Image du jour (2018 à 2020)

La lumière diffuse des étoiles et les sombres nébuleuses le long de la Voie Lactée australe s'étalent en diagonale dans ce magnifique paysage nocturne. L'époustouflante mosaïque couvre un large champ de 100°, avec au premier plan le terrain accidenté de la Patagonie en Argentine.
Avec notre propre galaxie, l'image comporte les deux galaxies satellites irrégulières - les Grand et le Petit Nuages de Magellan. La scène capte également la large queue et la brillante coma de la comète McNaught, la grande comète de 2007.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2017)

À la lumière des étoiles, cette nébuleuse brille dans le noir, un étrange profil tordu évoquant son nom populaire de la Tête de la Sorcière. En fait, ce portrait télescopique envoûtant donne l'impression que la sorcière a fixé son regard sur la brillante étoile Rigel dans la constellation d’Orion.
Plus connue sous le nom d’IC 2118, la nébuleuse de la Tête de la Sorcière s'étend sur environ 50 années-lumière et se compose de grains de poussière interstellaire reflétant la lumière des étoiles de Rigel. Rigel, la nébuleuse de la Tête de la Sorcière, ainsi que le gaz et la poussière qui les entoure se trouvent à environ 800 années-lumière de la Terre.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2017)

Avec des données d'image de grands et petits télescopes, on peut voir dans ce gros plan la poussiéreuse nébuleuse de la Trompe de l'Éléphant. Elle serpente à travers la nébuleuse par émission et le complexe de jeunes étoiles IC 1396, dans la haute constellation de Céphée.
Aussi connu sous le nom de vdB 142, la Trompe de l'Eléphant cosmique a une longueur de plus de 20 années-lumière. À près de 3.000 années-lumière de distance, le complexe IC 1396, relativement faible, couvre une vaste région du ciel de plus de 5°.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2017)

Cette vue passionnante et inhabituelle de la nébuleuse d'Orion est une visualisation basée sur des données astronomiques et des techniques de rendu cinématographique. Etant au plus près d’une célèbre pouponnière stellaire normalement vue à 1.500 années-lumière, le cadre modélisé numériquement passe d'une représentation en lumière visible basée sur les données de Hubble sur la gauche aux données infrarouges du télescope spatial Spitzer sur la droite.
La perspective au centre regarde le long d'une vallée sur une année-lumière, de long dans le nuage moléculaire géant de la région. La vallée d'Orion se termine dans une cavité creusée par les vents énergétiques et le rayonnement des massives étoiles centrales de l'amas stellaire du Trapèze. Ce cadre unique fait partie d'une vidéo tridimensionnelle en multi-longueur d'ondes qui permet au spectateur de vivre un vol immersif de trois minutes à travers la Grande Nébuleuse d'Orion. Pour voir le film, cliquez ICI.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2017)

Les étoiles de l’amas des Hyades sont dispersées dans cette mosaïque s'étendant sur plus de 5° sur le ciel vers la constellation du Taureau. Actuellement en croisière dans le système solaire, la comète C/2016 R2 PanSTARRS, remarquablement bleue, est visible dans ce grand champ en utilisant les données d'image du 12 janvier dernier. Avec le sommet de la forme en V de l’amas des Hyades positionné en haut au centre, la brillante Aldébaran, étoile alpha de Taureau, se situe en bas à droite. Alors que les étoiles des Hyades sont rassemblées à 151 années-lumière, Aldébaran se trouve à seulement 65 années-lumière de distance et est donc séparé des étoiles de l’amas.
Le 12 janvier, C/2016 R2 se trouvait à plus de 17 minutes-lumière de la planète Terre et à près de 24 minutes-lumière du Soleil. Sa queue est teintée en bleu largement due au gaz CO + fluorescent au soleil, alors que la tête, ou le coma de la comète, apparaît avec une teinte légèrement verdâtre, probablement une émission de carbone diatomique.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2017)

Séduisant spectacle dans le ciel du sud, le Grand Nuage de Magellan (LMC) est vu dans cette mosaïque télescopique détaillée. Enregistrée avec des filtres à large bande et à bande étroite, la scène s'étend sur 5° (ou 10 pleines Lunes). Les filtres à bande étroite sont conçus pour transmettre uniquement la lumière émise par l'hydrogène et les atomes d'oxygène. Ionisés par la lumière des étoiles, les atomes émettent leur lumière caractéristique lorsque les électrons sont recapturés et que les atomes passent à un état d'énergie inférieur.
En conséquence, dans cette image, le LMC semble recouvert de ses propres nuages de gaz ionisé entourant ses jeunes étoiles massives. Sculptés par les forts vents stellaires et le rayonnement ultraviolet, les nuages incandescents, dominés par l'émission d'hydrogène, sont connus sous le nom de régions H II (hydrogène ionisé). Elle-même composée de nombreuses régions H II se chevauchant, la nébuleuse de la Tarentule est la grande région de formation d'étoiles à gauche. Le plus grand satellite de notre galaxie de la Voie Lactée, le LMC a environ 15.000 années-lumière de diamètre et se trouve à seulement 160.000 années-lumière vers la constellation de la Daurade.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2017)

Également connu sous le nom de "Lumière cendrée" de la Lune ou de "Vieille Lune dans les Bras de la Nouvelle Lune", le côté obscur (non éclairé par le Soleil) de la Lune reflète la lumière de la Terre.
C’est à l'observatoire de Las Campanas, dans le désert d'Atacama au Chili, que cette étonnante image d'un jeune croissant lunaire a été prise le 18 janvier dernier. Des couches d'inversion atmosphérique spectaculaires apparaissent au-dessus de l'océan Pacifique. Lorsque la Lune apparaît dans le ciel de la Terre comme un mince croissant, une Terre éblouissante, presque pleine, serait vue depuis la surface lunaire.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2017)

Dans la tempête qui frappa la péninsule supérieure du Michigan en 1938, quelques congères de neige ont atteint le sommet des poteaux électriques. Près d'un mètre de neige nouvelle et inattendue est tombé en deux jours dans une tempête qui a commencé il ya 80 ans le 23 janvier. Les vents violents ont empilés la neige à des sommets surréalistes, de nombreuses routes sont devenues impraticables Seules deux personnes ont été tuées, et de nombreux enfants ont été contraints de passer plusieurs jours consécutifs à l'école.
L'image ci-dessus a été prise par un résident local peu de temps après la tempête. Bien que l'ensemble de cette neige a finalement fondu, c'est ce type de tempêtes de neige qui, répétées, aident à construire des glaciers durables dans les régions enneigées de notre planète Terre.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2017)

Et si vous pouviez regarder le centre de notre Galaxie - que pourriez-vous y voir ? Deux possibilités, déterminées scientifiquement, sont présentées dans la vidéo ci-dessus, une vue immersive à 360° qui vous permet de regarder dans toutes les directions. La simulation informatique illustrée est basée sur les données infrarouges du Very Large Telescope de l'ESO au Chili et sur les données de rayons X de l'observatoire spatial Chandra de la NASA.
Au début de la vidéo, vous approchez rapidement de Sgr A *, le trou noir supermassif du centre galactique. Puis, vous parcourez 500 ans en accélé au cours desquels du gaz incandescent et de nombreux points de lumière tournent autour de vous. Beaucoup de ces points sont de jeunes étoiles Wolf-Rayet entourées de bulles de vents chauds parfaitement visibles. Vers la fin de la vidéo, la simulation se répète, mais cette fois avec la région dynamique entourant Sgr A * éjectant le gaz chaud qui repousse les matériaux approchant.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2017)

Pourquoi certaines galaxies spirales ont-elles un anneau autour du cœur ? La galaxie spirale NGC 1398 a non seulement un cercle d'étoiles nacrées de gaz et de poussière autour de son cœur, mais une barre d'étoiles et de gaz en son centre, et des bras spiraux qui apparaissent plus lointains comme des rubans.
L'image ci-dessus a été prise avec le Very Large Telescope de l'ESO à l'Observatoire de Paranal au Chili et résout cette grande spirale avec des détails impressionnants. NGC 1398 se trouve à environ 65 millions d'années-lumière, ce qui signifie que la lumière que nous voyons aujourd'hui a quitté cette galaxie lorsque les dinosaures disparaissaient de la Terre. La galaxie photogénique est visible avec un petit télescope vers la constellation australe du Four (Fornax). L'anneau près du centre est probablement une onde de densité croissante de formation d'étoiles, causée soit par une rencontre gravitationnelle avec une autre galaxie, soit par les propres asymétries gravitationnelles de la galaxie.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2017)

Ce gros plan télescopique montre la faible nébuleuse par émission IC 410. Elle montre deux des remarquables habitants de l'étang cosmique de gaz et de poussière en dessous et à droite du centre, les Têtards de IC 410.
Partiellement obscurcis par la poussière au premier plan, la nébuleuse elle-même entoure NGC 1893, un jeune amas galactique d'étoiles. Formées dans le nuage interstellaire il y a à peine 4 millions d'années, les très chaudes étoiles du brillant amas ont dynamisé le gaz rougeoyant. Composé de gaz plus dense et plus froid, ainsi que de poussière, les Têtards ont une longueur d'environ 10 années-lumière sont susceptibles d'être des sites de formation d'étoiles permanents.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2017)

Une collision de deux galaxies a créé, par hasard, une forme étonnamment reconnaissable sur une échelle cosmique, la galaxie de la Roue de Chariot. La Roue de Chariot fait partie d'un groupe de galaxies à environ 500 millions d'années-lumière dans la constellation du Sculpteur. Deux plus petites galaxies du groupe sont visibles sur la droite.
La jante de la galaxie de la Roue de Chariot est une immense structure annulaire de 150.000 années-lumière composée d'étoiles massives nouvellement formées et extrêmement brillantes. Lorsque les galaxies entrent en collision, elles se traversent, leurs étoiles individuelles venant rarement en contact. Pourtant, les champs gravitationnels des galaxies sont sérieusement déformés par la collision.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2017)

A sol 1943 de son voyage d'exploration à travers la surface de Mars, le rover Curiosity a enregistré ce selfie sur le bord sud de la crête de Vera Rubin. Bien sûr, un sol est un jour solaire martien, environ 40 minutes de plus qu'un jour de la Terre. Le sol 1943 de Curiosity correspond à la date de la Terre du 23 janvier 2018.
Également composé comme VR interactif à 360°, le panorama mosaïqué combine 61 poses prises par le Mars Hand Lens Imager (MAHLI) du rover de la taille d’une automobile. Les poses contenant le bras de l'imageur ont été supprimées tandis que le fond étendu utilisé a été pris par le Mastcam du rover à sol 1903.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2017)

Regardant vers le ciel, l'une des nombreuses lagunes du désert de sel d'Atacama reflète calmement un ciel nocturne étoilé près de San Pedro de Atacama, au Chili. Des fissures cosmiques de poussière, des nuages d'étoiles et des nébuleuses de la galaxie de la Voie Lactée s'élèvent à l'est, au-delà d'un horizon volcanique.
Pris dans le panorama à six images enregistrées aux premières heures du 15 janvier, les planètes Jupiter et Mars sont proches l’une de l’autre. Près de l'écliptique, les brillantes planètes sont immergées dans la bande visible de la lumière zodiacale du système solaire s'étendant vers le haut à droite. Au-dessus de l'horizon au sud (à droite) se trouvent les grands et petits nuages de Magellan, galaxies satellites de la Voie Lactée.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2017)

L'éclipse lunaire totale de 2011 a été enregistrée dans une vidéo time-lapse au Tadjikistan. Au cours d'une éclipse lunaire totale, la Terre se déplace entre la Lune et le Soleil, provoquant une disparition spectaculaire de la Lune. La Lune ne devient jamais complètement sombre, cependant, puisque l'atmosphère terrestre réfracte la lumière.
Au début de la vidéo, la scène est éclairée par la lueur de la pleine lune. À mesure que la Lune s'éclipse et s'évanouit, le vent se calme et les étoiles de fond se reflètent dans le lac au premier plan. Plus spectaculairement, le ciel entourant la lune éclipsée semble soudain être plein d'étoiles. La séquence se répète avec une vue rapprochée, et l'image finale montre l'emplacement de la Lune éclipsée près des nébuleuses de l’Aigle, du Cygne, de la Lagune et de la Trifide. Deux heures après le début de l'éclipse, la Lune émerge de l'ombre de la Terre et son plein éclat domine à nouveau le ciel.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2017)

Est-ce que l'Araignée attrapera jamais la mouche ? Non si les deux sont de grandes nébuleuses par émission vers la constellation du Cocher. Le nuage de gaz en forme d'araignée sur la gauche est en fait une nébuleuse par émission cataloguée IC 417, tandis que le plus petit nuage en forme de Mouche à droite est baptisé NGC 1931 et est à la fois une nébuleuse par émission et une nébuleuse par réflexion.
À environ 10.000 années-lumière, les deux nébuleuses abritent de jeunes amas d'étoiles ouvertes. Pour l'échelle, le NGC 1931 (la Mouche), plus compact, a une longueur d'environ 10 années-lumière.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2017)

Akatsuki, une sonde japonaise, a été mise en orbite autour de Vénus fin 2015, après une aventure imprévue de cinq ans dans le système solaire interne. Même si Akatsuki a dépassé sa durée de vie initialement prévue, le vaisseau spatial et ses instruments fonctionnent si bien qu'une grande partie de sa mission initiale a été rétablie.
Dans l'image ci-dessus prise par Akatsuki à la fin du mois dernier, Venus a été capturé en lumière infrarouge montrant une quantité surprenante de sa structure atmosphérique sur son côté nuit. La bande du terminateur orange (entre la nuit et le jour) est très large en raison de la lumière qui est diffusée par l'épaisse atmosphère de Vénus.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2017)

Il y a soixante ans, le 31 janvier 1958, le premier Explorer a été lancé avec succès par l'Army Ballistic Missile Agency sur une fusée Jupiter-C.
Inaugurant l'ère de l'exploration spatiale aux États-Unis, Explorer 1 était un satellite de trente livres qui transportait des instruments pour mesurer les températures et les impacts de micrométéorites, ainsi qu'une expérience conçue par James A. Van Allen pour mesurer la densité des électrons et des ions dans l'espace. Les mesures faites par l'expérience de Van Allen ont conduit à une découverte inattendue et surprenante de deux ceintures encerclant la Terre d'électrons de haute énergie et d'ions piégés dans la magnétosphère. Maintenant connues sous le nom de bandes de radiation de Van Allen, les régions sont situées dans la magnétosphère intérieure, au-delà de l'orbite terrestre basse. Explorer a cessé d'émettre le 28 février 1958, mais il est resté en orbite jusqu'en mars 1970.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2017)

Près du point le plus proche de son orbite, la deuxième pleine Lune du mois a eu lieu le 31 janvier. La première éclipse lunaire totale de 2018 a également eu lieu lorsque la lune a glissé à travers l'ombre de la planète Terre.
Dans une carte postale de la planète Terre, cet instantané télescopique capture la Lune totalement éclipsée au-dessus de l'horizon ouest et les montagnes Chiricahua du sud de l'Arizona. La teinte rougeâtre évocatrice de la Lune est due à la lumière du soleil dispersée dans l'ombre.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2017)

Cette image d'un horizon lointain regarde vers le grand sommet du Trisul des montagnes himalayennes enneigées de l'Inde. Imagé le 31 janvier, l'étoile Procyon brille en haut à droite. La Lune rouge qui se lève glisse à travers l'ombre de la Terre pendant l'éclipse lunaire totale attendue de la soirée.
Appréciée à travers le côté nocturne de la planète, l'éclipse était la première de deux éclipses lunaires totales en 2018, débutant une bonne année pour les observateurs de la Lune. La Lune éclipsée se dressait également près du périgée, le point le plus proche de son orbite, au cours de la deuxième pleine Lune du mois, également connue sous le nom de Lune Bleue. Pour l'éclipse lunaire totale du 27 juillet 2018, la pleine Lune sera très proche de l'apogée.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2017)

L’ombre sombre de la Terre a la forme d'un cône s'étirant dans l'espace. Bien sûr, sa section transversale circulaire à la distance de la Lune est plus facilement visible lors d'une éclipse lunaire. En fait, dans cette image composite au téléobjectif du côté nocturne de la Terre le 31 janvier, l'ombre de la Terre a pris une teinte rougeâtre. L'étendue de l'ombre le long de l'orbite lunaire est illustrée en alignant trois images prises juste avant le début, près du milieu et juste après la fin de la phase d'éclipse totale qui a duré environ 76 minutes.
En haut à droite et plus facilement visible pendant la phase totale de l'éclipse, M44 est l'un des plus gros amas d'étoiles. À seulement 600 années-lumière, M44 est également connu sous le nom de Praesepe ou de l’amas de la Ruche ou encore l’amas de la Crèche.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2017)

Un type inhabituel d'éclipse solaire a eu lieu en 2012. Habituellement, c'est la Lune de la Terre qui éclipse le Soleil. En juin 2012, plus exceptionnellement, c'est la planète Vénus qui est passée devant le disque solaire. La situation pourrait techniquement être étiquetée comme éclipse annulaire vénusienne avec un extraordinairement grand anneau de feu.
Sur la photo ci-dessus pendant l'occultation, le Soleil a été imagée en trois couleurs de lumière ultraviolette par la sonde Solar Dynamics Observatory. La région sombre vers la droite correspond à un trou coronal.
Le prochain passage vénusien devant le Soleil aura lieu en 2117.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2017)

NGC 7635, la nébuleuse de la Bulle, est poussée par le vent stellaire de l'étoile massive centrale BD+602.522. Juste à côté, vit un nuage moléculaire géant, visible à droite. A cet endroit dans l'espace, une force irrésistible rencontre un objet immobile d'une manière intéressante. Le nuage est en mesure de contenir l'expansion du gaz de la bulle, mais se fait percuter par le rayonnement chaud de l'étoile centrale de la bulle. Le rayonnement réchauffe les régions denses du nuage moléculaire le faisant briller.
La nébuleuse de la Bulle, présentée ici en couleurs choisies pour faire apparaître le contraste, a un diamètre d'environ 10 années-lumière. Elle peut être vue avec un petit télescope vers la constellation de Cassiopée.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2017)

Qu'est-il arrivé à la galaxie NGC 474 ? Les multiples couches d'émission semblent étrangement complexes et inattendues au vu de l'aspect relativement lisse de la galaxie elliptique dans des images moins profondes.
La cause des coquilles est actuellement inconnue. Mais elles sont probablement des queues de marée gravitationnelle liées aux débris laissés par de nombreuses petites galaxies absorbées lors des derniers milliards d'années. Elles pourraient être aussi comme les rides à la surface d'un lac, en fait des ondes de densité liées à la collision en cours avec la galaxie spirale située à la droite de NGC 474.
Le diamètre de NGC 474 est d'environ 250.000 années-lumière et se situe à environ 100 millions d'années-lumière de nous vers la constellation des Poissons.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2017)

La grande et belle galaxie spirale NGC 7331 est souvent présentée comme un analogue de notre propre galaxie, la Voie Lactée. A environ 50 millions d'années-lumière de la Terre dans la constellation de Pégase, NGC 7331 est vue dans l’image ci-dessus dans ce gros plan du télescope spatial Hubble.
Les magnifiques bras en spirale de la galaxie présentent des ruelles de poussière sombres, des grappes bleutées de jeunes étoiles massives et la lueur rougeâtre révélatrice des régions actives de formation d'étoiles. Les régions centrales jaunâtres brillantes abritent des populations d'étoiles plus anciennes et plus froides. Comme la Voie Lactée, un trou noir supermassif se trouve au cœur de la galaxie spirale NGC 7331.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2018)