Image du jour (2021 à 2023)

C'est l'une des roches les plus inhabituelles jamais trouvées sur Mars. Plus petit qu'un sou, le rocher possède plusieurs appendices qui le font ressembler, pour certains, à une fleur. Bien que cela aurait pu être une découverte majeure si la roche était vraiment une ancienne fleur martienne fossilisée, il existe des explications moins spectaculaires – et actuellement préférées – pour sa structure inhabituelle.
Une théorie qui a émergé est que la roche est un type de concrétion créée par des minéraux déposés par l'eau dans des fissures ou des divisions dans la roche existante. Ces concrétions peuvent être compactées ensemble, peuvent être plus dures et plus denses que la roche environnante et peuvent rester même après l'érosion de la roche environnante. La structure de la fleur peut également être causée par des amas de cristaux. Le petit rocher, nommé Blackthorn Salt, présente des similitudes avec les cailloux martiens précédemment imagés. L'image présentée a été prise par le rover Curiosity sur Mars fin février. Les scientifiques continueront d'étudier les données et les images prises de ces surprenantes roches martiennes.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2022)

L’amas d'étoiles globulaires 47 Tucanae est un joyau du ciel austral. Aussi connu sous le nom de NGC 104, il parcourt le halo de notre galaxie de la Voie lactée avec quelque 200 autres amas globulaires. Le deuxième amas globulaire le plus brillant (après Omega Centauri) vu de la planète Terre, il se trouve à environ 13.000 années-lumière et peut être repéré à l'œil nu près du petit Nuage de Magellan dans la constellation du Toucan.
L'amas dense est composé de centaines de milliers d'étoiles dans un volume d'environ 120 années-lumière de diamètre. Les étoiles géantes rouges à la périphérie de l'amas sont faciles à identifier comme des étoiles jaunâtres dans ce portrait télescopique net. L'amas globulaire 47 Tuc abrite également une étoile dont l'orbite est la plus proche connue autour d'un trou noir.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2022)

Vous voulez voir un sourire arc-en-ciel ? Regardez près du zénith (vers le haut) lorsque le soleil est bas dans le ciel et vous pourriez le voir. Cet exemple d'un halo de glace connu sous le nom d'arc circumzénithal a été capturé au-dessus du sommet d'un palmier de Raguse, en Sicile, le 24 février. Les arcs aux couleurs vives sont souvent appelés arcs-en-ciel souriants en raison de leur courbure et de leurs couleurs à l'envers.
Pour les arcs circumzénithaux, le zénith est au centre et le rouge est à l'extérieur, par rapport aux arcs-en-ciel dont les arcs se plient vers l'horizon après une averse. Les vrais arcs-en-ciel sont formés par des gouttelettes d'eau réfractant la lumière du soleil pour produire un spectre de couleurs. Les arcs circumzénithaux sont le produit de la réfraction et de la réflexion dans des cristaux de glace hexagonaux plats, comme les cristaux de glace qui créent des parhélies, formés dans de hauts nuages fins.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2022)

Des constellations hivernales du Nord et un long arc de la Voie lactée se dessinent dans ce paysage nocturne en regardant vers l'océan Pacifique depuis Point Reyes sur la côte californienne de la planète Terre. Sirius, étoile alpha du Grand Chien (Canis Major), domine sous l'arc étoilé vers la gauche. La Bételgeuse jaunâtre d'Orion, Aldebaran du Taureau et l'amas d'étoiles teintées de bleu des Pléiades se trouvent également entre la Voie lactée et l'horizon nord-ouest près du centre de la scène.
Les nébuleuses visibles dans la série d'expositions utilisées pour construire cette vue panoramique ont été capturées début mars, mais sont tout simplement trop faibles pour être vues à l'œil nu. Au cours de cette nuit dans l’hémisphère nord, leur lueur expansive comprend le demi-cercle rougeâtre de la boucle de Barnard d’Orion et NGC 1499 au-dessus et à droite des Pléiades, également connue sous le nom de nébuleuse de Californie.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2022)

Pourquoi le ciel brille comme un arc-en-ciel géant ? Les lumières nocturnes. L'air brille tout le temps, mais il est généralement difficile à voir. Une perturbation cependant - comme une tempête qui approche - peut provoquer des ondulations visibles dans l'atmosphère terrestre. Ces ondes de gravité sont des oscillations dans l'air analogues à celles qui se produisent quand une roche est jetée dans l'eau calme.
La luminescence rouge provient vraisemblablement de molécules OH, à environ 87 km de haut, excitées par la lumière ultraviolette du Soleil, alors que la lumière orange et verte est probablement causée par des atomes de sodium et d'oxygène légèrement plus élevés. Alors qu'il conduisait près du lac Keluke à Qinghai Provence en Chine, le photographe remarqua d’abord et principalement l'impressionnante bande centrale de la Voie Lactée. En s'arrêtant pour la photographier, de manière surprenante, l'image de la caméra sensible qui en résultait montrait des bandes de lumière aérienne assez importantes et couvrant tout le ciel. L'image sélectionnée a été améliorée numériquement pour rendre les couleurs plus vives.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2022)

Où se forment les étoiles ? Dans des régions de formation d'étoiles connues sous le nom d'"EGG" sont découvertes à l'extrémité de ce pilier géant de gaz et de poussière dans la nébuleuse de l'Aigle (M16). Abréviation de globules gazeux en évaporation, les EGG sont des régions denses d'hydrogène gazeux principalement moléculaire qui se fragmentent et s'effondrent par gravité pour former des étoiles. La lumière de la plus chaude et la plus brillante de ces nouvelles étoiles chauffe l'extrémité du pilier et provoque une évaporation supplémentaire du gaz et de la poussière, révélant encore plus d'EGG et plus de jeunes étoiles.
Cette image en vedette a été créée à partir d'expositions de plus de 30 heures avec le télescope spatial Hubble en orbite autour de la Terre en 2014, et traitée numériquement avec un logiciel moderne par des volontaires expérimentés en Argentine. Les étoiles nouvellement-nées détruiront progressivement leurs piliers de naissance au cours des 100.000 prochaines années environ – si une supernova ne les détruit pas en premier.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2022)

Sur la photo : une route très pittoresque vers les étoiles. La route s'approche de l'observatoire de La Silla au Chili, avec le télescope de 3,6 mètres de l'ESO juste devant. À gauche se trouvent des structures de support futuristes pour les télescopes BlackGEM prévus, un ensemble de télescopes optiques qui aideront à localiser les homologues optiques des détections d'ondes gravitationnelles par LIGO et d'autres détecteurs. Mais il y a bien plus.
Une lueur d'air rouge illumine le ciel nocturne sur la droite, tandis que la bande centrale de notre galaxie de la Voie lactée s'incline au centre de l'image. Jupiter peut être vu juste au-dessus de la bande près du centre de l'image, tandis que Saturne est visible juste au-dessus du dôme du télescope de 3,6 mètres. Les deux plus grandes galaxies satellites de notre Voie lactée, le LMC et le SMC, sont visibles à l'extrême droite. Le panorama d'images présenté a été construit à partir de plusieurs expositions de 15 secondes qui ont été capturées le 30 juin 2019.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2022)

Jusqu'où pouvez-vous voir ? Tout ce que vous pouvez voir, et tout ce que vous pourriez éventuellement voir, en ce moment, en supposant que vos yeux puissent détecter tous les types de radiations autour de vous, c'est l'univers observable. Dans la lumière, le plus éloigné que nous pouvons voir vient du fond cosmique des micro-ondes, une époque il y a 13,8 milliards d'années où l'univers était opaque comme un épais brouillard. Certains neutrinos et ondes gravitationnelles qui nous entourent viennent d'encore plus loin, mais l'humanité n'a pas encore la technologie pour les détecter.
L'image présentée illustre l'univers observable à une échelle de plus en plus compacte, avec la Terre et le Soleil au centre entourés de notre système solaire, des étoiles proches, des galaxies proches, des galaxies lointaines, des filaments de matière primitive et le fond cosmique de micro-ondes. Les cosmologistes supposent généralement que notre univers observable n'est que la partie proche d'une plus grande entité connue sous le nom de "l'univers" où la même physique s'applique. Cependant, il existe plusieurs lignes de raisonnement populaire mais spéculatif qui affirment que même notre univers fait partie d'un multivers plus grand où différentes constantes physiques se produisent, différentes lois physiques s'appliquent, des dimensions supérieures fonctionnent ou des versions légèrement différentes de notre standard existent.

Source : Astronomy Picture of the Day


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Centaurus A, la galaxie active la plus proche de la Terre, est à seulement 11 millions d'années-lumière de nous. S’étendant sur plus de 60.000 années-lumière, la galaxie elliptique particulière est également connue comme NGC 5128.
Sculptée lors d’une collision de deux galaxies dites normales, le fantastique pêle-mêle de jeunes amas d'étoiles bleues, de régions de formation d’étoiles, et d’imposantes bandes sombres de poussière sont vus dans l’image ci-dessus dans un remarquable détail. Près du centre de la galaxie, les restes cosmiques sont constamment consommés par un trou noir central avec un milliard de fois la masse du Soleil. Comme dans d'autres galaxies actives, ce processus génère probablement l'énergie radio, X et gamma émis par Centaurus A.

Source : Astronomy Picture of the Day


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Des nébuleuses par réflexion bleuâtres semblent remplir cette étendue poussiéreuse. Le cadre télescopique pointu s'étend sur plus de 1 degré sur le ciel vers la faible constellation Monoceros (la Licorne). Vu dans le complexe nuageux Monoceros R1 à environ 2.500 années-lumière, IC 447 bleuâtre est sur la gauche, rejoint par un long filament sombre de poussière à IC 446 en bas à droite.
Dans IC 447 se trouvent de jeunes étoiles bleues massives beaucoup plus chaudes que le Soleil, dont la lumière est réfléchie par le nuage cosmique de matière stellaire. Les observations révèlent que IC 446 contient également un jeune objet stellaire, une étoile massive encore à un stade précoce d'évolution. Le filament sombre de poussière et de gaz moléculaire reliant les deux régions de formation d'étoiles mesure plus de 15 années-lumière de long.

Source : Astronomy Picture of the Day


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2MASS J17554042 + 6551277 semble être un nom bien compliqué, mais c'est surtout une désignation de catalogue basée sur les coordonnées de l'étoile centrée dans ce champ de vision. Les fans de l'univers lointain devraient cependant s'habituer à cette apparence en aigrettes. Le diagramme de diffraction est créé par les 18 segments de miroir hexagonaux du télescope spatial James Webb. Après dépliage, les segments ont maintenant été ajustés pour obtenir un alignement limité par la diffraction aux longueurs d'onde infrarouges tout en fonctionnant de concert comme un seul miroir primaire de 6,5 mètres de diamètre. L'image résultante prise par la NIRcam de Webb démontre que leur alignement précis est le meilleur que la physique permette.
2MASS J17554042 + 6551277 est à environ 2.000 années-lumière et bien dans notre propre galaxie. Mais les galaxies dispersées à l'arrière-plan de l'image d'évaluation de l'alignement du télescope Webb sont probablement distantes de milliards d'années-lumière, bien au-delà de la Voie lactée.

Source : Astronomy Picture of the Day


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Qu'est-ce que c'est au bout du chemin ? Le soleil. De nombreuses villes ont des routes qui vont d'est en ouest, et deux jours par an, le soleil se lève et se couche en plein milieu. Aujourd'hui est l’un de ces jours : un équinoxe. Non seulement aujourd'hui est un moment où la durée de la nuit égale ("aequus" - "nox") celle du jour, mais aussi un moment où le soleil se lève précisément à l'est et se couche plein ouest.
Ci-dessus est une route pittoresque dans le nord-ouest de l'Illinois, aux États-Unis, qui s'étend approximativement d'est en ouest. L'image a été prise lors de l'équinoxe de mars 2015 et montre le soleil sur la route au coucher du soleil. Dans de nombreuses cultures, cet équinoxe de mars est considéré comme le premier jour d'une saison, généralement le printemps dans l'hémisphère nord de la Terre et l'automne dans le sud.

Source : Astronomy Picture of the Day


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Qu'est-ce que c'est dans le ciel ? Une aurore. Une grande éjection de masse coronale s'est produite sur notre Soleil au début du mois de mars, projetant un nuage d'électrons, de protons et d'ions en mouvement rapide vers la Terre. Une partie de ce nuage a eu un impact sur la magnétosphère de notre Terre et, renforcée par un écart soudain, a entraîné l'observation d'aurores spectaculaires à certaines hautes latitudes septentrionales.
L'image présentée ici est une couronne aurorale particulièrement photogénique capturée au-dessus d'une forêt en Suède depuis un perchoir panoramique surplombant la ville d'Östersund. Pour certains, cette lueur verte scintillante d'oxygène atmosphérique recombiné pourrait ressembler à une grosse baleine, mais n'hésitez pas à partager à quoi elle ressemble pour vous.

Source : Astronomy Picture of the Day


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Soufflé par le vent d'une étoile massive, cette apparition interstellaire a une forme étonnamment familière. NGC 7635 est également connue sous le nom de la nébuleuse de la Bulle. Bien qu'elle semble délicate, la bulle d'un diamètre de 7 années-lumière apporte la preuve des violents processus qui sont au travail.
Dans l'image ci-dessus, en haut et à gauche de la bulle, est une étoile chaude de type O plusieurs centaines de milliers de fois plus brillante et d'environ 45 fois plus massive que le Soleil. Un vent stellaire féroce et un rayonnement intense de cette étoile ont projeté la structure du gaz incandescent contre un matériau plus dense dans un nuage moléculaire environnant. L'intrigante nébuleuse de la Bulle se trouve à seulement 7.100 années-lumière de nous dans la constellation de Cassiopée. Cette image est un composite retraité de données recueillies par le télescope spatial Hubble en 2016.

Source : Astronomy Picture of the Day


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La galaxie spirale particulière Arp 78 se trouve dans les limites de la tête de la constellation du Bélier, à quelque 100 millions d'années-lumière au-delà des étoiles et des nébuleuses de notre galaxie de la Voie lactée. Aussi connu sous le nom de NGC 772, l'univers insulaire fait plus de 100.000 années-lumière et arbore un seul bras spiral extérieur proéminent dans ce portrait cosmique détaillé du grand télescope Gemini North près du sommet de Maunakea, à Hawaï.
En suivant de larges couloirs de poussière et bordés de jeunes amas d'étoiles bleues, le bras spiral d'Arp 78 est probablement gonflé par des interactions de marée gravitationnelles à l'échelle galactique. La galaxie proche compagne responsable est NGC 770, située en haut à droite de ce cadre. Mais des galaxies d'arrière-plan plus éloignées sont clairement visibles dans le champ de vision cosmique.

Source : Astronomy Picture of the Day


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Les sinueux filaments tressés de gaz incandescent suggèrent le nom populaire de cette nébuleuse, la nébuleuse de la Méduse.
Également connu sous le nom Abell 21, cette Méduse est une nébuleuse planétaire a un diamètre de plus de 4 années-lumière et est située à environ 1.500 années-lumière de nous dans la constellation des Gémeaux.

Source : Astronomy Picture of the Day


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Le côté nuit de Pluton couvre cette sombre scène. La vue en contre-jour a été capturée par New Horizons en juillet 2015, avec le Soleil à 4,9 milliards de kilomètres (près de 4,5 heures-lumière). Le vaisseau spatial était à une distance de plus de 21.000 km de la planète naine, environ 19 mn après son point le plus proche. L'image, aussi ténue soit-elle, révèle d'étonnantes couches complexes de l'atmosphère brumeuse de Pluton.
Le paysage, près de la partie supérieure du cadre, comprend des zones méridionales de plaines de glace d'azote officieusement connues sous le nom Spoutnik Planum et les montagnes escarpées de glace d'eau de Norgay Montes.

Source : Astronomy Picture of the Day


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Titan, la lune de Saturne, possède de nombreux lacs de méthane qui reflètent la lumière du Soleil comme le feraient des miroirs. On voit ici des images en fausses couleurs prises en 2014 par la sonde Cassini en orbite autour de Saturne dans différentes bandes de lumière infrarouge pour percer les nuages. Cette spéculaire réflexion était si brillante qu'elle a saturé une des caméras de Cassini.
Cette saturation a confirmé que les régions de l'hémisphère nord de Titan abritent un éventail de vastes mers complexes avec une géométrie qui indique des périodes de forte évaporation. Au cours de ses nombreux passages près de la plus mystérieuse lune de notre système solaire, Cassini a révélé que Titan avait une météo active, y compris des moments où il pleut une version de gaz naturel liquéfié.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2022)

La partie la plus méridionale de la Voie Lactée contient non seulement les étoiles de la Croix du Sud, mais le système stellaire le plus proche de notre Soleil - Alpha Centauri. La Croix du Sud elle-même est surmontée de l'étoile brillante et jaunâtre Gamma Crucis. Une ligne allant de Gamma Crucis à travers l'étoile bleue au bas de la Croix, Acrux, pointe vers le pôle céleste sud, situé juste au-dessus de la petite île sur la photo présentée - prise début mars.
Cette île est Madivaru des Maldives dans l'océan Indien. Contre la faible lumière des étoiles de la Voie lactée, la sombre nébuleuse du Sac de Charbon se trouve juste à gauche de la Croix, tandis que plus à gauche le long de la Voie lactée se trouvent les étoiles brillantes Alpha Centauri (à gauche) et Beta Centauri (Hadar). Alpha Centauri A, une étoile semblable au Soleil ancrant un système à trois étoiles avec des exoplanètes, n'est distante que de 4,3 années-lumière. Vu d'Alpha Centauri, notre propre Soleil serait une étoile jaunâtre brillante dans la constellation autrement reconnaissable de Cassiopée.

Source : Astronomy Picture of the Day


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Lorsque deux planètes passent dans le ciel nocturne, elles peuvent généralement être vues l'une près de l'autre pendant une semaine ou plus. Dans le cas de cette conjonction planétaire, Vénus et Mars sont passés à moins de 4 degrés l'un de l'autre au début du mois de mars. L'image présentée a été prise quelques jours auparavant, alors que Vénus s'élevait lentement dans le ciel avant l'aube, nuit après nuit, tandis que Mars se couchait lentement.
L'image, une mosaïque en quatre parties, a été capturée au Brésil depuis la petite ville de Teresópolis. Outre Vénus et Mars, le ciel du matin comprend désormais également la planète plus éloignée Saturne. Bien sûr, ces conjonctions ne sont qu'angulaires - Vénus, Mars et Saturne continuent d'orbiter autour du Soleil dans des parties très différentes de notre système solaire.

Source : Astronomy Picture of the Day


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Comment appelez-vous un puzzle cosmique que personne ne s'attendait à voir ? Dans ce cas, Odd Radio Circles (cercles radio étranges), alias ORC. ORC-1 caractérise les cinq objets énigmatiques, uniquement visibles aux fréquences radio, qui ont été découverts par hasard en 2019 à l'aide du nouveau réseau radio australien SKA Pathfinder. L'image finale de la vidéo présentée utilise les données de 2021 du réseau sud-africain MeerKAT pour révéler plus de détails. Les données radio, affectées de couleurs turquoises, sont combinées avec une carte optique/IR Dark Energy Survey.
L'illustration animée de l'artiste explore une seule idée sur les origines des ORC. Si deux trous noirs supermassifs fusionnent au centre d'une galaxie, les ondes de choc associées pourraient générer des anneaux de rayonnement radio. Ceux-ci grandissent pour remplir l'image vidéo. La vidéo effectue un zoom arrière afin que l'expansion de l'ORC puisse être suivie jusqu'à ce qu'il soit d'environ un million d'années-lumière de diamètre. Heureusement, le prochain Square Kilometre Array peut aider à tester cela et d'autres scénarios prometteurs.

Source : Astronomy Picture of the Day


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A environ 60 millions d'années-lumière de nous au sud de la constellation du Corbeau, deux grandes galaxies se sont heurtées. Mais les étoiles de ces deux galaxies, cataloguées comme NGC 4038 et NGC 4039, ne sont pas entrées en collision tellement il y a d'espace entre elles. Par contre, leurs grands nuages de gaz moléculaires et de poussière ont déclenché des épisodes furieux de formation d'étoiles près du centre de l'épave cosmique.
Couvrant environ 500.000 années-lumière, cette vue imprenable indique également que de nouveaux amas d'étoiles et de la matière a été éjectés au loin de la scène de l'accident par les forces de marée gravitationnelle. L'image au sol remarquablement nette, une accumulation de 88 heures de poses capturées entre 2012 et 2021, suit les faibles queues de marée et les galaxies d'arrière-plan distantes dans le champ de vision. L'aspect visuel de la vaste structure tordue donne à cette paire de galaxies son nom populaire : les Antennes.

Source : Astronomy Picture of the Day


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Le filtre naturel d'une atmosphère brumeuse a offert cette architecture reconnaissable et cette vue au téléobjectif du coucher du soleil le 27 mars. Apparaissant sombres contre le disque solaire, de grandes taches solaires dans les régions actives 2975 et 2976 sont coincées entre le Duomo de Pise et sa célèbre tour penchée.
Seulement un jour plus tard, la sonde spatiale SOHO a regardé la région active 2975 déclencher une frénésie d'éruptions solaires ainsi que deux éjections de masse coronale. La plus grande a touché la magnétosphère le 31 mars, déclenchant une tempête géomagnétique et des aurores dans le ciel nocturne des hautes latitudes. Le 30 mars, la région active 2975 a de nouveau éclaté avec une puissante éruption solaire de classe X qui a provoqué une panne radio temporaire sur la planète Terre.

Source : Astronomy Picture of the Day


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Cet affichage presque surnaturel d'aurores boréales a été capturé dans un ciel dégagé aux premières heures du 31 mars à partir de 44 degrés de latitude nord. Dans une pose de cinq secondes, la scène regarde vers le nord depuis le parc provincial de Martinique Beach en Nouvelle-Écosse, au Canada. Les étoiles de la constellation Cassiopée en forme de W brillent bien au-dessus de l'horizon, à travers la teinte rouge de la lueur aurorale de plus haute altitude.
L'activité aurorale a été anticipée par les astronomes amateurs alertés de la possibilité d'un temps spatial orageux par des sondes spatiales qui regardent le Soleil. La tempête géomagnétique prévue a été déclenchée lorsqu'une éjection de masse coronale, lancée à partir de la région active solaire prolifique 2975, a eu un impact sur la magnétosphère de notre belle planète.

Source : Astronomy Picture of the Day


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Notre Terre n'est pas au repos. La Terre se déplace autour du Soleil. Le Soleil tourne autour du centre de la galaxie La Voie Lactée. La galaxie de La Voie Lactée orbite dans le Groupe Local de galaxies. Le Groupe Local se rapproche de l’amas de galaxies de la Vierge. Mais ces vitesses sont inférieures à celle de tous ces objets regroupés par rapport au rayonnement du fond cosmologique en micro-onde (CMBR).
Dans la carte du ciel ci-dessus du satellite COBE, le rayonnement dans la direction de la Terre apparaît décalé vers le bleu et par conséquent plus chaud, alors que le rayonnement du côté opposé du ciel est décalé vers le rouge et donc plus froid. La carte indique que le Groupe Local se déplace à environ 600 km par seconde relativement à ce rayonnement primordial. Cette grande vitesse était inattendue et son amplitude est encore non expliquée. Pourquoi nous déplaçons-nous si rapidement ? Qu’y a-t-il là-bas ?

Source : Astronomy Picture of the Day


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