 Ryugu est composé principalement de nickel et de fer. Les astéroïdes comme Ryugu sont intéressants pour plusieurs raisons, peut-être avant tout parce qu’ils sont proches de la Terre et qu’ils pourraient, un jour, constituer une menace. Mais aussi car il pourrait être possible d’envoyer de futurs engins spatiaux pour l’exploiter, fournissant ainsi à l’humanité une nouvelle source de métaux précieux. Scientifiquement, Ryugu est intéressant car il contient des informations sur la façon dont notre système solaire s’est formé il ya des milliards d’années et pourquoi son orbite se rapproche de la Terre.
La sonde japonaise Hayabusa2 vient d'arriver à cet astéroïde d'un kilomètre de large fin juin. L'image présentée montre des structures de surface inconnues avant l'arrivée de Hayabusa2, notamment des champs de roche et des cratères. Dans les trois prochains mois, Hayabusa2 devrait lancer plusieurs sondes, dont certaines vont atterrir sur Ryugu et se déplacer, tandis que Hayabusa2 elle-même exploitera un petit peu de l'astéroïde avant de retourner sur Terre.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2018)

Le coma verdâtre de la comète 21P/Giacobini-Zinner se distingue à gauche de ce paysage au téléobjectifs de plus de 10° vers les constellations nordiques de Cassiopée et de Persée. Capturé le 17 août, la comète périodique est le corps parent connu de la future pluie de météorites des Draconide. Prévue pour être la plus brillante le mois prochain, la comète est en fait au premier plan du riche champ d’étoiles, à seulement 4 minutes de notre planète.
Giacobini-Zinner devrait rester trop faible pour que vos yeux puissent le voir, comme les nébuleuses colorées du Cœur et de l’Âme situées près du centre du champ de vision de l'appareil photo numérique. Mais la paire de groupes d'étoiles ouvertes à droite, le double amas de Persée, peut être vue à l'œil nu dans des endroits sombres.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2018)

La belle nébuleuse Trifide, également connue sous le nom de Messier 20, est facile à trouver avec un petit télescope dans la constellation riche en nébuleuses du Sagittaire. À environ 5.000 années-lumière, l'étude colorée des contrastes cosmiques partage ce champ bien composé de près de 1° avec l’amas d'étoiles ouvertes Messier 21 (en bas à droite).
La Trifide est à environ 40 années-lumière de nous et est âgée de 300.000 ans. Cela en fait l’une des régions de formation d’étoiles les plus jeunes de notre ciel. Les estimations de la distance à l'amas d'étoiles ouvertes M21 sont similaires à celles des M20, mais bien qu'elles partagent ce magnifique paysage télescopique, il n'y a pas de lien apparent entre les deux. En fait, les étoiles de M21 sont beaucoup plus âgées, environ 8 millions d'années.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2018)

La galaxie spirale ESO 137-001 fonce à travers le massif amas de galaxies Abell 3627 à quelques 220 millions d'années-lumière de la Terre. La lointaine galaxie est vue, dans cette image composite colorée de Hubble et Chandra, à travers un premier plan d'étoiles de la Voie Lactée, dans la constellation du Triangle australe.
Comme la spirale avance à près de 7 millions de km/h, son gaz et ses poussières sont arrachés à cause de la pression dynamique créée par sa rencontre avec le milieu intergalactique pourtant peu dense.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2018)

Parfois, les régions de la planète Terre sont illuminées par le feu. Étant donné que le feu est la combustion rapide de l'oxygène, et étant donné que l'oxygène est un indicateur clé de la vie, le feu sur n'importe quelle planète serait un indicateur de la vie sur cette planète. Bien que certains incendies provoquent des tragédies, le feu est considéré comme faisant partie d’un cycle naturel de l'écosystème. Les grands feux de forêts sur la Terre sont généralement causés par la foudre et peuvent être visibles depuis l'orbite.
Dans l’image ci-dessus, des élans abasourdis se sont réfugiés dans une rivière lors d’un incendie de la Bitterroot Valley au Montana, Etats-Unis, en 2000.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2018)

Où étiez-vous pendant la grande éclipse américaine de 2017 ? Il y a un an le mois dernier, plus de 100 millions de personnes en Amérique du Nord étaient sorties pour voir une éclipse partielle ou totale du soleil. On estime que 88% des adultes américains ont vu l’éclipse personnellement ou électroniquement. Parmi les événements les mieux photographiés de l'histoire de l'humanité, les images de l'éclipse comprenaient des vues inhabituelles, telles que des ballons flottant dans la stratosphère terrestre.
Une cinquantaine de ces ballons robotiques ont été lancés dans le cadre du projet Eclipse Ballooning de la NASA. Ci-dessus est une image prise à partir d'une vidéo panoramique à 360° capturée par un tel ballon en altitude dans l'Idaho par des étudiants du Brésil en collaboration avec la NASA et la Montana State University. Sur la photo, l'ombre sombre de la Lune traversait la Terre. Bien que l'éclipse totale ait duré moins de trois minutes, beaucoup de ceux qui l'ont vu peuvent s'en souvenir pour la vie. De nombreux Nord-Américains auront une autre chance de vivre une éclipse solaire totale en 2024.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2018)

À chaque pas, le sable s'allumait en bleu. Cette lueur était la bioluminescence - un rayonnement bleu qui éclaire également les vagues dans cette scène surréaliste capturée le mois dernier à Meyer's Creek Beach, dans l’Oregon, aux États-Unis.
Des piliers volcaniques parsèment la mer du premier plan, tandis qu'une fine couche de brouillard disperse la lumière à l'horizon. Les rayons de lumière se propageant depuis l'horizon gauche ont été créés par les phares de la voiture sur la route côtière de l'Oregon (US 101), tandis que la lumière orange sur l'horizon droit émane d'un bateau de pêche. La bande de notre galaxie de la Voie Lactée, visible au loin, semble surgir d'un affleurement rocheux sombre. Seize images ont été ajoutées pour faire apparaître la voie lactée et réduire le bruit.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2018)

Cette nébuleuse poussiéreuse par réflexion entoure l’étoile pulsante RS Puppis, environ 10 fois plus massive que le Soleil et en moyenne 15.000 fois plus lumineuse. En fait, RS Pup est une étoile variable de type Céphéide : une classe d’étoiles dont la luminosité est utilisée pour estimer les distances des galaxies proches. RS Pup pulse sur une période d’environ 40 jours. Grâce à ses nouvelles mesures de la temporisation et la taille angulaire de la nébuleuse, la vitesse de la lumière connue permet aux astronomes de déterminer géométriquement la distance de RS Pup à 6.500 années-lumière de nous, avec une erreur remarquablement petite de plus ou moins 90 années-lumière.
Un accomplissement impressionnant pour l'astronomie stellaire, et par extension à d’autres Céphéides, améliorant la connaissance des distances des galaxies au delà de la Voie Lactée. Cette image a été prise par le télescope spatial Hubble.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2018)

Étude des contrastes, ce paysage coloré présente des étoiles, de la poussière et du gaz incandescent dans les environs de NGC 6914. Le complexe de nébuleuses par réflexion se trouve à quelque 6.000 années-lumière, vers la constellation du Cygne.
Des nuages de poussière interstellaire obscurcissant apparaissent en silhouette tandis que les nébuleuses par émission d'hydrogène rougeâtre, ainsi que les nébuleuses par réflexion bleues poussiéreuses, remplissent la toile cosmique. Le champ de vision télescopique de près de 1° de largeur couvre environ 100 années-lumière à la distance estimée de NGC 6914.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2018)

Toujours brillant dans le ciel du soir, Mars était juste au-dessus de l'opposition et le plus proche de la Terre le 31 juillet, à seulement 57,6 millions de kilomètres. Capturée une semaine plus tard, cette image remarquable montre le disque de la planète rouge près de sa taille maximale dans les télescopes terrestres, mais toujours à moins de 1/74 du diamètre apparent d'une pleine lune !
De larges ombres de surface régionales commencent à réapparaître dans la vue alors que la dernière tempête de poussière planétaire disparaît. Avec la calotte polaire brillante au sud, le Valles Marineris s'étend le long du centre du disque. Juste en dessous se trouve la région à peu près circulaire de Solis Lacus, parfois connue sous le nom d'Œil de Mars. Alignés à la gauche du centre, trois points noirs importants sont les Tharsis Montes volcaniques.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2018)

Le 23 août 2018, l'identification et la distribution des aérosols dans l'atmosphère terrestre sont illustrées dans cette visualisation spectaculaire à l'échelle de la planète. Produit en temps réel, le modèle GEOS FP de Goddard Earth Observing System s'appuie sur une combinaison de données satellitaires d'observation de la Terre et de données terrestres pour calculer la présence de types aérosols, de minuscules particules solides et de gouttelettes liquides lors de leur circulation, au-dessus de la planète dans sa globalité.
Ce modèle du 23 août montre des particules de carbone noir en rouge provenant des processus de combustion, comme la fumée des incendies aux États-Unis et au Canada, qui se répand sur de vastes étendues en Amérique du Nord et en Afrique. Les aérosols de sel de mer sont en bleu, tourbillonnant au-dessus des typhons menaçants près de la Corée du Sud et du Japon, et de l’ouragan qui se profile près d’Hawaï. La poussière dans les teintes violettes souffle sur les déserts africains et asiatiques. L'emplacement des villes et des villages peut être trouvé à partir des concentrations de lumières basées sur les données d'images satellitaires de la Terre pendant la nuit.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2018)