Image du jour (2015 à 2017)

Que se passe-t-il au centre de la galaxie active 3C 75 ? Les deux brillantes sources au centre de cette image composite en rayons X (bleu) et radio (rose) sont des trous noirs supermassifs orbitant ensemble et faisant de 3C 75 une radiosource géante.
Entourés de gaz de plusieurs millions de degrés Celsius émettant en rayons X et soufflant des jets de particules relativistes, les trous noirs supermassifs sont séparés par 25.000 années-lumière. Ils sont au cœur de deux galaxies en train de fusionner dans l'amas de galaxie d'Abell 400 et se situent à environ 300 millions d'années-lumière de nous.  

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2017)

Ce point rougeâtre - il n'était pas là avant. C'est le point en haut à gauche du centre de la galaxie NGC 4993, le voyez-vous ? Lors du balayage grand champ des emplacements possibles d'une contrepartie optique à l'événement d'onde gravitationnelle sans précédent GW170817 en août dernier, l'apparition de ce point est rapidement devenue d'importance historique. Il a localisé la position exacte de GW170817, permettant ainsi aux principaux télescopes de l'humanité d'examiner la première onde électromagnétique équivalente à un événement d'onde gravitationnelle, un événement qui montre clairement qu'il s'agit d'une courte décharge de rayons gamma. Les étoiles fusionnent.
L'image ci-dessus de la galaxie lenticulaire NGC 4993 par Hubble montre le point de décoloration quelques jours après sa découverte. Les analyses, en continuant, comprennent la physique de l'explosion, les éléments lourds qui se sont formés, la similitude des vitesses du rayonnement gravitationnel et de la lumière, et l'étalonnage d'une nouvelle méthode pour déterminer l'échelle de distance de notre Univers.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2017)

L'hydrogène de votre corps, présents dans chaque molécule d'eau, a été forgé par le Big Bang. Il n'y a pas d'autres sources notables de l'hydrogène dans l'univers. Le carbone de votre corps a été fait par la fusion nucléaire au cœur des étoiles, tout comme l'oxygène. Une grande partie du fer dans votre corps a été fabriqué au sein des supernovae lointaines qui se sont produites il y a longtemps. L'or de vos bijoux a probablement été formé lors des collisions des étoiles à neutrons qui auraient été visibles par des sursauts gamma de courte durée. Les éléments comme le phosphore et le cuivre sont présents dans notre corps en petites quantités seulement, mais sont essentiels pour le fonctionnement de toute la vie connue.
Le tableau périodique présente un code de couleur qui indiquer la meilleure estimation quant à l'origine nucléaire de tous les éléments connus. Les lieux de création nucléaire de certains éléments, tels que le cuivre, ne sont pas vraiment bien connus et sont encore des sujets de recherche par l'observation et le calcul.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2017)

Les humains pourraient-ils vivre sous la surface de la Lune ? Cette possibilité intrigante a été renforcée en 2009 lorsque le vaisseau spatial japonais SELENE, en orbite autour de la Lune, a imaginé un curieux trou sous la région de Marius Hills sur la Lune, probablement un puits de lumière menant à un tube de lave souterrain. Les observations de suivi effectuées par le Lunar Reconnaissance Orbiter (LRO) de la NASA ont révélé que le trou Marius Hills Hole (MHH) s'étend sur près de 100 mètres et mesure plusieurs centaines de mètres de large. Plus récemment, les données radar de SELENE ont été ré-analysées pour révéler une série de seconds échos fascinants - des indicateurs que les vastes coulées de lave sous Marius Hills pourraient s'étendre jusqu'à des kilomètres et être assez grandes pour abriter des villes. De tels tubes pourraient abriter une future colonie lunaire qui serait préservée des grandes variations de température, d'impacts de micro-météores et des rayonnements solaires nocifs. Potentiellement, les tubes de lave souterrains pourraient même être scellés pour contenir de l'air respirable. Ces tubes de lave se sont probablement formés lorsque les volcans lunaires étaient actifs il y a des milliards d'années.
Sur la photo, la surface de la région de Marius Hills a été capturée dans les années 1960 par la mission Lunar Orbiter 2 de la NASA, tandis qu'une image en encart de la MHH est montrée à partir de LRO. Plusieurs dômes volcaniques sont visibles, tandis que le cratère Marius est visible en haut à droite.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2017)

Voyez-vous la bulle au centre ? Apparemment à la dérive dans un océan cosmique d'étoiles et de gaz incandescent, la délicate apparition flottante dans cette vue grand champ est catalogué comme NGC 7635 – la nébuleuse de Bulle.
D’un diamètre d’une dizaine d'années-lumière, la minuscule bulle et le plus grand complexe de gaz interstellaire et de nuages de poussière se situent à environ 11.000 années-lumière entre les constellations parentales de Céphée et de Cassiopée. Également inclus dans la vue à couper le souffle est l’amas ouvert d'étoiles M52 (en haut à droite), à quelque 5.000 années-lumière de nous.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2017)

En ce qui concerne les fantômes, le Fantôme de Mirach n'est pas vraiment effrayant. Le fantôme de Mirach est juste une galaxie floue, bien connue des astronomes, qui se trouve à peu près le long de la ligne de vue de Mirach, une  brillante étoile. Centré dans ce champ d'étoiles, Mirach est également appelé Beta Andromedae. À environ 200 années-lumière, Mirach est une étoile géante rouge, plus froide que le Soleil, mais beaucoup plus grande et intrinsèquement beaucoup plus brillante que notre étoile-mère.
Dans la plupart des vues télescopiques, les aigrettes de diffraction tendent à cacher les choses qui se trouvent près de Mirach et font ressembler la galaxie faible et floue à un reflet fantomatique de la lumière des étoiles. Pourtant, apparaissant dans cette image fine juste au-dessus et à gauche de Mirach, le Fantôme de Mirach est catalogué comme la galaxie NGC 404 et est à distance estimée à environ 10 millions d'années-lumière.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2017)

Cette nébuleuse planétaire, cataloguée comme NGC 6369, a été découverte par l'astronome William Herschel au 18ème siècle en utilisant un télescope pour explorer la constellation du Serpentaire. Ronde et de forme planétaire, la nébuleuse est également relativement peu lumineuse. Elle a acquis le surnom populaire de nébuleuse du Petit Fantôme.
Les nébuleuses planétaires en général ne sont pas liées aux planètes, mais sont créées à la fin de la vie des étoiles comme notre Soleil. Les détails et les structures étonnamment complexes de NGC 6369 sont visibles dans cette superbe image en couleur assemblée grâce aux données du télescope spatial Hubble. A plus de 2.000 années-lumière de nous, la nébuleuse du Petit Fantôme offre un aperçu du destin de notre Soleil, qui devrait produire sa propre nébuleuse planétaire dans environ 5 milliards d'années.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2017)

Quelle est cette étrange planète ? La planète Terre bien sûr, par une nuit sombre et orageuse en 2013 à Hverir, une zone géothermiquement active le long d’un paysage volcanique dans le nord-est de l'Islande.
Les orages géomagnétiques ont produit les aurores dans le ciel nocturne étoilé tandis que des tours fantomatiques de vapeur et de gaz s'échappant des fumerolles ont dansé contre la lumière verdâtre.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2017)

Des météores ont jailli de la constellation d'Orion. C'était prévu car en octobre c’est la période de l'année pour la pluie d’étoiles filantes des Orionides. Sur la photo ci-dessus, plus d'une douzaine de météores ont été pris dans des poses prisent le week-end dernier sur le volcan Wulan Hada en Mongolie intérieure, en Chine.
L'image montre de multiples traînées de météores qui peuvent toutes être reliées à une seule petite région du ciel appelée le radiant, visible juste au-dessus et à gauche de la ceinture d'Orion. Les Orionides sont des poussières expulsés de la comète de Halley lors de l'un de ses voyages dans le système solaire interne. Le mois prochain, la pluie de météores des Léonides, issue de la comète Tempel-Tuttle, devrait également avoir comme conséquence quelques belles étoiles filantes.

Source : Astronomy Picture of the Day


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Notre univers est-il hanté ? On pourrait le penser au vue de cette carte de la matière noire. La gravité de la matière noire invisible explique pourquoi les galaxies tournent si vite, pourquoi les galaxies orbitent si rapidement, pourquoi les lentilles gravitationnelles dévient si fortement la lumière, et pourquoi la matière visible est distribuée ainsi dans l'univers local et cosmique.
L'image ci-dessus, issue du spectacle ''Dark Universe'' du Hayden Planetarium du Musée Américain d'Histoire Naturelle, montre un exemple de la façon dont la matière noire omniprésente pourrait hanter notre univers. Dans ce cadre à partir d'une simulation informatique détaillée, des filaments complexes de matière noire, représentés en noir, sont éparpillés dans l'univers comme des toiles d'araignées, tandis que les amas relativement rares de matière baryonique familière sont colorés en orange. Ces simulations sont de bonnes corrélations statistiques avec les observations astronomiques.  

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2017)

Ce nuage cosmique avec des annexes en forme d'ailes s'appelle populairement la nébuleuse du Casque de Thor. Le diamètre du Casque de Thor est d'environ 30 années-lumière, digne d'un couvre-chef de dieu scandinave. En fait, le Casque est en réalité plutôt une bulle interstellaire, soufflée par le vent rapide de la brillante étoile massive au centre du nuage moléculaire.
Connue comme une Wolf-Rayet, l'étoile centrale est une géante extrêmement chaude, vraisemblablement à l'étape de pré-supernova de son évolution. Catalogué comme NGC 2359, la nébuleuse est située à environ 15.000 années-lumière de nous dans la constellation du Grand Chien.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2017)

Des galaxies lointaines se trouvent au-delà du premier plan des étoiles de la Voie Lactée dans ce champ de vision télescopique. Centré sur l'étoile jaunâtre HD 14771, la scène s'étend sur environ 1° dans le ciel vers la constellation d'Andromède.
En haut à droite, vue par la tranche, se trouve la grande galaxie spirale NGC 891, avec 100.000 années-lumière de diamètre. À environ 30 millions d'années-lumière, NGC 891 ressemble beaucoup à notre propre Voie Lactée avec un disque galactique aplati et mince. Son disque et son renflement central sont coupés au milieu par des nuages de poussière obscurs. Dispersés vers la gauche, les membres de l'amas de galaxies Abell 347. A près de 240 millions d'années-lumière, Abell 347 montre ses propres grandes galaxies qui sont similaires à NGC 891 en taille physique mais situés près de 8 fois plus loin.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2017)

Se déplaçant à grande vitesse le long d'une orbite hyperbolique extrême et effectuant un virage en épingle à cheveux alors qu'il passait devant le Soleil, le petit corps, maintenant désigné A/2017 U1, est le premier connu de l'espace interstellaire. Point de lumière centré sur cette exposition de 5 minutes enregistrée avec le télescope William Herschel depuis les îles Canaries le 28 octobre, le visiteur interstellaire ressemble à un astéroïde et ne montre aucun signe d'activité cométaire. Les faibles étoiles de fond apparaissent striées parce que le télescope de 4,2 mètres de diamètre suit le mouvement rapide d’A/2017 U1 dans le champ de vision.
L'astronome Rob Weryk (IfA) a reconnu pour la première fois l'objet en mouvement dans les données du réseau Pan-STARRS le 19 octobre. A/2017 est visible depuis la planète Terre seulement dans de grands télescopes optiques. Bien qu'une origine interstellaire ait été établie sur la base de son orbite, on ne sait pas encore combien de temps l'objet aurait pu dériver parmi les étoiles de la Voie Lactée. Mais sa vitesse de croisière interstellaire serait d'environ 26 km/s. Par comparaison, le vaisseau spatial Voyager 1 parcourt l’espace interstellaire à environ 17 km/s.

Source : Astronomy Picture of the Day


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Messier 5 (M5) est un amas globulaire de 100.000 étoiles ou plus, liées par la gravité et confinées dans une région de 165 années-lumière de diamètre. L’amas se trouve à environ 25.000 années-lumière de la Terre.
Ce bel amas d'étoiles est une cible populaire pour les télescopes des astronomes amateurs. Le télescope spatial Hubble a également capturé son propre point de vue magnifique, en gros plan, qui s'étend sur environ 20 années-lumière à proximité de la région centrale de M5.

Source : Astronomy Picture of the Day


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Est-ce que toutes les pleines Lunes se ressemblent ? Non. Pour voir les légères différences, regardez cette grille de douze pleines lunes. De la partie supérieure gauche à la partie inférieure droite, les images représentent chaque lunaison de novembre 2016 à octobre 2017, imagée depuis le Pakistan. Les pleines lunes consécutives sont toutes montrées à la même échelle et le changement de taille apparente, vu ici, est réel. Le changement est causé par la variation de la distance lunaire due à l'orbite non circulaire de la Lune.
L'entaille sombre au bas de la pleine Lune d’août 2017 est l'ombre de la Terre lors d’une éclipse lunaire partielle. En plus de la coloration parfois exagérée, un changement d'apparence plus subtil peut également être remarqué lors d'un examen attentif, car la Lune semble osciller légèrement d'une pleine Lune à l'autre.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2017)

D'où viennent les queues de comètes? Il n'y a pas d'endroits visibles sur les noyaux des comètes à partir desquels émanent les jets qui créent les queues de comètes. Cependant, l'année dernière la sonde Rosetta de l'ESA a non seulement imagé un jet émergeant de la Comète 67P/Churyumov-Gerasimenko, mais est passée à travers elle.
Ci-dessus est une image révélatrice montrant un brillant panache émergeant d'une petite pendaison circulaire délimitée d'un côté par un mur de 10 mètres de haut. Les analyses des données de Rosetta montrent que le jet était composé à la fois de poussière et de glace d'eau. Cette image a été prise en juillet dernier, environ deux mois avant la fin de la mission de Rosetta.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2017)

Au centre de Prague, il y a une horloge de la taille d'un bâtiment. Pendant la journée, la foule se rassemble pour regarder le spectacle quand elle sonne à chaque nouvelle heure. Le visage de l'horloge astronomique de Prague est incroyablement complexe, donnant non seulement le temps prévu par rapport au Soleil (temps solaire), mais le temps relatif aux étoiles (temps sidéral), le lever et le coucher du soleil à plusieurs latitudes incluant l'équateur, la phase de la Lune, et bien plus encore.
L'horloge a commencé à fonctionner en 1410, et même si beaucoup de ses rouages internes ont été modernisés, il y reste certaines pièces d'origines. En dessous de l'horloge est un calendrier solaire de taille presque égale qui tourne seulement une fois par an. Sur la photo, l'horloge astronomique de Prague a été photographiée tôt un matin de mars 2009. L'horloge et la tour de la vieille ville sont en cours de rénovation et l'horloge devrait être remise en service en juin 2018.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2017)

La nébuleuse inhabituelle présentée ici change notablement d'apparence en quelques semaines seulement. Découverte il y a plus de 200 ans et ensuite catalogué comme NGC 2261, la remarquable nébuleuse porte le nom d'Edwin Hubble, qui l'a étudié au début du siècle dernier. L'image ci-dessus a été prise par un autre homonyme d’Hubble : le télescope spatial.
La nébuleuse variable d’Hubble est une nébuleuse réfléchissante faite de gaz et de poussière fine qui sortent de l'étoile R Monocerotis. Elle a une longueur d’environ une année-lumière et se situe à environ 2.500 années-lumière de la Terre, en direction de la constellation de la Licorne. L’explication de la variabilité de la nébuleuse soutient que des nœuds denses de poussière opaque passent près de R Mon et projettent leurs ombres sur la poussière réfléchissante.

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La grande et belle galaxie spirale NGC 1055 est un membre dominant d'un petit groupe de galaxies à seulement 60 millions d'années-lumière de la Terre vers la constellation de la Baleine. Vu de profil, l'univers-île s'étend sur plus de 100.000 années-lumière, un peu plus grand que notre propre Voie Lactée.
Les étoiles colorées, au premier plan dans ce gros plan cosmique, sont bien à l'intérieur de la Voie Lactée. Mais les régions de formation d'étoiles rosâtre révélatrices sont dispersées à travers des bandes de poussière sinueuses le long du disque mince de la lointaine galaxie.

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Délicats en apparence, ces filaments de gaz choqué incandescent, visible dans le ciel de la planète Terre dans la constellation du Cygne, forment la partie occidentale de la nébuleuse du Voile. La nébuleuse du Voile elle-même est un grand vestige de supernova, un nuage en expansion née de l'explosion d'une étoile massive lors de sa mort. La lumière de la supernova originelle a probablement atteint la Terre il ya plus de 5.000 ans. Aussi connu sous le nom des Dentelles du Cygne, la nébuleuse du Voile s'étend maintenant sur près de 3° ou environ 6 fois le diamètre de la pleine Lune.
Appelé Triangle de Pickering selon la tradition qui voulait que les honneurs de la découverte aillent au directeur de l'observatoire, ce complexe triangulaire de filaments devrait en toute justice être connu sous le nom du Feu follet triangulaire de Fleming, du nom de Williamina Fleming, la femme astronome qui en fit réellement la découverte sur une plaque photographique.

Source : Astronomy Picture of the Day


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La Lune est normalement vue dans de subtiles nuances de gris. Mais de petites différences de couleurs mesurables ont été grandement exagérées dans cette mosaïque d'images à haute résolution, capturées près de la phase pleine de la Lune, pour construire un paysage lunaire central multicolore. Les différentes couleurs correspondent à des différentes compositions minérales de la surface lunaire. Les teintes bleues révèlent des zones riches en titane tandis que les couleurs plus orange et violettes montrent des régions relativement pauvres en titane et en fer.
L'intrigante mer de vapeurs est en bas au centre sous l'arc des Monts Apennins lunaires. Le fond sombre du cratère Archimède de 83 km de diamètre dans la mer des pluies est en haut à gauche. Au sommet de l'arc des Apennins se trouve le site d'atterrissage d'Apollo 15.

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Parfois, le ciel semble sourire sur une grande partie de la planète Terre. En ce jour de 2008, visible dans le monde entier, se trouvait une superposition inhabituelle de notre Lune et des planètes Vénus et Jupiter. Les photos prises au bon moment montrent un croissant de Lune qui semble être un sourire lorsqu'il est associé à la conjonction planétaire de Jupiter et de Vénus.
Sur la photo, voici la scène telle qu'elle est apparue de l’Observatoire du Mont Wilson surplombant Los Angeles, Californie, États-Unis après le coucher du soleil le 30 novembre 2008.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2017)

Pourquoi la comète Machholz est-elle si pauvre en produits chimiques contenant du carbone ? La renommée originelle de la comète 96P/Machholz découle de son rapprochement avec le Soleil plus que toute autre comète de courte période et ce, tous les cinq ans. Pour mieux comprendre cette comète inhabituelle, la sonde spatiale SOHO de Sun-monitoring a suivi la comète lors de sa dernière approche du Soleil en octobre.
L’image composite présentée ci-dessus montre la comète qui passe devant le Soleil. La surface brillante du Soleil est cachée à la vue derrière un occulteur sombre, bien que certaines parties de la couronne étendue du Soleil soient visibles. Les étoiles voisines parsèment le fond. Une hypothèse soutient que ces approches solaires font que la comète Machholz perd son carbone, alors qu'une autre hypothèse postule pour que la comète se soit formée avec cette composition très loin - peut-être même dans un autre système stellaire.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2017)

Le célèbre groupe d'étoiles les Pléiades détruit lentement une partie d'un nuage de gaz et de poussière. Les Pléiades sont le plus brillant amas ouvert d'étoiles du ciel nocturne et peuvent être vues de presque n'importe quel endroit de l’hémisphère nord à l'œil nu. Le jeune nuage de poussière qui passe est considéré comme faisant partie de la ceinture de Gould, un anneau de formation de jeunes étoiles entourant le Soleil dans notre galaxie la Voie Lactée.
Dans l'image ci-dessus a également été capturée, la comète C/2015 ER61 (PanSTARRS) visible en bas à gauche.

Source : Astronomy Picture of the Day


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Trouvé parmi les riches champs stellaires de la Voie Lactée, dans la constellation de Cassiopée, l'amas d'étoiles NGC 7789 se trouve à environ 8.000 années-lumière. Découvert par l'astronome Caroline Lucretia Herschel à la fin du 18ème siècle, l'amas est également appelé la Rose de Caroline.
De plus de 50 années-lumière de diamètre, la Rose de Caroline couvre un champ d'environ un demi-degré (de la taille angulaire de la Lune) et est visible près du centre de l'image ci-dessus.

Source : Astronomy Picture of the Day


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