Image du jour (2018 à 2020)

Qu'est-ce qui se reflète dans le plus grand miroir du monde ? Des étoiles, des galaxies et une planète. Beaucoup de ces étoiles sont confinées à la grande arche qui traverse l'image, une arche qui constitue le plan central de notre maison, la Voie lactée. Une autre galaxie se trouve à l’intérieur de la voûte : le Grand nuage de Magellan (LMC) voisin. Les étoiles visibles individuellement incluent Antarès à l'extrême gauche et Sirius à l'extrême droite. La planète Jupiter brille de mille feux juste sous Antarès.
La photo ci-dessus est composée de 15 images verticales prises consécutivement pendant dix minutes à partir du salar d'Uyuni en Bolivie, le plus grand sur le monde. Il est si grand et si extraordinairement plat qu'il peut, après une pluie, devenir le plus grand miroir au monde - s'étendant sur 130 km.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2019)

Qu'est-ce que ce petit point noir se déplaçant à travers le soleil ? Mercure. Peut-être que la vue la plus nette de la traversée de Mercure devant le Soleil en mai 2016 était celle depuis l'orbite terrestre. Le Solar Dynamics Observatory a obtenu une vue ininterrompue, l’enregistrant non seulement en lumière optique mais également dans des bandes de lumière ultraviolette. Vous trouverez ci-dessus un film composite du transit mis en musique.
Bien que l’événement puisse être un succès scientifique pour mieux déterminer les composants de l’atmosphère ultrafine de Mercure, l’événement a certainement porté ses fruits culturellement en impliquant des personnes du monde entier dans l’observation d’un phénomène astronomique rare. De nombreuses images spectaculaires de ce transit de Mercure en provenance du monde entier (et au-dessus) ont été affichées avec fierté. Le prochain transit de Mercure aura lieu demain : le 11 novembre 2019.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2019)

La peinture « La Nuit Etoilée » est l'une des icônes les plus célèbres du ciel nocturne jamais créées. La scène a été peinte par Vincent van Gogh dans le sud de la France en 1889. Bien que Van Gogh ait fréquemment dépeint ce qu'il voyait réellement dans ses œuvres, les historiens d'art sont en désaccord sur la question de savoir quelles étoiles et planètes sont montrées dans cette toile.
La peinture originale « La Nuit Etoilée » est au musée d'art moderne de la ville de New York, Etat de New York, Etats-Unis d'Amérique.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2019)

À des années-lumière, cette forme suggestive, connue sous le nom de nébuleuse de l'Hippocampe, apparaît en silhouette sur un fond d'étoiles riche et brillant. Vu vers la constellation de Céphée, les nuages obscurs et poussiéreux font partie d'un nuage moléculaire de la Voie Lactée distante de 1.200 années-lumière de distance.
Il est également répertorié sous le numéro Barnard 150 (B150), l'une des 182 nébuleuses sombres du ciel répertoriées au début du XXe siècle par l'astronome E. E. Barnard. Des paquets d'étoiles de faible masse se forment dans des noyaux en fusion qui ne sont visibles que dans les grandes longueurs d'ondes infrarouges.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2019)

Ces formes fluides et brillantes semblent fantomatiques à l’échelle cosmique. Cette vue télescopique vers la constellation de Cassiopée présente les nuages IC 59 (à gauche) et IC 63. À environ 600 années-lumière de distance, les nuages ne sont pas réellement des fantômes, mais ils disparaissent lentement sous l’influence du rayonnement énergétique émis par l’étoile gamma Cas chaude et lumineuse. Gamma Cas est physiquement située à seulement 3 à 4 années-lumière des nébuleuses, juste en haut à droite du cadre.
Légèrement plus proche de Gamma Cas, IC 63 est dominé par la lumière H-alpha rouge émise sous forme d'atomes d'hydrogène ionisés par le rayonnement ultraviolet de l'étoile se recombinant avec les électrons. Plus loin de l'étoile, IC 59 indique proportionnellement moins d'émissions d’H-alpha mais davantage de teinte bleue, caractéristique de la lumière des étoiles réfléchie par les poussières. Le champ de vision s'étend sur environ 1 degré ou 10 années-lumière à la distance estimée de Gamma Cas et de ses amis.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2019)

La théorie générale de la relativité d'Einstein, publié il y a 100 ans, a prédit le phénomène de lentille gravitationnelle. C'est ce qui donne à ces galaxies lointaines une telle apparence fantaisiste, vue à travers des données en rayons X et en lumière visible provenant des télescopes spatiaux Chandra et Hubble.
Surnommé le groupe de galaxies Cheshire Cat, deux grandes galaxies elliptiques du groupe sont encadrées par des arcs suggestifs. Les arcs sont des images optiques de lointaines galaxies d'arrière-plan déformées par l'effet de lentille gravitationnelle généré par la masse du groupe de galaxies au premier plan dominé par la matière noire. Le groupe du Chat de Cheshire sourit dans la constellation de la Grande Ourse, à quelque 4,6 milliards d'années-lumière de distance.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2019)

Tout en bravant le froid pour regarder le ciel du nord du Canada, tôt un matin en 2013, une aurore inhabituelle est apparue. L'aurore semblait être en forme de quelque chose, mais quoi ? Les possibilités fantomatiques enregistrées par l'astrophotographe étaient « sorcière » et « déesse de l'aube ».
Indépendamment des interprétations fantastiques, l'aurore photographiée avait une couleur verte typique et était sûrement causée par l'action scientifiquement banale des particules de haute énergie de l'espace interagissant avec les molécules d'oxygène dans la haute atmosphère de la Terre. Au premier plan de l'image, en bas, se trouve la chute Alexandra gelée, surplombée par les arbres à feuilles persistantes.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2019)

En règle générale, la Station spatiale internationale n’est visible que la nuit. Dérivant lentement à travers le ciel nocturne en orbite autour de la Terre, la Station spatiale internationale (ISS) peut être perçue comme un point lumineux environ une fois par mois à partir de nombreux endroits. L’ISS n’est alors visible que peu après le coucher du soleil ou juste avant son lever, car elle brille sous l’effet du rayonnement solaire : une fois que l’ISS a pénétré dans l’ombre de la Terre, elle disparaît de la vue.
La seule occasion où l'ISS est visible pendant la journée est celle où elle passe juste devant le soleil. Mais, il passe si rapidement que seules les caméras prenant des expositions courtes peuvent geler visuellement la silhouette de l'ISS sur le soleil en arrière-plan. La photo en vedette a exactement fait cela - il s'agit en fait d'une série d'images prises à Santa Fe, en Argentine, il y a un mois, avec une synchronisation parfaite. Cette série d’images a ensuite été combinée à une image distincte soulignant la texture du Soleil sans tache et à une image soulignant les protubérances du Soleil autour du limbe.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2019)

La grande nébuleuse d'Orion, une immense région de la naissance des étoiles proche de nous, est probablement la plus célèbre de toutes les nébuleuses astronomiques. Ici, des gaz brillants entourent de jeunes étoiles chaudes au bord d’un immense nuage moléculaire interstellaire à seulement 1.500 années-lumière. Dans l’image présentée dans des couleurs assignées, soulignées par l’émission d’oxygène et d’hydrogène, les structures filamentaires de poussière et de gaz sont particulièrement visibles.
La grande nébuleuse d'Orion se trouve à l'œil nu près de la ceinture facilement identifiable de trois étoiles de la populaire constellation d'Orion. En plus de loger un amas d'étoiles ouvert et brillant connu sous le nom de Trapèze, la nébuleuse d'Orion contient de nombreuses pouponnières d'étoiles. Également connue sous le nom de M42, la nébuleuse d'Orion s'étend sur environ 40 années-lumière et se situe dans le même bras en spirale de notre galaxie que le Soleil.

Source : Astronomy Picture of the Day


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Visage fantomatique à l'échelle cosmique, ces restes de gaz étincelants et incandescents hantent le ciel de la planète Terre vers la constellation du Cygne et forment la Nébuleuse du Voile. La nébuleuse elle-même est un gros reste de supernova, un nuage en expansion né de l'explosion de la mort d'une étoile massive. La lumière de l'explosion d'origine de la supernova a probablement atteint la Terre il y a plus de 5.000 ans.
Également connue sous le nom de boucle du Cygne, la nébuleuse du Voile s'étend maintenant sur près de 3 degrés, soit environ 6 fois le diamètre de la pleine Lune. Cela se traduit par plus de 70 années-lumière à une distance estimée à 1.500 années-lumière. En fait, le voile est si grand que ses parties les plus brillantes sont reconnues comme des nébuleuses séparées, y compris le Balai de la Sorcière (NGC 6960) en dessous et à droite du centre. En haut à gauche, vous trouverez le spectre de IC 1340.

Source : Astronomy Picture of the Day


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La nébuleuse de flamme se distingue, dans cette image en lumière visible, des poussiéreuses régions de formation d'étoiles de la Ceinture d'Orion, à seulement 1.400 années-lumière de nous. Les données en rayons X de l'observatoire Chandra et les images infrarouges du télescope spatial Spitzer peuvent vous emmener à l'intérieur du gaz brillant et des sombres nuages de poussière en cliquant sur l'image ci-dessus, et vont vous révéler de nombreuses étoiles récemment formées du jeune amas NGC 2024, âgés de 200.000 à 1,5 million d'années.
La superposition d’images composites en rayons X et infrarouge couvre environ 15 années-lumière du centre de la flamme. Les données indiquent également que les plus jeunes étoiles sont concentrées près du centre de l'amas. C'est à l'opposé des modèles les plus simples de la formation des étoiles pour la pépinière stellaire.

Source : Astronomy Picture of the Day


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Sur Mars, le 20 Octobre, 2014, tout était calme au lendemain de sa rencontre avec la comète de Siding Spring. Cette comète s'est approchée à environ 1/3 de la distance Terre-Lune. Les sondes en orbite autour de Mars et les rovers sur la surface n'ont pas signalé d'avarie due aux poussières cométaires.
Le cliché coloré télescopique ci-dessus nous montre Mars le jour d’après. L'étoile bleuâtre 51 Ophiuchi est en haut à droite et la comète émerge à peine du brillant éblouissement de la planète rouge.

Source : Astronomy Picture of the Day


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Qu'advient-il aux anneaux de Saturne ? Une petite lune faisant de grosses vagues. La lune Daphnis, d’une longueur de 8 km, fait des vagues dans la division de Keeler des anneaux de Saturne en utilisant uniquement sa gravité.
L'image présentée ci-dessus est une version colorée et plus détaillée d'une image précédemment publiée, prise en 2017 par la sonde Cassini lors de l'une de ses orbites Grand Finale. Daphnis a été découvert dans les images de Cassini en 2005.

Source : Astronomy Picture of the Day


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Dans la nébuleuse de la Lagune, il existe une lutte constante entre les étoiles, les gaz et la poussière, mais au final ce sont les astrophotographes qui sont gagnants. Aussi connue sous le nom de M8, cette nébuleuse photogénique est visible à l’œil nu vers la constellation du Sagittaire. Les processus énergétiques de la formation des étoiles créent non seulement les couleurs mais aussi le chaos.
Le gaz incandescent provient d'une lumière stellaire de haute énergie qui frappe l'hydrogène interstellaire et des traces de soufre et d'oxygène. La lumière de la M8 que nous voyons aujourd'hui est partie il y a environ 5 000 ans. Il faut environ 50 ans à la lumière pour traverser cette section de M8.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2019)

Pourquoi ces galaxies tournent-elles si vite ? Si vous estimez la masse de chaque spirale en fonction de la quantité de lumière émise, leurs rotations rapides auraient dû les désintégrer. L'hypothèse de base sur la raison pour laquelle ces galaxies ne se disloquent pas est la matière noire – une masse si sombre que nous ne pouvons pas la voir. Mais ces galaxies dépassent même cette limite de rupture – ce sont les galaxies à disques avec rotation la plus rapide connues.
Il est donc en outre supposé que leurs auréoles de matière noire sont si massives – et leurs rotations si rapides – qu'il leur est plus difficile de former des étoiles que des spirales classiques. Si tel est le cas, ces galaxies figurent peut-être parmi les spirales les plus massives possibles. Des études plus approfondies sur de telles super-spirales surprenantes se poursuivront, avec notamment les observations prises par le télescope spatial James Webb de la NASA, dont le lancement est prévu en 2021.

Source : Astronomy Picture of the Day


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Cette grande et belle galaxie M101 est une des dernières entrées du célèbre catalogue de Charles Messier. D’un diamètre d’environ 170.000 années-lumière, cette galaxie est énorme, presque deux fois la taille de notre propre Voie Lactée. M101 est aussi l'une de « nébuleuses spirales originales » observées avec le grand télescope de Lord Rosse au XIXe siècle, le Léviathan de Parsontown.
En revanche, ce point de vue de l'univers-île est un composite d'images enregistrées par les télescopes spatiaux au XXIe siècle. En couleurs codés des rayons X à l'infrarouge (des hautes à basses énergies), les données d'image sont issues de Chandra (violet), Galex (bleu), Hubble (jaune) et Spitzer (rouge).
Également connue sous le nom la galaxie de la Roue de Feu, M101 se situe dans les limites de la constellation de la Grande Ourse, à environ 25 millions années-lumière de nous.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2019)

Traversant un nuage de poussière cosmique à 400 années-lumière à peine, le charmant amas ouvert d'étoiles des Pléiades, ou Les Sept Sœurs, est réputé pour ses nébulosités à reflet bleu. Il se trouve dans le ciel nocturne en direction de la constellation du Taureau et du bras d'Orion de notre Voie lactée. Les étoiles sœurs et le nuage de poussière cosmique ne sont pas liés, ils passent juste à travers la même région de l’espace.
Connu depuis l'Antiquité, Galilée a d'abord dessiné l'amas d'étoiles vu à travers son télescope avec des étoiles trop faibles pour être vues à l'œil nu. Charles Messier a enregistré l’amas à la 45ème entrée de son célèbre catalogue de choses qui ne sont pas des comètes. Dans le mythe grec, les Pléiades étaient sept filles du titan Atlas et de la nymphe de la mer Pléioné. Les noms de leurs parents sont inclus dans les neuf étoiles les plus brillantes de l’amas.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2019)

Ce portrait cosmique met en évidence des gaz scintillants et de la poussière sombre près des étoiles récemment formées de NGC 3572, un amas d’étoiles peu étudiée située près de la nébuleuse de la Carène. Les étoiles sont visibles en haut à gauche de l'image, tandis que le vaste nuage de gaz situé en-dessous est probablement ce qui reste de leur nébuleuse de formation.
Les gaz et poussières interstellaires visibles font partie du nuage moléculaire natal du groupe d'étoiles. Des flots de matériaux denses dans la nébuleuse, érodés par les vents stellaires et les radiations, s’éloignent clairement des jeunes étoiles énergétiques. Ce sont probablement des sites de formation d'étoiles en cours dont les formes rappellent les têtards cosmiques d’IC 410, mieux connus des astronomes du nord. Dans les dizaines, voire les centaines de millions d'années à venir, le gaz et les étoiles de l’amas seront dispersés, par effet de marée gravitationnelle et par de violentes explosions de supernova qui mettront fin à la courte vie des étoiles massives de l’amas. Cette nébuleuse s'étend sur environ 100 années-lumière et se situe à environ 9.000 années-lumière vers la constellation australe de la Carène.

Source : Astronomy Picture of the Day


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Le 25 mai 1961, le président américain John Kennedy a annoncé son objectif de faire atterrir des astronautes sur la Lune d'ici la fin de la décennie. Le 9 novembre 1967, cette fusée Saturn V était prête pour le lancement et le premier test complet de ses capacités pour la mission Apollo 4.
Son développement a été dirigé par le pionnier des fusées Werner Von Braun. Les trois étages de la Saturn V s’élèvaient sur 36 étages. Il disposait d'un groupe de cinq moteurs au premier étage alimentés à l'oxygène liquide et au kérosène, capables de générer une poussée de 3 millions de kilogrammes. Les fusées géantes Saturn V ont finalement lancé neuf missions Apollo sur la Lunedont six atterrissant sur la surface lunaire. La première mission d'atterrissage, Apollo 11, atteignit l'objectif de Kennedy le 20 juillet 1969.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2019)

L'histoire de la Lune est en partie écrite dans ses cratères. On voit ici un panorama lunaire pris de la Terre avec les grands cratères Langrenus, à gauche, et Petavius, à droite. Les cratères se sont formés lors d'impacts séparés. Langrenus s'étend sur environ 130 km, a un bord en terrasse et arbore un pic central culminant à environ 3 km. Petavius est légèrement plus grand avec un diamètre de 180 km et présente une fracture distincte qui s’écoule du centre.
Bien que l'on sache que le cratère de Petavius date d'environ 3,9 milliards d'années, l'origine de sa grande fracture est inconnue. Les cratères sont mieux visibles quelques jours après une nouvelle lune, lorsque les ombres accentuent le plus les parois verticales et les collines. L'image sélectionnée est composée des meilleures images vidéo parmi des milliers d'images infrarouges à haute résolution prises au moyen d'un petit télescope. Alors que les montagnes sur Terre s'érodent avec le temps, les cratères lunaires Langrenus et Petavius vont probablement survivre encore plusieurs milliards d'années, peut-être jusqu'à ce que le Soleil se dilate et engloutisse à la fois la Terre et la Lune.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2019)

Certaines galaxies spirales sont vues presque de côté. La plupart des étoiles brillantes dans les galaxies spirales tournoient autour du centre dans un disque, et, vu de côté, ce disque peut paraître assez fin. Certaines galaxies spirales semblent encore plus minces que NGC 3717, qui est en fait légèrement incliné. Les galaxies spirales forment des disques car le gaz d'origine est entré en collision avec lui-même et s'est refroidi en tombant vers l'intérieur.
L'image présentée par le télescope spatial Hubble montre un renflement central de couleur claire composé d'étoiles plus anciennes au-delà de filaments de poussière bruns foncés en orbite. NGC 3717 couvre environ 100.000 années-lumière et se situe à environ 60 millions d'années-lumière vers la constellation de l’Hydre.

Source : Astronomy Picture of the Day


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La petite tache sombre et ronde sur ce plan solaire est la planète Mercure. Dans l’image télescopique haute résolution, issue d’une vidéo de 61 images couleurs, un ensemble turbulent de cellules de convection photosphérique recouvre la surface solaire. La silhouette plus régulière de Mercure se démarque. Bien entendu, seules les planètes intérieures Mercure et Vénus peuvent transiter par le soleil pour apparaître en silhouette lorsqu'elles sont vues de la planète Terre.
Pour ce transit de Mercure du 11 novembre 2019, la silhouette de la planète la plus profonde n’était que d’un centième du diamètre solaire. Ainsi, même par temps clair, il était difficile de le voir sans l'aide d'un télescope solaire. À la suite de son transit en 2016, il s'agissait du 4ème passage sur les 14 que Mercure a réalisé sur le disque solaire au 21ème siècle. Le prochain transit de Mercure aura lieu le 13 novembre 2032.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2019)

Le 11 novembre 2019, le Soleil était calme lors de son minimum d'activité au cours de son cycle d'activité de 11 ans. En fait, le seul point visible était la planète Mercure, faisant un transit de 5 heures et demie devant le disque solaire tranquille. Environ 1/200e du diamètre apparent du Soleil, la silhouette de la planète la plus interne du système solaire est près du centre dans cet instantané complet du Soleil.
Prise avec un filtre hydrogène alpha et un télescope solaire sécurisé, l’image capture également les protubérances autour du limbe solaire, le plasma rougeoyant emprisonné dans des champs magnétiques. Bien entendu, seules les planètes intérieures Mercure et Vénus peuvent transiter par le Soleil pour apparaître en silhouette lorsqu'elles sont vues de la planète Terre. À la suite de son passage en 2016, il s'agissait du quatrième passage de Mercure sur 14 au XXIe siècle sur le disque solaire. Le prochain transit de Mercure aura lieu le 13 novembre 2032.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2019)

Amas d'étoiles âgé d'environ 2 millions d'années, M16 est entouré par les nuages de poussières et de gaz rougeoyant qui lui ont donné naissance, également connus sous le nom de la nébuleuse de l'Aigle. Elle se trouve à environ 7000 années-lumière de nous et est une cible facile pour des jumelles ou de petits télescopes entre les constellations du Serpent, de l'Ecu de Sobieski et du Sagittaire.
Cette image admirablement détaillée de la région de formation d'étoiles comprend les sculptures cosmiques rendues célèbres par le télescope spatial Hubble. Décrit comme les Piliers de la Création, les denses colonnes de poussières se haussent près du centre. S'étendant depuis le bord gauche de l'image est une autre colonne de formation d'étoiles poussiéreuse connue sous le nom de Fée de nébuleuse de l'Aigle.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2019)

De grandes marées d'étoiles semblent entourer la galaxie NGC 5907. Les structures en arc forment des boucles ténues s'étendant sur plus de 150.000 années-lumière de l'étroite spirale vue par la tranche, également connue sous le nom de la galaxie de l’Echarde ou de la Lame de couteau. Visibles uniquement dans des expositions très longues, les ruisseaux représentent probablement le sillage fantomatique d'une galaxie naine – des débris laissés le long de l'orbite d'une galaxie satellite plus petite, progressivement déchirée et fusionnée avec NGC 5907 il y a plus de quatre milliards d'années.
En fin de compte, cette remarquable image, issue d'un petit observatoire automatisé du Nouveau-Mexique, conforte le scénario cosmologique dans lequel les grandes galaxies spirales, y compris notre propre Voie lactée, ont été formées par l'accrétion de plus petites. NGC 5907 se situe à environ 40 millions d'années-lumière de la constellation du Dragon.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2019)