Image du jour (2009 à 2011)

Le vaisseau spatial Messenger a récemment accompli plus de 100 orbites autour de Mercure. Ses appareils-photo ont enregistré des images détaillées utilisant huit couleurs différentes, explorant la composition extérieure et recherchant des indices sur l'histoire et l'évolution de la première planète du système solaire.
Cette fine image combine trois photos de la caméra grand-angle et les couleurs ont été exagérées au traitement. Autrement, sans aide, l'œil humain ne percevrait qu'un aspect grisâtre. L'image couvre environ 1.000 km à travers de diamètre.

Source : Apod.nasa.gov - Astronomy Picture of the Day

A 50 km au-dessus de l'astéroïde Eros, la surface d'un de ses plus grands cratères semble couverte d'une substance inhabituelle : la régolite.
L'épaisseur et la composition de la régolite qui est une poussière de surface, demeure un sujet de recherche. Une grande partie de la régolite d'Eros a probablement été créé par les nombreux petits impacts de sa longue histoire.
Cette image, en couleurs représentatives, a été prise par le vaisseau spatial NEAR-SHOEMAKER qui a satellisé Eros de 2000 à 2001.

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A seulement 168.000 années-lumière de nous, ce grand et bel amas d'étoiles, NGC 1850, est situé dans la galaxie voisine le Grand Nuage de Magellan.
Un premier regard sur cette image composite du télescope spatial Hubble suggère que la taille et la forme de cet amas sont similaires aux amas d'étoiles globulaires anciens qui errent le halo de notre propre galaxie la Voie Lactée. Mais les étoiles de NGC 1850 sont d'âges différents… faisant de cet objet un type d'amas d'étoiles sans contreparties connues dans la Voie Lactée.

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La nébuleuse de la Carène, dans l'image ci-dessus, également connue sous le nom de nébuleuse du Trou de Serrure et NGC 3372, est le résultat de l'agonie de l'étoile Eta Carinae, se débarrassant violemment de la poussière et du gaz lors de ses derniers siècles. Eta Carinae, une des étoiles les plus brillantes connues, est visible près du centre de la nébuleuse.
L'image ci-dessus a été prise en trois couleurs distinctes de lumière : en lumière bleue émise par l'oxygène chaud, en lumière verte émise par l'hydrogène chaud, et lumière rouge émise par le soufre froid.
Eta Carinae est visible avec des jumelles vers la constellation de la Carène dans l'hémisphère sud.

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Maintenant qu'elle est en orbite autour de Mercure, première planète du système solaire, l'appareil-photo grand-angle de la sonde Messenger a renvoyé cette impressionnante vue couleur du cratère Degas, avec une résolution de 90 mètres par pixel.
Appelé du nom du peintre impressionniste, le cratère de 52 km de diamètre est également montré dans l'image d'encart provenant de la mission Mariner 10 au milieu des années 70.

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Sortez vos lunettes 3D rouges/bleus et regardez Hélène, petite lune glaciale de Saturne, dont les dimensions sont 36-32-30 km. Hélène est l'une de quatre lunes Trojan connues, appelée ainsi parce qu'elle est à un point de Lagrange de l'orbite de Saturne. Un point de Lagrange est une position gravitationnellement stable près de deux corps massifs, dans ce cas-ci Saturne et la plus grande lune Dioné.
L'anaglyphe stéréo a été construit à partir de deux images de Cassini (N00172886, N00172892) saisies pendant un récent survol. Il montre une partie de l'hémisphère d'Hélène qui fait face à Saturne.

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En juin 2001, Mars et la Terre étaient juste à côté l'une de l'autre dans leurs orbites. Formaellement appelé l'opposition, l'événement a été accentuée par une très brillante Mars pour les astronomes amateurs et une bonne occasion de photo pour le télescope spatial Hubble.
Ci-dessus, Hubble a pris l'image de la plus haute résolution de Mars jamais obtenue à partir de la Terre. Sont visibles sur Mars les calottes glaciaires en blanc au-dessus des pôles, des régions couvertes de sable et de gravier dans le ton brun sombre et des tempêtes de poussière oranges.

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Le pulsar des Voiles était il y a 10.000 ans nés au centre d'une supernova. Dans cette image en rayons X de l'observatoire Chandra, le pulsar produit encore une nébuleuse brillante au cœur du nuage en expansion de débris stellaires.
Le pulsar lui-même est une étoile à neutrons qui s'est formée quand le noyau stellaire a été compacté à la densité nucléaire. Avec un fort champ magnétique, approximativement la masse du Soleil, et d'un diamètre d'environ 20 km, le pulsar des Voiles tourne sur lui-même 11 fois par seconde.

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Le 20 juillet 1976, la sonde Viking 1 de la NASA est devenue le premier vaisseau spatial des États-Unis à se poser sur Mars, suivi des semaines plus tard de son jumeau, la sonde Viking 2. Opérant sur la surface martienne dans le début des années 80, les Vikings ont pris des milliers de photos, ont conduits des recherches sophistiquées de produit chimique pour découvrir la vie, et étudié la météo et la géologie martiennes.
Dans l'image nettement détaillée ci-dessus, un champ de roches et de rochers est vu de la plateforme d'atterrissage de Viking 1 sur Chryse Planitia (la plaine de Chryse). Un des pieds poussiéreux de Viking 1 est visible en bas à droite. L'image a été créée en combinant des images noires et blanches à haute résolution avec des images couleur de plus basse résolution du même secteur.

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Ce n'est la plus lumineuse, mais la faible étoile, près du centre de NGC 3132, qui a créé cette nébuleuse planétaire belle mais étrange.
Surnommée la nébuleuse aux huit éclats ou nébuleuse de l'anneau australe, le gaz brillant provient des couches externes d'une étoile qui était jadis comme notre Soleil.
Dans cette image en couleurs composites, la lumière bleue qui entoure ce système binaire est activée par la surface très chaude de la faible étoile. Ni la forme peu commune de la coquille froide environnante, ni la structure et les placements des filaments de poussières froides à travers NGC 3132 ne sont bien compris.

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Une nébuleuse de poussière en expansion entoure la supergéante rouge Bételgeuse dans cette remarquable image composite à haute résolution, une photo infrarouge du VLT de l'observatoire australe européen.
Bételgeuse elle-même est souligné par le petit cercle rouge central. Si elle se trouvait dans notre propre système solaire, son diamètre entourerait presque l'orbite de Jupiter. Mais l'enveloppe de poussière circumstellaire, plus grande, le prolonge de 60 milliards de kilomètres dans l'espace, équivalent à environ 400 fois la distance Terre-Soleil.
Se mélangeant au milieu interstellaire, la poussière pourrait provenir des planètes terrestres rocheuses comme la Terre.

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Pourquoi cet amas de galaxies est-il ainsi brouillé ? Loin d'une distribution uniforme, Abell 2744 a non seulement des nœuds de galaxies, mais l'émission du gaz chaud en rayons X (coloré en rouge) dans l'amas semble réparti différemment que la matière noire.
La matière noire, prenant plus de 75 % de la masse de l'amas (coloré en bleu) dans l'image ci-dessus, a été révélée dans la distorsion des galaxies d'arrière-plan par effet de lentille. Ce pêle-mêle semble résulter de la collision par mouvement lent d'au moins quatre plus petits amas de galaxies au cours de derniers milliards d'années.
L'image ci-dessus combine des photos optiques du télescope spatial Hubble et du VLT avec des images rayons X de l'observatoire Chandra. Abell 2744, baptisé l'amas de Pandore, a un diamètre de plus de deux millions d'années-lumière et peut mieux être vu avec un télescope de grand diamètre vers la constellation du Sculpteur.

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Sculptée par les vents stellaires et les radiations, l'usine à étoiles connue sous le nom de M17 se trouve à environ 5.500 années-lumière de nous dans la constellation Sagittaire, connue pour sa richesse en nébuleuses.
À cette distance, ce champ visuel large du nouveau VLT Survey Telescope and OmegaCAM couvre presque 100 années-lumière. L'image en fausses couleurs inclut des données optiques et infrarouges.
M17 est également connu comme la nébuleuse Omega ou la nébuleuse du Cygne.

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La nébuleuse d'Orion est visible à l'œil nu comme une tache flou près de la célèbre ceinture de trois étoiles de la constellation d'Orion.
L'image ci-dessus capte une partie de la nébuleuse d'Orion qui réfléchit principalement la lumière des étoiles brillantes d'Orion. Cette nébuleuse par réflexion semble bleue parce que la lumière bleue des étoiles voisines disperse plus efficacement le gaz de la nébuleuse que pourrait le faire la lumière rouge.

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Dans les années 20, En examinant des plaques photographiques du télescope de 100 pouces de l'observatoire du Mt. Wilson, Edwin Hubble a déterminé la distance à la nébuleuse d'Andromède, démontrant décisivement l'existence d'autres galaxies bien au-delà de la Voie Lactée. Ses notations sont visibles sur la plaque photographique historique en encart en bas à droite, montrée dans le contexte avec des images de la région prise depuis le sol et du télescope spatial Hubble (nommé en hommage à l'astronome) faite presque 90 ans après.
En comparant différentes plaques, Hubble a recherché des novas, les étoiles qui ont subi une augmentation soudaine d'éclat. Il en a trouvé plusieurs sur cette plaque et les a marquées avec un "N". Plus tard, découvrant que celle en haut à droite (marqué par des lignes) était en réalité un type d'étoile variable connu sous le nom de céphéide, il a biffé le "N" et a écrit "VAR !".
Grâce au travail de l'astronome Henrietta Leavitt, les céphéides, grâce à leur variation régulière, pouvaient être employées en tant qu'indicateurs de distance. L'identification d'une telle étoile a permis à Hubble de prouver qu'Andromède n'était pas un petit amas d'étoiles et de gaz dans notre propre galaxie, mais une grande galaxie à une distance substantielle de la Voie Lactée.

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Le système stellaire le plus proche du Soleil est celui d'Alpha du Centaure. Des trois étoiles de ce système, la plus faible – appelée Proxima du Centaure – est en réalité l'étoile la plus proche.
Les deux plus brillantes étoiles, Alpha Centauri A et B, forment une binaire proche, séparée par seulement 23 fois la distance Soleil/Terre.
Dans l'image ci-dessus, l'éclat des étoiles sature la photographie causant l'illusion d'une grande taille, alors que les étoiles sont en fait de petits points de lumière. Le système Alpha du Centaure n'est pas visible dans l'hémisphère nord.

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Les oiseaux ne volent pas si haut. Les avions ne vont pas si vite. La statue de la liberté pèse moins lourd. Aucune espèce autres que l'humain ne peut comprendre ce qui se passe, ni même l'humain d’il y a juste un millénaire.
Le lancement d'une fusée vers l'espace est un événement qui inspire le respect.
Vue ci-dessus, la navette spatiale Atlantis a décollé pour visiter la Station Spatiale Internationale (ISS) pendant les premières heures du matin du 12 juillet 2001.

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Quelle enchevêtrement une nébuleuse planétaire peut-elle tisser ? La nébuleuse planétaire de l'Araignée Rouge montre une structure complexe, résultat d'une étoile normale qui éjecte ses gaz externes et devient une étoile naine blanche.
Officiellement étiqueté NGC 6537, cette nébuleuse planétaire à deux lobes symétriques abrite une des naines blanches les plus chaudes jamais observées, probablement en tant qu'élément d'un système d'étoile binaire.
La nébuleuse de l'Araignée Rouge se trouve vers la constellation du Sagittaire. Ca distance à la Terre n'est pas bien connue mais certains pensent qu'elle est d'environ 4000 années-lumière.

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La complexe structure du centre du cratère Tycho jette une longue ombre sombre lors du lever de Soleil local dans ce paysage lunaire spectaculaire. Cette vue oblique a été enregistrée le 10 juin par la sonde spatiale Lunar Reconnaissance Orbiter.
Montré dans un détail étonnant, la structure centrale est d'environ 15 kilomètres de large, formée par soulèvement lors de l'impact géant qui a créé le cratère bien connu il y a 100 millions d'années. Le sommet de sa crête atteint 2 kilomètres de haut.

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Notre galaxie la Voie Lactée est-elle entourée par un halo de gaz chaud ? Une étape vers la résolution de ce mystère de longue date a été prise récemment avec des observations de Chandra en rayons X de la galaxie voisine NGC 4631.
Dans l'image composite ci-dessus, l'image de l'émission diffuse en rayons X est montrée dans le bleu, est superposée sur une image du TVH montrant les étoiles massives en rouge. Puisque NGC 4631 est semblable à la Voie Lactée, cette observation indique que notre propre galaxie est en effet entourée par un halo émettant du gaz chaud, bien que nous soyons trop proche pour le différencier clairement des sources étendues plus proches en rayons X.

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Ces remarquables panoramas suivent une énorme tempête cerclant l'hémisphère nord de la planète aux anneaux Saturne. Toujours actifs, les nuages d'orage mouvants ont été capturés dans des images en proche infrarouge enregistrées par le vaisseau spatial Cassini le 26 février en haute résolution et fausses couleurs.
En fin d'année dernière, alors que Saturne commençait à être visible en fin de nuit, les astronomes amateurs ont observé une tache brillante. Depuis, le puissant orage a pris d'énormes proportions. Son axe nord-sud mesure presque 15.000 km et elle s'étend aujourd'hui complètement autour de l'hémisphère nord de la géante gazeuse, soit environ 300.000 kilomètres.
Les photos ont été prises pendant 11 heures environ, soit la durée d'un jour sur Saturne.

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La navette spatiale Atlantis a quitté la planète Terre le vendredi 8 juillet, partant sur la mission STS-135 vers la Station Spatiale Internationale.
Ce lancement mémorable était le dernier du programme de navette spatiale de la NASA qui a duré 30 ans et qui a commencé par le lancement du premier vaisseau spatial réutilisable le 12 avril 1981.

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Dans l'image ci-dessus, on peut voir les observations du vaisseau spatial orbital Mars Global Surveyor (MGS) illustrant les progrès d'une tempête de poussière du 17 juin 2001 jusqu'au 21 juillet 2001.
La série de photos datées montre des mesures du spectromètre d'émission thermique de MGS, appareil qui peut déterminer la température et la quantité de poussière atmosphérique. Les données ont été représentées en couleur sur des cartes de la surface martienne décrivant en bleu l'atmosphère relativement claire et en couleur rouge les concentrations croissantes de poussière.

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Excepté les anneaux de Saturne, la nébuleuse de l'Anneau (M57) est probablement la couronne céleste la plus célèbre. La vue que nous avons de cette nébuleuse planétaire, d'aspect simple et gracieux, est vraisemblablement due à la perspective – car elle est en réalité un nuage de gaz en forme de tonneau élargi par une étoile centrale mourante.
Les astronomes ont produit cette image fine à partir des observations du télescope spatial Hubble utilisant des couleurs naturelles pour indiquer la température du linceul gazeux stellaire.
La nébuleuse de l'Anneau a un diamètre d'environ une année-lumière et se situe à 2.000 années-lumière de nous dans la constellation de la Lyre.

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Au centre de la région de formation d'étoiles de 30 Doradus, située dans la galaxie voisine du Grand Nuage de Magellan à 170 000 années-lumière de nous, est un énorme amas possédant les plus grandes, les plus chaudes et les plus massives étoiles connues.
Ces étoiles, composant l'amas d'étoiles R136 et une partie de la nébuleuse environnante, sont vues ici dans cette image magnifique en lumière visible du télescope spatial Hubble.

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