Image du jour (2012 à 2014)

Admirez l’une des images les plus détaillées de la Terre jamais créée. Ce montage de notre planète bleue marbrée, vu ci-dessus, a été fait à partir des photographies prises par l’instrument VIIRS du nouveau satellite Suomi NPP.
Le satellite Suomi NPP a été lancé en octobre dernier et a été rebaptisé la semaine dernière d’après Verner Suomi, généralement considéré comme le père de la météorologie par satellite.
L’image composite a été créée à partir des données enregistrées en début de mois lors de quatre orbites du satellite.

Source : Apod.nasa.gov - Astronomy Picture of the Day

Notre Soleil, deviendra-t-il ainsi un jour ? La nébuleuse Hélix est l’un des plus brillants et l'un des plus proches exemples d'une nébuleuse planétaire, un nuage de gaz créé à la fin de la vie d’une étoile comme le Soleil. La nébuleuse Hélix, cataloguée comme NGC 7293, se trouve à environ 700 années-lumière de nous vers la constellation du Verseau et a un diamètre d’environ 2,5 années-lumière.
L'image en trois couleurs ci-dessus a été prise en lumière infrarouge par le télescope de 4.1 mètres VISTA de l’Observatoire Européen Austral du Paranal au Chili. Un gros plan rapproché du bord interne de la nébuleuse Hélix montre de complexes nœuds de gaz d'origine inconnue.

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Fixez votre appareil-photo sur un trépied et vous pouvez enregistrer, en laissant l’obturateur ouvert, les gracieuses traînées tracées par les étoiles pendant que la Terre tourne sur son axe. Si le trépied est installé à l’observatoire de La Silla de l’ESO, dans les hauteurs du désert de l'Atacama au Chili, vos traînées d'étoiles devraient ressembler à ceci.
D’un temps pose cumulé d’environ 4 heures (250 poses d’1 mn) dans la nuit du 24 janvier dernier, l’image a été faite en direction du nord. Le pôle nord céleste, invisible depuis l’hémisphère sud, est juste au-dessous de l'horizon dans cette perspective. Au premier plan, on peut voir l'antenne parabolique polie d’un diamètre de 15 mètres du télescope submillimétrique suédois de l’ESO (aujourd’hui désaffecté) reflétant les traînées d’étoiles du pôle sud céleste. Et à droite, la coupole du télescope de 3.6 mètres, abritant le spectromètre chasseur de planètes HARPS.

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En 1995, une désormais célèbre image des Piliers de la Création, vus par télescope spatial Hubble, montre une région de formation d’étoiles comprenant des colonnes de poussière et de gaz froid long de plusieurs années-lumière à l’intérieur de la nébuleuse de l’Aigle (M16).
Cette remarquable image composite en fausses couleurs revisite la pépinière stellaire voisine avec des données d'image des télescopes orbitaux MMX-Newton (rayons X) et Herschel (infrarouge).

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Johannes Kepler avait utilisé les mathématiques simples pour décrire comment les planètes se déplacent. Kepler était un assistant de l'observateur astronomique le plus précis de l’époque, Tycho Brahé.
Kepler a pu utiliser les données de Brahé pour prouver que les planètes se déplacent sur des ellipses autour du Soleil (la première loi de Kepler), que les planètes se déplacent proportionnellement plus vite sur leurs orbites quand elles sont plus proches du Soleil (la deuxième loi de Kepler), et que les planètes plus éloignées prennent proportionnellement plus longtemps pour orbiter le Soleil (la troisième loi de Kepler).
Kepler a vécu de 1571 à 1630, lors de la période de la découverte du télescope. Kepler a été l'un des rares défenseurs des découvertes de Galileo et du système Copernicien de planètes en orbite autour du Soleil au lieu de la Terre.

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Voyageant lentement dans la constellation d’Hercule, la comète Garradd (C2009/P1) est passé à environ 0.5 degré d’arc de l’amas globulaire d'étoiles M92 le 3 février dernier.
L’image ci-dessus, prise au télescope depuis le Nouveau Mexique en début de la matinée, comporte également une large queue de poussière de Garradd et une queue d’ions beaucoup plus étroite allant vers le haut et la droite de l’image.
M92 se trouve à plus de 25.000 années-lumière de nous, alors que la comète Garradd est à 12.5 minutes-lumière.

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Pourquoi le ciel est-il rouge ? A cause des aurores polaires. La semaine dernière, la pluie de particules, émanant de la région active de taches solaires 1402, a existé les atomes d’oxygène dans la haute atmosphère terrestre.
Quand les électrons des éléments sont retombés à leur état fondamental, ils ont émis une lueur rouge. Si les atomes d'oxygène avaient été excités plus bas dans l'atmosphère, la lueur aurait été principalement verte.
On voit dans l’image ci-dessus, cette aurore rouge de haute atmosphère juste au-dessus de l'horizon, photographiée la semaine dernière près de Flinders, comté de Victoria en Australie.

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Notre galaxie est remplie de gaz. La majeure partie de ce gaz est de l’hydrogène, une petite partie est de l’hélium, mais il y a aussi une quantité infime de molécules relativement lourdes, y compris le monoxyde de carbone (CO) - un composant du brouillard.
L'image grand-angle ci-dessus de radio CO montre les incroyables diverses structures moléculaires du milieu interstellaire. On y voit les nuages denses où les étoiles peuvent se former et les vides (plus sombres) qui peuvent indiquer l'action des vents violents des étoiles massives récemment formées.

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Cette lune brille par la lumière de sa planète. Précisément, une grande partie d'Encelade est illuminée principalement par la lumière du Soleil reflétée par la planète Saturne. Le résultat est que la lune (vue ci-dessus), normalement blanche comme neige, apparaît dans la couleur beige propre au sommet des nuages de la haute atmosphère de Saturne.
Dans cette couleur, on voit bien les structures sinueuses en labyrinthe et la profonde gorge de Labtayt Sulci. Le fin croissant brillant sur l'extrême droite est la seule partie d'Encelade directement illuminée par le Soleil.
L'image ci-dessus a été prise l'année dernière par le vaisseau spatial Cassini lors d’un passage très proche de la lune énigmatique. L'inspection de la partie basse de cette image, numériquement accentuée, montre des panaches de cristaux de glace pouvant provenir d'une mer souterraine.

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Il y a deux semaines, au delà des arbres et avant des étoiles, un orage solaire a favorisé l’apparition, ci-dessus dans ce time-lapse, de pittoresques aurores boréales au-dessus de Ravnastua, de Skoganvarre et de Lakselv en Norvège.
Les rideaux de lumière aurorale, typiquement vert, s’écoulent, miroitent et dansent au fur et à mesure que les particules énergétiques tombent vers la Terre et excitent des molécules d'air de la haute atmosphère.

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Cette vue fine du télescope spatial Hubble plonge profondément dans NGC 6752. A environ 13.000 années-lumière de nous vers la constellation australe du Paon, l’amas d'étoiles globulaire erre dans le halo de notre galaxie la Voie Lactée.
Agés de plus de 10 milliards d'années, NGC 6752 contient plus de 100 mille étoiles dans une sphère d’environ 100 années-lumière de diamètre, mais l’image de Hubble enjambe environ 10 années-lumière à partir du centre et résout des étoiles près du dense noyau de l’amas.

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IMAGES DU JOUR (Année 2011)

Des preuves ont montré que sous la couverture de glace qui couvre Europe, existe des océans liquides qui pourraient abriter la vie. Europe est l’une des lunes galiléennes de Jupiter (qui incluent Io, Ganymède, et Callisto). L’intérieur de la lune se compose en grande partie de roche de silicate.
Lors de l'inspection minutieuse, beaucoup de fissures externes s’arrêtent brusquement avant de repartir plus loin, ceci indiquant que les plaques de surface pourraient glisser.
L’image animée ci-dessus est un assemblement des images prises pendant le survol du vaisseau spatial Voyager il y a vingt ans. On y voit une rotation complète d’Europe.

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Pourquoi NGC 3310 a-t-elle tant de jeunes étoiles ? Les plus brillantes de ces nouvelles étoiles sont si chaudes qu'elles font briller cette galaxie spirale non seulement en lumière visible, mais en lumière ultraviolette. Le télescope spatial Hubble a photographié NGC 3310, ci-dessus, dans différentes bandes de lumière UV.
On pense que cette galaxie est entrée en collision avec l’une de ses propres galaxies naines compagne il y a environ 50 millions d'années, ce qui expliquerait cette profusion de naissance d’étoiles.
Les bras spiraux de NGC 3310 s’étendent sur plus de 20 mille années-lumière et la galaxie se situe à environ 50 millions d'années-lumière de nous dans la constellation de la Grande Ourse.

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La constellation d'Orion est beaucoup plus que simplement trois étoiles alignées. Une longue exposition photo montre tout des nébuleuses sombres aux amas d'étoiles, le tout incorporé dans une un panorama de filaments gazeux dans le complexe moléculaire du Grand de Nuage d'Orion.
Les trois étoiles les plus brillantes à gauche sont en effet les trois célèbres étoiles qui composent la ceinture d'Orion. Juste au-dessous d'Alnitak, la plus basse des trois étoiles de la Ceinture, est la nébuleuse de la Flamme. A la droite d'Alnitak se trouve la nébuleuse de la Tête de Cheval. En haut à droite de l’image se trouve M42, la nébuleuse d'Orion, un chaudron énergétique de gaz tumultueux, visible à l'œil nu, qui donne naissance à un nouvel amas ouvert d’étoiles. Juste à gauche de M42 est une nébuleuse par réflexion bleuâtre parfois appelée l'Homme qui court.
L'image ci-dessus a été faite sur plusieurs nuits, couvre un champ de 75 années-lumière et abrite des objets qui sont à environ 1.500 années-lumière de nous.

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Pourquoi les trous noirs sont-ils noirs ? Parce qu'ils ont un horizon des événements. L'horizon des événements, c’est la frontière à sens unique, prévue par la relativité générale, au-delà de laquelle rien, pas même la lumière, ne peut revenir.
Les astronomes, utilisant l'observatoire spatial en rayons X Chandra, pensent aujourd’hui qu'ils ont la preuve directe que des horizons des événements – donc des trous noirs – dans les systèmes d'étoiles binaires, peuvent être détectés en rayon X. Ces binaires, parfois appelées « novas de rayon X », sont connues pour se composer d’étoiles relativement normales vidant leur matière sur leurs compagnons massifs et compacts. Comme illustré ci-dessus, la matière tourbillonne vers le compagnon dans un disque d'augmentation qui lui-même brille rayons X.
Si le compagnon compact est une étoile à neutrons (à droite), la matière s'écrase finalement contre la surface solide et brille encore plus en rayons X de haute énergie.

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Abell 39 est une nébuleuse planétaire remarquablement simple et sphérique d'environ 6 années-lumière de diamètre.
Située dans notre propre galaxie, la Voie Lactée, la sphère cosmique est distante approximativement de 7.000 années-lumière de nous vers la constellation Hercule.
Plusieurs galaxies, à des millions de kilomètres de distance, sont visibles à travers et autour de la nébuleuse.

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La plupart des étoiles apparaissent seulement comme points lumineux. En 1995, le Bételgeuse est devenue la deuxième étoile, après notre Soleil, à avoir sa surface résolue. Plus tard, en 2001, Mira a été ajoutée à la liste, vue dans l’image ci-dessus prise par le télescope spatial Hubble.
Mira A est une étoile géante rouge subissant d’énormes pulsations, la faisant devenir plus de 100 fois plus brillante au cours d'une année. Mira a été cataloguée comme première étoile variable il y a environ 400 ans par David Fabricus. Mira peut s’étendre à plus de 700 fois la taille de notre Soleil, et est à seulement 400 années-lumière de nous.

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Le plateau Aristarque est ancré dans les vastes écoulements de lave de l’Oceanus Procellarum sur la Lune. Sur le bord sud-est du plateau se trouve le spectaculaire cratère Aristarque, un cratère d'impact de 40 kilomètres de large et de 3 kilomètres de profondeur. En vous promenant le long de ce remarquable panorama, vous regardez directement le mur occidental du cratère d’environ 25 kilomètres de long.
À la résolution de 1,6 mètre par pixel, cette fine mosaïque a été créée à partir des images enregistrées par l’appareil-photo de la sonde Lunar Reconnaissance Orbiter en novembre 2011. LRO avait alors une position avantageuse de 70 kilomètres à l'est du centre du cratère et à seulement 26 kilomètres au-dessus de la surface lunaire.

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Qu’est-ce qui se trouve sous la surface de l’astéroïde Eros ? Cette image, prise 2001 par la sonde NEAR, montre un cratère d’un kilomètre de large où un certain type de matière se trouve sous une partie du régolite extérieur plus sombre.
Cette substance plus claire, vue sur d'autres photographies, peut être de la matière relativement fraîche, pas encore exposée aux impacts du vent solaire et des ternissures d’impact de micrométéorite.

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A seulement 20.000 années-lumière du Soleil se trouve l’amas d'étoiles NGC 3603, un résidant du bras spirale voisin Carina dans notre galaxie la Voie Lactée. On voit dans l’image ci-dessus, en rayons X et fausses couleurs de l'observatoire Chandra, NGC 3603 bien connu des astronomes comme jeune amas dans une grande région de formation d’étoiles galactique.
Les couleurs de l'image ont été choisies pour montrer l'éclat relatif en rayons X des nombreuses sources actuelles différentes, où le vert et le rouge aux tonalités pourpres sont de brillantes sources des rayons X.

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Qu'est-ce que ces terriens essayent de nous dire ? Le message ci-dessus a été émis de la Terre vers le l'amas globulaire d'étoiles M13 en 1974. A l'inauguration de l'observatoire d'Arecibo – toujours le plus grand radiotélescope dans le monde - une suite de 1 et de 0 représentant le diagramme ci-dessus a été envoyée. Cette tentative de communication extraterrestre était symbolique – l'humanité annonce régulièrement à la radio et à la télévision et se signale dans l'espace accidentellement. Même si ce message est reçu, M13 est si loin que nous devrions attendre presque 50.000 ans pour entendre une réponse.
Le message ci-dessus donne quelques faits simples sur l'humanité et sa connaissance : sont de gauche à droite les nombres d'un à dix, les atomes comprenant l'hydrogène et le carbone, quelques molécules intéressantes, l'ADN, la description d'un humain, les fondations de notre système solaire, et les fondations du télescope d'envoi.

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Beaucoup de galaxies spirales ont des barres en leurs centres. On pense même que notre propre galaxie la Voie Lactée a une barre centrale modeste.
La galaxie spirale barrée NGC 1073, vue ci-dessus, a été capturée dans de spectaculaires détails dans cette image récemment publiée prise par le télescope spatial Hubble. La lumière de NGC 1073 met environ 55 millions d'années pour nous atteindre, et a un diamètre d’environ 80.000 années-lumière. NGC 1073 peut être vu avec un petit télescope vers la constellation de la Baleine (Cetus). Fortuitement, l'image ci-dessus a non seulement capturé le brillant système d’étoiles IXO 5 visible en haut à gauche et probablement interne à la spirale barrée, mais aussi trois quasars lointain en arrière-plan.

Source : Apod.nasa.gov - Astronomy Picture of the Day

Comment cette grosse pierre est-elle arrivée sur cet étrange terrain ? Un des endroits les plus insolites sur Terre se trouve dans la Vallée de la Mort, en Californie, Etats-Unis.
Là existe le lit d’un lac asséché appelé Racetrack Playa qui est presque parfaitement plat, à l'exception de quelques très grandes pierres, dont l’une est vue dans l’image ci-dessus. La planéité et la texture de ce terrain sont provoquées par de la boue s’écoulant, séchant, et se fissurant après une forte pluie.
Tout récemment, cependant, une hypothèse scientifique viable a été donnée pour expliquer comment ces pierres de 300 kilogrammes ont fini au milieu d'une si grande surface plate. Il s'avère que de forts vents soufflant après la pluie puisse peuvent pousser même de lourds rochers sur le lit d’un lac devenu temporairement lisse et glissant.

Source : Apod.nasa.gov - Astronomy Picture of the Day

Lors de leur mission en juin 1998, l'équipage de la navette spatiale Discovery a photographié cette vue des deux lunes de la Terre.
D’épais nuages d'orage sont visibles dans l'atmosphère de la belle planète bleue et sa plus grande lune artificielle de l’époque, la station spatiale russe MIR, peut être vu au-dessus de la Terre. La brillante tache à droite de MIR est le satellite naturel de la Terre, la Lune.
La station spatiale sera désorbitée en mars 2001.

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Notre Terre n'est pas au repos. La Terre se déplace autour du Soleil. Le Soleil tourne autour du centre de la galaxie La Voie Lactée. La galaxie de La Voie Lactée orbite dans le Groupe Local de galaxies. Le Groupe Local se rapproche de l’amas de galaxies de la Vierge. Mais ces vitesses sont inférieures à celle de tous ces objets regroupés par rapport au rayonnement du fond cosmologique en micro-onde (CMBR).
Dans la carte du ciel ci-dessus du satellite COBE, le rayonnement dans la direction de la Terre apparaît décalé vers le bleu et par conséquent plus chaud, alors que le rayonnement du côté opposé du ciel est décalé vers le rouge et donc plus froid. La carte indique que le Groupe Local se déplace à environ 600 km par seconde relativement à ce rayonnement primordial.
Cette grande vitesse était inattendue et son amplitude est encore non expliquée. Pourquoi nous déplaçons-nous si rapidement ? Qu’y a-t-il là-bas ?

Source : Apod.nasa.gov - Astronomy Picture of the Day