Image du jour (2018 à 2020)

Le 31 janvier, une éclipse lunaire a été appréciée à plusieurs endroits de la planète Terre, la première des trois éclipses totales consécutives de la Lune. Cette spectaculaire image a suivi la performance céleste pendant plus de trois heures dans une série de poses combinées de la province du Hebei au nord de la Chine.
Fixé sur un trépied, l’appareil photo a enregistré la pleine Lune glissant dans un ciel nocturne dégagé. Trop brillant juste avant et après l'éclipse, le sentier en forme de nœud papillon de la Lune devient étroit et rouge pendant la phase d'éclipse totale plus sombre qui a duré une heure et 16 minutes. Dans le lointain sont les traînées colorées d'étoiles dans des arcs concentriques au-dessus et au-dessous de l'équateur céleste.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2018)

Cette image composite, traitée numériquement, compare de manière créative deux éclipses célèbres en une seule : l'éclipse lunaire totale (à gauche) du 31 janvier et l'éclipse solaire totale du 21 août 2017. Dans l'éclipse lunaire, à la mi-totalité, sa surface reste faiblement éclairée dans l'ombre rouge sombre de la Terre. Mais dans l'éclipse solaire, la Lune est en silhouette contre le disque brillant du Soleil, où la surface lunaire autrement sombre est juste visible à cause de la terre.
La phase totale de la grande éclipse américaine du 21 août a duré environ 2 minutes ou moins selon les emplacements le long du chemin de l'ombre de la Lune. Du côté nocturne de la planète Terre, la totalité de la Super Lune Bleue de Sang du 31 janvier a duré plus d'une heure.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2018)

Ne paniquez pas. C'est juste un mannequin en costume spatial nommé Starman. Alors que le croissant de Terre s’éloigne en arrière plan, Starman est confortablement assis au volant d'un roadster Tesla lancée par une fusée Falcon Heavy le 6 février. Internationalement désigné 2018-017A, la Tesla et Starman se dirigent au-delà de l'orbite de Mars.
Le succès de la fusée Falcon Heavy est devenu le lanceur la plus puissant en opération et le roadster est l'une des quatre voitures électriques lancées depuis la planète Terre. Les trois autres ont été lancés sur la Lune par des fusées Saturn V historiquement plus puissantes (mais non réutilisables).

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2018)

Qu'est-il arrivé au Soleil ? Une éclipse ! Au début de 2009, la Lune a éclipsé une partie du Soleil visible de certaines régions d'Afrique, d'Australie et d'Asie. En particulier, l'image ci-dessus a capturé un Soleil partiellement éclipsé sur la baie de Manille aux Philippines. Des embarcadères sont visibles en silhouette au premier plan.
Les chasseurs d'éclipse bien placés ont capturé de nombreuses autres images intéressantes et artistiques de la seule éclipse solaire annulaire de l'année. Jeudi dernier, des parties du Soleil ont été à nouveau brièvement bloquées par la Lune, encore visibles par certains comme une éclipse partielle du Soleil. Cependant, cette éclipse de 2018 n’a été visible que dans certaines régions du sud de l'Amérique du Sud et de l'Antarctique.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2018)

Quel est cet objet qui fonce vers le groupe d'étoiles des Pléiades ? Il semble que c’est la comète C/2016 R2 (PanSTARRS), mais les apparences sont trompeuses. À droite et loin en arrière plan, le célèbre amas d'étoiles des Pléiades est dominé par la lumière bleue des jeunes étoiles massives. Plus près de nous, sur la gauche et visitant le système solaire interne, est la comète PanSTARRS, un bloc de glace du système solaire externe qui arbore actuellement une longue queue d'ion dominée par la lumière bleue d'une abondance anormalement élevée de monoxyde de carbone ionisé.
La comète PanSTARRS se déplace réellement vers le haut de l'image, et sa queue ionique pointe à l'opposé du Soleil, mais elle est affectée par un vent solaire complexe de particules sortant du Soleil. Visible à travers un petit télescope, la comète s'estompe à mesure qu'elle s'éloigne de la Terre, même si elle atteint son point le plus proche du Soleil au début du mois de mai.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2018)

La semaine dernière, une voiture a orbité la Terre. La voiture, créée par des humains et des robots sur Terre, a été lancée par la compagnie SpaceX pour démontrer la capacité de sa Falcon Heavy Rocket à placer des vaisseaux spatiaux dans le système solaire. Conçue à dessein pour être futile, la voiture emblématique était considérée comme un meilleur objet de démonstration que des blocs de béton. Un mannequin vêtu d'un scaphandre spatial - surnommé Starman - est assis sur le siège du conducteur.
L'image ci-dessus est une pose d'une vidéo prise par l'une des trois caméras montées sur la voiture. Ces caméras, connectées à la batterie de la voiture, sont maintenant hors d'usage. La voiture a rapidement quitté l'orbite terrestre et orbitera le Soleil entre la Terre et la ceinture d'astéroïdes indéfiniment - peut-être jusqu'à des milliards d'années, lorsque notre Soleil gonflera en une géante rouge. Si jamais elle est récupérée, ce qui reste de la voiture peut devenir une fenêtre unique sur les technologies développées sur Terre fin du 20ème et début du 21ème siècle.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2018)

Qu'il y a-t-il à l'intérieur de la nébuleuse de Cœur ? Tout d'abord, la grande nébuleuse d'émission IC 1805 doit son nom populaire à son apparence de cœur humain. La nébuleuse brille fortement à la lumière rouge émise par son élément le plus important : l'hydrogène ionisé. Sa forme et sa lueur rouge sont toutes deux créés par un petit groupe d'étoiles près du centre de la nébuleuse, l'amas ouvert Melotte 15, qui contient quelques étoiles brillantes de près de 50 fois la masse de notre Soleil.
La nébuleuse du Cœur est située à environ 7.500 années-lumière en direction de la constellation de Cassiopée.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2018)

L'un des mondes les plus intéressants de notre système solaire, Encelade est en contrejour dans cette image du vaisseau spatial Cassini du 1er novembre 2009. L'illumination révèle les panaches qui crachent continuellement dans l'espace depuis le pôle sud de la lune de Saturne, d’un diamètre de 500 km.
Découvert par Cassini en 2005, les panaches de glace sont probablement connectés à un océan sous la calotte glaciaire d'Encelade. Ils fournissent des matériaux directement au ténu anneau E externe de Saturne et rendent la surface d'Encelade réfléchissante comme la neige. De l'autre côté de la scène, les anneaux glacés de Saturne dispersent la lumière du soleil vers les caméras de Cassini. Au-delà des anneaux, le côté nocturne de la lune Pandora de 80 km de diamètre est faiblement éclairé par la lumière de Saturne.

Source : Astronomy Picture of the Day


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La comète PanSTARRS (C/2016 R2), également connue sous le nom de comète bleue, se trouve en bas près du bord gauche de cette magnifique vue en champ large enregistrée le 13 janvier dernier. Elle s'étend sur près de 20° dans le ciel. Elle se compose de nuages colorés et de nébuleuses sombres poussiéreuses, trop faibles pour être vues à l’œil nu. La comète était à environ 17 minutes de la Terre.
En haut à droite, la nébuleuse Californie (alias NGC 1499) a son littoral qui s'étend sur plus de 60 années-lumière et se situe à environ 1.500 années-lumière. La lueur rougeâtre prononcée de la nébuleuse provient d'atomes d'hydrogène ionisés par la brillante étoile bleue Xi Persei juste en dessous. Près du centre du fond, le célèbre groupe d'étoiles des Pléiades se trouve à quelque 400 années-lumière de la Terre. Sa couleur bleue spectaculaire est due à la réflexion de la lumière des étoiles par la poussière interstellaire.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2018)

Les lumières de la ville brillent le long de la partie Est de Manhattan dans ce spectaculaire paysage urbain nocturne du 13 février. Composé d'une série de poses numériques, l'image monochrome rappelle le temps où le film noir et blanc sensible était un choix populaire pour la nuit tamisée… et l'astrophotographie.
S'étendant sur 2 minutes et 40 secondes, les 22 poses combinées jettent un coup d'œil à travers le réservoir de Central Park de New York. Les étoiles filent dans la vue tandis que les nuages à la dérive créent des motifs dans le ciel. Tracée de haut en bas, la ligne pointillée dans la scène surréaliste est la Station spatiale internationale encore en plein soleil et se dirigeant vers l'horizon sud-est. Les courts intervalles de temps entre les poses laissent des trous dans la traînée brillante de la station spatiale.

Source : Astronomy Picture of the Day


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Cette esthétique gros-plan de nuages cosmiques et de vents stellaires dévoile LL Orionis qui interagit avec le flux de la nébuleuse d'Orion. À la dérive dans la pouponnière stellaire d'Orion et toujours en formation, l'étoile variable LL Orionis produit un vent plus énergétique que le vent de notre propre Soleil d'âge moyen.
Comme le vent stellaire rapide se heurte à gaz de mouvement plus lent, une onde de choc apparaît, analogue au sillage d'un bateau se déplaçant sur l'eau ou d'un avion se déplaçant à une vitesse supersonique. La petite et gracieuse structure en arc, juste en dessous du centre à gauche, est l'onde de choc cosmique de LL Ori mesurant environ la moitié d'une année-lumière.
Cette belle photo fait partie d'une grande mosaïque de la complexe pouponnière stellaire d'Orion.

Source : Astronomy Picture of the Day


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Comment est-ce qu'on est arrivés ici ? Nous savons que nous vivons sur une planète en orbite autour d'une étoile en orbite autour d'une galaxie, mais comment tout cela s'est-il formé ? Pour mieux en comprendre les détails, les astrophysiciens ont amélioré la célèbre Illustris Simulation en IllustrisTNG – aujourd’hui le modèle informatique le plus sophistiqué de la façon dont les galaxies ont évolué dans notre Univers.
Plus précisément, cette vidéo présente des champs magnétiques de l'Univers primordial (redshift 5) jusqu'à aujourd'hui (redshift 0). Ici le bleu représente des champs magnétiques relativement faibles, tandis que le blanc représente les forts. Ces champs B sont étroitement associés aux galaxies et aux amas galactiques. Alors que la simulation commence, une caméra virtuelle tourne autour de l'univers virtuel d'IllustrisTNG, montrant une région jeune - 30 millions d'années-lumière - assez filamenteuse. La gravité fait que les galaxies se forment et fusionnent à mesure que l'univers se développe et évolue. À la fin, l'Univers IllustrisTNG simulé ressemble à notre Univers réel actuel, bien que certaines différences intéressantes apparaissent - par exemple une divergence impliquant la puissance dans les ondes radio émises par des particules chargées se déplaçant rapidement.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2018)

La semaine dernière, de certains endroits de l'hémisphère sud de la Terre on a pu voir une éclipse solaire partielle. L'image ci-dessus a été prise vers la fin de l'éclipse depuis la côte de l'Uruguay surplombant Buenos Aires en Argentine. L'île de Farallón, ornée d’un phare, est vue au premier plan et un avion est visible juste à gauche du Soleil. L'image est en fait une combinaison numérique de deux poses consécutives prises avec le même appareil photo en utilisant les mêmes réglages.
La prochaine éclipse solaire visible sur Terre sera une autre éclipse partielle survenant à la mi-juillet et visible depuis certaines parties du sud de l'Australie, y compris la Tasmanie.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2018)

Jupiter a l'air un peu différent en lumière infrarouge. Pour mieux comprendre les mouvements des nuages de Jupiter et aider la sonde Juno de la NASA à comprendre le contexte planétaire des petits champs qu'il voit, le télescope spatial Hubble a été invité à photographier régulièrement l'ensemble du géant jovien.
Les couleurs de Jupiter vont au-delà de la portée visuelle humaine normale en incluant la lumière ultraviolette et infrarouge. Présenté ici en 2016, trois bandes de lumière en proche infrarouge ont été réassignées numériquement en une image couleur mappée. Jupiter semble différent en l'infrarouge en partie parce que la quantité de lumière réfléchie par le Soleil est distincte, ce qui donne des hauteurs de nuages et des latitudes différentes. Néanmoins, de nombreuses caractéristiques familières sur Jupiter subsistent, y compris les zones claires et les ceintures sombres qui entourent la planète près de l'équateur, la Grande Tache Rouge en bas à gauche, et les systèmes de tempêtes au sud de la Grande Tache Rouge. Les pôles brillent parce que les particules chargées de la magnétosphère de Jupiter excitent la brume de haute altitude. Junon a maintenant complété 10 des 12 orbites scientifiques planifiées de Jupiter et continue d'enregistrer des données qui aident l'humanité à comprendre nce qui se cache sous les épais nuages de Jupiter.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2018)

Toutes les roses ne sont pas rouges bien sûr, mais elles peuvent toujours être très jolies. De même, la belle nébuleuse de la Rosette et d'autres régions de formation d'étoiles sont souvent représentées dans des images astronomiques avec une teinte principalement rouge, en partie parce que l'émission dominante de la nébuleuse provient d'atomes d'hydrogène. La ligne d'émission optique la plus puissante de l'hydrogène, connue sous le nom d’H-alpha, est dans la région rouge du spectre, mais la beauté d'une nébuleuse d'émission n'a pas besoin d'être appréciée dans la seule lumière rouge.
D'autres atomes de la nébuleuse sont également excités par la lumière des étoiles et produisent également des lignes d'émission étroites. Dans cette magnifique vue de la nébuleuse de la Rosette, les images à bande étroite sont combinées pour montrer l'émission des atomes de soufre en rouge, l'hydrogène en bleu et l'oxygène en vert. L'image couvre environ 100 années-lumière dans la constellation de la Licorne, à la distance estimée de 3.000 années-lumière.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2018)

Sortez vos lunettes rouges/bleues et découvrez cette superbe vue stéréo d'un autre monde. La scène a été enregistrée par le commandant de la mission Apollo 17, Eugene Cernan, le 11 décembre 1972, à une orbite avant la descente pour atterrir sur la Lune.
L'anaglyphe stéréo a été assemblé à partir de deux photographies du Lunar Module Challenger tandis que lui et le Dr. Harrison Schmitt survolaient le site d'atterrissage d'Apollo 17 dans la vallée Taurus-Littrow. Piloté par Ron Evans, le Command Module America est visible en orbite au premier plan face au pic du Massif du Sud.

Source : Astronomy Picture of the Day


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De notre point de vue dans la galaxie de la Voie Lactée, nous voyons NGC 6946 de face. Également connu comme la galaxie du Feu d’Artifice, ce grand et beau univers-île est localisée à 10 millions d'années-lumière de nous, derrière un voile d'étoiles au premier plan, dans la constellation de Céphée.
Au cours des 100 dernières années, au moins neuf supernovas (des explosions d'étoiles massives), ont été découvertes dans NGC 6946. Par comparaison, le taux moyen de supernovas de la Voie Lactée est d'environ 1 par siècle.

Source : Astronomy Picture of the Day


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AE Aurigae est appelée l'étoile flamboyante. La nébuleuse environnante IC 405 se nomme la nébuleuse de l'étoile flamboyante. L'étoile brillante AE Aurigae est visible près du centre de la nébuleuse et est si chaude qu'elle est bleue, émettant une lumière si énergétique qu'elle éloigne les électrons des atomes présents dans les gaz environnants.
Dans ce portrait cosmique, IC 405 se trouve à environ 1.500 années lumières de nous, s'étend sur environ 5 années-lumière et est visible avec un petit télescope vers la constellation du Cocher.

Source : Astronomy Picture of the Day


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Voici Jupiter ! La sonde de la NASA, Juno, poursuit ses orbites, très allongées, de 53 jours autour de la plus grande planète de notre système solaire. La vidéo en vedette est du perijove 11, la onzième fois que Juno est passé près de Jupiter depuis son arrivée à la mi-2016.
Le film accéléré, en couleur améliorée, couvre environ quatre heures et se transforme en 36 images JunoCam. La sonde s’est approchée à environ 3 500 kilomètres au-dessus des sommets nuageux de Jupiter. Pour obtenir les données scientifiques souhaitées, Juno est si proche de Jupiter que ses instruments sont exposés à de très hauts niveaux de radiation.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2018)

Quels sont ces deux bandes dans le ciel ? La bande la plus souvent vue est celle de droite. C’est la bande centrale de notre galaxie de la Voie Lactée. Notre Soleil est en orbite dans le disque de cette galaxie spirale, de sorte que de l'intérieur, ce disque apparaît comme une bande de lumière comparable tout autour du ciel. Moins courante, la bande de gauche est la lumière zodiacale - la lumière du soleil réfléchie par la poussière en orbite autour du Soleil dans notre système solaire. La lumière zodiacale est la plus brillante près du Soleil et est donc plus facilement visible juste avant le lever du soleil ou juste après le coucher du soleil.
A certaines périodes de l'année, les deux bandes seront vues côte à côte, dans des parties du ciel, comme dans l’image ci-dessus. Ici, les deux traînées de lumière apparaissent comme la continuation des rives du fleuve Foie dans le ciel. Le panorama a été enregistré il y a environ trois semaines dans le nord du Jutland, au Danemark.

Source : Astronomy Picture of the Day


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L'astronome amateur Victor Buso a testé une nouvelle caméra sur son télescope en 2016 quand il a remarqué qu'un point de lumière étrange apparaissait - et restait. Les images montrant la découverte avant et après, prises à environ une heure d'intervalle, sont montrées dans l'encart d'une image plus détaillée de la même galaxie spirale, NGC 613, prise par le télescope spatial Hubble.
Les observations de suivi montrent que SN 2016gkg était probablement issu de l'explosion d'une étoile supergéante, et Victor Buso a probablement capturé le stade où la vague de détonation sortante du noyau stellaire a franchi la surface de l'étoile. Depuis que les astronomes ont passé des années à surveiller les galaxies des supernovas sans voir un tel événement, les chances que Victor Buso ait capturé cela ont été comparées aux chances de gagner la cagnotte du loto.

Source : Astronomy Picture of the Day


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Le X dans cette image de la Lune est facilement visible dans des jumelles ou un petit télescope. La capture de ce X lunaire est fugace et seulement apparente dans les heures avant la phase du premier quart de la Lune.
Le long de la ligne d'ombre entre le jour lunaire et la nuit, l'illusion X est produite par une configuration de cratères vus ici vers la gauche, Blanchinus, La Caille et Purbach. Cette image nette du X lunaire a été capturée le 22 février. Curiosité supplémentaire, si vous regardez le long du terminateur lunaire et vous pouvez également repérer le V lunaire.

Source : Astronomy Picture of the Day


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Des traînées d'étoiles colorées traversent la nuit dans ce paysage grandiose. À partir d'une planète en rotation, les expositions consécutives ajoutées numériquement ont été faites avec un appareil photo fixé à un trépied et regardant vers le sud, sur la chaîne de montagnes Alborz du nord de l'Iran.
Les étoiles tracent des arcs concentriques autour du pôle céleste sud de la planète, sous l'horizon accidenté de la scène. Combinées, les nombreuses poses courtes font également ressortir les jolies couleurs des étoiles. Les sentiers bleutés proviennent d'étoiles plus chaudes que notre Soleil, tandis que les sentiers jaunâtres proviennent d'étoiles plus froides. Près du centre, la traînée remarquablement rosâtre a été tracée par la nébuleuse d'Orion, région de formation d’étoiles.

Source : Astronomy Picture of the Day


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Frank Borman, James Lovell et William Anders ont voyagé de la Terre à la Lune en décembre 1968. De l'orbite lunaire, leur vue des cratères au sud-ouest de la Mer des Crises est montrée dans cet anaglyphe stéréo, visible en 3D avec les lunettes rouges/bleus.
Goclenius est le grand cratère d'impact au premier plan. D’environ 70 km de diamètre, son sol inondé de lave est marqué par des rainures. Traversant les parois du cratère et les pics centraux, les rainures se sont probablement formées après le cratère lui-même. À l'arrière-plan, les deux grands cratères aux sols lisses sont Colombo A (en haut) et Magelhaens, puis le cratère de fond au sol irrégulier, Magelhaens A, d’environ 35 km de diamètre.

Source : Astronomy Picture of the Day


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Avez-vous entendu parler du champ ultra-profond de Hubble ? De toute façon, vous n'avez probablement pas entendu parler de ça : s'il vous plaît cliquez sur l’image et passez votre pointeur sur l'image qui apparaît et écoutez ! Le champ ultra-profond de Hubble (HUDF) a été créé en 2003-2004 avec le télescope spatial Hubble qui regardait depuis longtemps vers un espace presque vide afin que des galaxies distantes et faibles deviennent visibles.
L'une des images les plus célèbres en astronomie, le HUDF est présenté ici de manière dynamique - avec des distances sonores. Pointer sur une galaxie jouera une note qui indique son redshift approximatif. Comme les décalages vers le rouge déplacent la lumière vers l'extrémité rouge du spectre de la lumière, ils sont représentés ici par un décalage du ton vers l'extrémité inférieure du spectre du son. Plus la galaxie est avancée, plus son redshift cosmologique est important (même s'il apparaît en bleu), et plus le ton sera faible. La galaxie moyenne dans le HUDF est à environ 10,6 milliards d'années-lumière et sonne comme un Fa #. Quelle est la galaxie la plus lointaine que vous pouvez trouver ?

Source : Astronomy Picture of the Day


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