Image du jour (2018 à 2020)

Faible en luminosité mais très grande sur le ciel de la planète Terre, la nébuleuse du Calamar Géant, cataloguée OU4, et la nébuleuse de la Chauve-souris, Sh2-129, sont toutes les deux prises dans cette scène, dans la constellation de Céphée. L'image composite, avec un total de 20 heures de poses à large bande et à bande étroite, a un champ de vision télescopique de près de 4° ou 8 pleines Lunes.
Découverte en 2011 par l'astrophotographe français Nicolas Outters, la séduisante forme bipolaire de la nébuleuse du Calamar Géant se distingue ici par l'émission bleu-vert révélatrice d'atomes d'oxygène doublement ionisé. Bien qu'apparemment entourée par la région d'émission d'hydrogène rougeâtre de Sh2-129, la vraie distance et la nature de la nébuleuse du Calamar Géant ont été difficiles à déterminer. Pourtant, une récente enquête suggère qu'OU4 se trouve vraiment dans Sh2-129 à quelques 2.300 années-lumière de distance avec un diamètre d'environ 50 années-lumière.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2020)

Plus claire que les mers sombres, la Mare Frigoris se trouve à l'extrême nord de la Lune. Aussi connue sous le nom de Mer du froid, elle s'étend sur le côté lunaire familier dans ce gros plan de la région polaire nord de la Lune gibbeuse croissante.
Le cratère Platon, au sol sombre, de 95 km de large se trouve juste à gauche du centre. Les sommets ensoleillés des Alpes lunaires (Montes Alpes) sont mis en évidence en dessous et à droite de Platon, entre la Mare Imbrium (mer des pluies) plus au sud et la Mare Frigoris. L'élément droit qui traverse les montagnes est la vallée lunaire des Alpes (Vallis Alpes). Rejoignant la Mare Imbrium et la Mare Frigoris, la vallée lunaire mesure environ 160 km de long et jusqu'à 10 km de large.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2020)

Trois objets très différents – et très célèbres – ont tous été capturés dans une seule image le mois dernier. En haut à gauche se trouvent les Pléiades en bleu vif, peut-être le groupe d'étoiles le plus célèbre du ciel nocturne. Les Pléiades (M45) sont à environ 450 années-lumière et se trouvent facilement à quelques degrés d'Orion. En haut à droite se trouve la vaste galaxie d'Andromède, peut-être la galaxie la plus célèbre – extérieure à la nôtre – dans le ciel nocturne. Andromède (M31) est l'un des rares objets visibles à l'œil nu où l'on peut voir une lumière vieille de plusieurs millions d'années. Au milieu se trouve Mars rouge vif, peut-être la planète la plus célèbre du ciel nocturne. Aujourd'hui, Mars est en opposition, c'est-à-dire en face du Soleil, ce qui fait qu'il est visible toute la nuit.
Au premier plan se trouve une ancienne tombe de la vallée phygrienne en Turquie. La tombe, avec deux lions de pierre, est un vestige impressionnant d'une puissante civilisation qui a vécu il y a des milliers d'années. Mars, actuellement très brillante, peut être facilement trouvée vers l'est juste après le coucher du soleil.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2020)

Ces antennes paraboliques géantes du Karl G. Jansky Very Large Array (VLA) s'élèvent au-dessus du désert du Nouveau-Mexique au coucher de la Lune. Montées sur des piliers mais transportables sur des voies ferrées pour changer la configuration du VLA, ses 27 antennes opérationnelles sont de la taille d’une maison (25 mètres de diamètre) et peuvent être organisées en un réseau couvrant la taille d’une ville (35 kilomètres). Bourreau de travail de radioastronomie prolifique, le VLA a été utilisé pour découvrir de l'eau sur la planète Mercure, des couronnes radio-brillantes autour des étoiles, des micro-quasars dans notre galaxie, des anneaux d'Einstein induits par la gravitation autour de galaxies lointaines et des équivalents radio aux sursauts de rayons gamma cosmologiquement distants.
Sa vaste taille a permis aux astronomes d'étudier les détails des radiogalaxies, des jets cosmiques ultrarapides et de cartographier le centre de notre propre Voie lactée. Maintenant âgé 40 ans, le VLA a été utilisé dans plus de 14.000 projets d'observation et a contribué à plus de 500 doctorats. Le 10 octobre, l'Observatoire national de radioastronomie a organisé une journée de célébration en ligne des 40 ans du VLA avec des visites virtuelles et des présentations sur l'histoire, les opérations, la science et l'avenir du Very Large Array.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2020)

Les galaxies de l'amas de la Vierge sont dispersées dans ce champ de vision télescopique. La scène cosmique s'étend sur environ trois pleines Lunes, capturées dans un ciel sombre près de Jalisco, au Mexique, sur la planète Terre. À environ 50 millions d'années-lumière, l'amas de la Vierge est le grand amas de galaxies le plus proche de notre propre groupe local de galaxies. Les galaxies elliptiques brillantes de la Vierge du catalogue Messier, M87 en haut à gauche, et M84 et M86 vus (de bas en haut) en bas et à droite du centre sont bien visibles. M84 et M86 sont reconnus comme faisant partie de la chaîne de Markarian, un alignement visuellement frappant de galaxies verticalement sur le côté droit de ce cadre. Près du milieu de la chaîne se trouve une intrigante paire de galaxies en interaction, NGC 4438 et NGC 4435, connues par certains sous le nom de « Les Yeux de Markarian ». Bien sûr, la galaxie elliptique géante M87 domine l'amas de la Vierge. C'est la maison d'un trou noir supermassif, le premier trou noir jamais imagé par le télescope Event Horizon de la planète Terre.

Source : Astronomy Picture of the Day


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Quel est ce monde étrange ? C'est la Terre. Au premier plan de l'image ci-dessus sont les Pinnacles, des pics rocheux insolites dans le parc national de Nambung en Australie occidentale. Issus d'anciens coquillages (calcaire), la formation de ces pittoresques rochers à taille humaine reste inconnue.
Dans le fond, est un brillant croissant de Lune. La lueur surnaturelle autour de la Lune est la lumière zodiacale. Se cambrant en haut de l'image est la bande centrale de notre galaxie, la Voie Lactée. Ce panorama de 29 poses a été pris et assemblé en septembre dernier.

Source : Astronomy Picture of the Day


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Le panel de couleurs spectaculaires des nuages de Rho Ophiuchi (oh'-fee-yu-kee) accentue les nombreux processus qui s’y déroulent.
Les régions bleues brillent principalement par la lumière réfléchie. La lumière bleue de l’étoile Rho Ophiuchi et des étoiles proches se reflète plus efficacement dans cette partie de la nébuleuse que la lumière rouge. Le ciel de jour de la Terre semble bleu pour la même raison. Les régions rouges et jaunes brillent principalement en raison de l'émission du gaz atomique et moléculaire de la nébuleuse. Les régions brun foncé sont causées par des grains de poussière – nés dans de jeunes atmosphères stellaires – qui bloquent efficacement la lumière émise derrière eux. Les nuages d'étoiles Rho Ophiuchi, en face de l'amas globulaire M4 visible ici en haut à droite, sont encore plus colorés que les humains ne peuvent le voir, les nuages émettant de la lumière dans toutes les bandes de longueurs d'onde, de la radio au rayon gamma.

Source : Astronomy Picture of the Day


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Cette large vue télescopique révèle des galaxies éparpillées au-delà des étoiles et des faibles nébuleuses de poussière de la Voie Lactée à la limite nord de la constellation de Pégase.
Au premier plan, en haut à droite, est NGC 7331. A seulement 50 millions d'années-lumière de la Terre, la grande spirale est l'une des galaxies les plus brillantes qui ne figurent pas dans la célèbre catalogue du 18ème siècle de Charles Messier. Le groupe de galaxies perturbées, en bas à gauche, est bien connu en tant que Quintette de Stephan. A environ 300 millions d'années-lumière de la Terre, le quintette illustre de façon spectaculaire une collision multiple de galaxies et ses puissantes interactions permanentes.

Source : Astronomy Picture of the Day


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La nébuleuse planétaire Abell 78 se distingue dans cette image télescopique coloré. En fait, les couleurs des étoiles aux aigrettes de la Voie lactée dépendent de leur température de surface, à la fois plus froide (jaunâtre) et plus chaude (bleuâtre) que le Soleil. Mais Abell 78 brille par l'émission caractéristique d'atomes ionisés dans le linceul ténu de matière éloignée d'une étoile centrale extrêmement chaude. Les atomes sont ionisés, leurs électrons enlevés, par la lumière ultraviolette énergétique mais invisible de l'étoile centrale. La lueur bleu-vert visible des boucles et des filaments dans la région centrale de la nébuleuse correspond à l'émission d'atomes d'oxygène doublement ionisés, entourés d'une forte émission rouge d'électrons se recombinant avec des atomes d'hydrogène.
À environ 5.000 années-lumière de la constellation du Cygne, Abell 78 mesure environ trois années-lumière de diamètre. Une nébuleuse planétaire comme Abell 78 représente une phase finale très brève de l'évolution stellaire que notre propre Soleil connaîtra... dans environ 5 milliards d'années.

Source : Astronomy Picture of the Day


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Ces nuages de gaz et de poussière dérivent à travers de riches champs d'étoiles le long du plan de notre Voie Lactée vers la constellation du Cygne. Pris dans le champ de vue télescopique sont la Bulle de Savon (en bas à gauche) et la nébuleuse du Croissant (en haut à droite) qui se situent toutes deux à environ 5.000 années-lumière. Toutes deux ont été formées à une phase finale dans la vie d'une étoile.
Aussi connu sous le nom de NGC 6888, le Croissant a été façonné par sa brillante étoile Wolf-Rayet centrale, WR 136, qui s'est débarrassé de son enveloppe extérieure dans un fort vent stellaire et qui, proche de la fin de sa courte vie, devrait finir dans une spectaculaire explosion en supernova. Découvert plus récemment, la nébuleuse de la Bulle de Savon est probablement une nébuleuse planétaire, le linceul final d'une étoile d'une masse inférieure, comme notre soleil, destinée à devenir une naine blanche en refroidissant lentement. La nébuleuse du Croissant mesure environ 25 années-lumière de diamètre.

Source : Astronomy Picture of the Day


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Les deux étoiles, au premier plan de ce paysage cosmique, sont dans notre propre galaxie la Voie Lactée. Leur aspect en épi est dû à la diffraction dans le télescope de l'astronome, que nous appelons communément des aigrettes.
Mais les deux galaxies visibles en arrière-plan se trouvent bien au-delà de la Voie Lactée, à une distance de plus de 300 millions d'années-lumière. De notre perspective, les noyaux brillants des galaxies, cataloguées sous Arp 273, sont séparés par seulement 100.000 années-lumière. Leur aspect tordu est dû aux forces de marée gravitationnelle car la paire est engagée dans un processus de croisements et de rencontres répétés qui débouchera sur leur fusion totale.

Source : Astronomy Picture of the Day


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Êtes-vous prêt à voir le plus grand et le plus ancien système de tempête connu du système solaire ? Dans la vidéo présentée, la grande tache rouge de Jupiter fait enfin son apparition à 2 minutes et 12 secondes après le début de la vidéo de 5 minutes. Avant son arrivée, vous trouverez peut-être agréable de profiter de la vue toujours changeante des nuages apparemment sereins de Jupiter. Les 41 images qui composent la vidéo ont été capturées en juin alors que le vaisseau spatial robotique Juno effectuait un passage serré au-dessus de la plus grande planète de notre système solaire. La séquence time-lapse s'est en fait déroulée sur quatre heures.
Depuis son arrivée à Jupiter en 2016, les nombreuses découvertes de Juno ont inclus des jets atmosphériques d'une profondeur inattendue, les aurores les plus puissantes jamais enregistrées et des nuages contenant de l'eau groupés près de l'équateur de Jupiter.

Source : Astronomy Picture of the Day


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Saturne et Jupiter se rapprochent. Chaque nuit où vous pourrez sortir les deux prochains mois, regardez bien ces deux planètes brillantes qui seront encore plus proches l'une de l'autre dans le ciel. Enfin, à la mi-décembre, une grande conjonction se produira - lorsque les deux planètes n'apparaîtront qu'à 0,1 degré l'une de l'autre - à seulement un cinquième du diamètre angulaire de la pleine Lune. Et ce n'est pas n'importe quelle grande conjonction – Saturne (à gauche) et Jupiter (à droite) n'ont pas été aussi proches depuis 1623, et ne le seront pas encore avant 2080. Cet événement céleste est assez facile à voir - déjà les deux planètes sont facilement visibles vers le sud-ouest juste après le coucher du soleil - et déjà elles sont remarquablement proches.
Sur la photo, l'astrophotographe et son partenaire ont observé le duo planétaire au-dessus du Tre Cime di Lavaredo (Trois pics de Lavaredo) dans les Alpes italiennes il y a environ deux semaines.

Source : Astronomy Picture of the Day


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Le 20 octobre, après une approche prudente de la surface jonchée de rochers, le bras de la sonde spatiale OSIRIS-REx a tendu la main et a touché l'astéroïde Bennu. Evénement d'échantillonnage surnommé Touch-And-Go (TAG), la tête d'échantillonnage de 30 centimètres de large (TAGSAM) semble écraser certaines des roches de cet instantané. La scène en gros plan a été enregistrée par la SamCam de l'engin spatial à quelque 321 millions de kilomètres de la planète Terre, juste après le contact avec la surface.
Une seconde plus tard, le vaisseau spatial a tiré de l'azote gazeux à partir d'une bouteille destinée à souffler une quantité substantielle de régolithe de Bennu dans la tête d'échantillonnage, recueillant le matériau de surface. Les données montrent que le vaisseau spatial a passé environ 5 secondes de plus en contact avec le site d'échantillonnage de Bennu nommé Nightingale. Les images timelapse de SamCam révèlent les conséquences (à voir en cliquant sur l’image).

Source : Astronomy Picture of the Day


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La grande et belle galaxie spirale barrée NGC 2525 se trouve à 70 millions d'années-lumière de la Voie lactée. Elle brille dans le ciel nocturne de la Terre dans les limites de la constellation australe de la Poupe. D’environ 60.000 années-lumière de diamètre, ses bras en spirale bordés de nuages de poussière sombre, d'étoiles bleues massives et de régions de formation d'étoiles rosées serpentent à travers ce magnifique instantané du télescope spatial Hubble.
Repérée à la périphérie de NGC 2525 en janvier 2018, la supernova SN 2018gv est l'étoile la plus brillante du cadre en bas à gauche. En time-lapse, une série d'observations de Hubble d'une année a suivi l'explosion stellaire, la détonation nucléaire d'une étoile naine blanche déclenchée par l'accrétion de matière provenant d'une étoile compagne, alors qu'elle disparaissait lentement de la vue. Identifiée comme une supernova de type Ia, sa luminosité est considérée comme une bougie cosmique standard. Les supernovae de type Ia sont utilisées pour mesurer les distances aux galaxies et déterminer le taux d'expansion de l'Univers.

Source : Astronomy Picture of the Day


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L’amas d'étoiles globulaires 47 Tucanae est un joyau du ciel austral. Aussi connu sous le nom de NGC 104, il parcourt le halo de notre galaxie de la Voie lactée avec quelque 200 autres amas globulaires. Le deuxième amas globulaire le plus brillant (après Omega Centauri) vu de la planète Terre, il se trouve à environ 13.000 années-lumière et peut être repéré à l'œil nu près du petit Nuage de Magellan dans la constellation du Toucan.
L'amas dense est composé de centaines de milliers d'étoiles dans un volume d'environ 120 années-lumière de diamètre. Les étoiles géantes rouges à la périphérie de l'amas sont faciles à identifier comme des étoiles jaunâtres dans ce portrait télescopique net. L'amas globulaire 47 Tuc abrite également une étoile dont l'orbite est la plus proche connue autour d'un trou noir.

Source : Astronomy Picture of the Day


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Notre univers est-il hanté ? On pourrait le penser au vue de cette carte de la matière noire. La gravité de la matière noire invisible explique pourquoi les galaxies tournent si vite, pourquoi les galaxies orbitent si rapidement, pourquoi les lentilles gravitationnelles dévient si fortement la lumière, et pourquoi la matière visible est distribuée ainsi dans l'univers local et cosmique.
L'image ci-dessus, issue du spectacle ''Dark Universe'' du Hayden Planetarium du Musée Américain d'Histoire Naturelle, montre un exemple de la façon dont la matière noire omniprésente pourrait hanter notre univers. Dans ce cadre à partir d'une simulation informatique détaillée, des filaments complexes de matière noire, représentés en noir, sont éparpillés dans l'univers comme des toiles d'araignées, tandis que les amas relativement rares de matière baryonique familière sont colorés en orange. Ces simulations sont de bonnes corrélations statistiques avec les observations astronomiques.

Source : Astronomy Picture of the Day


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L'étendue stellaire ornée de bijoux, remplie de faibles nuages réfléchissant la lumière des étoiles, dérive dans la nuit dans la constellation de Céphée. Loin de votre propre quartier sur la planète Terre, ces apparitions fantomatiques se cachent le long du plan de la Voie lactée au bord du complexe de nuages moléculaires de Céphée à environ 1.200 années-lumière.
De plus de deux années-lumière de diamètre et plus brillantes que les autres chimères effrayantes, VdB 141 (ou Sh2-136) est également connue sous le nom de nébuleuse fantôme, vue vers le bas de l'image ci-dessus. Dans la nébuleuse par réflexion se trouvent les signes révélateurs de l'effondrement des noyaux denses aux premiers stades de la formation des étoiles.

Source : Astronomy Picture of the Day


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À quoi ressemblerait un volcan en éruption sur Vénus ? Des preuves de la présence de volcans actuellement actifs sur Vénus ont été annoncées plus tôt cette année avec la chaleur inexpliquée des régions qui ne contiendraient que des volcans anciens. Bien que des images à grande échelle de Vénus aient été prises avec un radar, d'épais nuages d'acide sulfurique empêcheraient la prise de vues en lumière optique. Néanmoins, la reconstruction par un artiste d'un volcan vénusien en éruption est présentée ci-dessus.
Les volcans pourraient jouer un rôle important dans un cycle de vie sur Vénus car ils pourraient pousser des aliments chimiques dans la haute atmosphère plus froide où les microbes affamés pourraient flotter. Sur la photo, le panache d'un volcan en éruption s'élève vers le haut, tandis qu'un vaste champ de lave couvre une partie de la surface chaude et fissurée de la jumelle surchauffée de la Terre. La possibilité de Vénusiens microbiens aéroportés est certainement passionnante, mais actuellement controversée.

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Pourquoi la nébuleuse du Homard forme-t-elle certaines des étoiles les plus massives connues ? Personne n'est encore sûr. Cataloguée en tant que NGC 6357, la nébuleuse du Homard abrite l’amas d'étoiles ouvert Pismis 24 près de son centre, abritant des étoiles exceptionnellement brillantes et massives. La lueur bleue globale près de la région de formation d'étoiles intérieure résulte de l'émission d'hydrogène gazeux ionisée.
La nébuleuse environnante, présentée ici, renferme une tapisserie complexe de gaz, de poussière sombre, d'étoiles en formation et d'étoiles naissantes. Les schémas complexes sont causés par des interactions entre les vents interstellaires, les pressions de rayonnement, les champs magnétiques et la gravité. NGC 6357 s'étend sur environ 400 années-lumière et se trouve à environ 8.000 années-lumière vers de la constellation du Scorpion.

Source : Astronomy Picture of the Day


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Inspiré de la saison d'Halloween, ce portrait télescopique capture un nuage cosmique avec un visage effrayant. La scène interstellaire se situe dans l'étendue poussiéreuse de la nébuleuse par réflexion IC 2118 dans la constellation d'Orion. IC 2118 est à environ 800 années-lumière de votre quartier, près de l'étoile bleuâtre brillante Rigel au pied d'Orion.
Souvent identifiée comme la nébuleuse de la Tête de Sorcière pour sa forme dans un champ de vision plus large, elle se lève maintenant avant l'heure de la sorcellerie. Avec des étoiles hérissées d’aigrettes pour les yeux, l'apparition macabre semble étendre un bras de plusieurs années-lumière vers l'étoile super géante chaude d'Orion. Source d’illumination pour IC 2118, Rigel est juste au-delà de ce cadre en haut à gauche.

Source : Astronomy Picture of the Day


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À Halloween, la Peur et la Terreur hantent votre ciel nocturne. Egalement connues sous le nom de Phobos et Deimos, ce sont les lunes de Mars. L'opposition 2020 de Mars a eu lieu le 13 octobre dernier rendant plus facile sont observation. Mais les deux minuscules lunes martiennes sont très faibles et sur des orbites proches, ce qui les rend difficiles à repérer, même avec un petit télescope.
Vous pouvez les trouver dans cette vue composite soigneusement annotée. L'éblouissement de la planète surexposée est réduit et les trajectoires orbitales de la lune intérieure Phobos et de la lune extérieure Deimos sont superposées sur des images combinées numériquement capturées le 6 octobre dernier.

Source : Astronomy Picture of the Day


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Explorez les royaumes extrêmes et terrifiants de l'Univers ce soir. Si vous osez regarder, une mystérieuse matière noire, une galaxie cimetière, des mondes de zombies et des sursauts gamma de malheur ne sont pas tout ce qui vous attend.
Suivez simplement le lien et rappelez-vous, tout est basé sur la vraie science, même les parties effrayantes. Passez un Halloween heureux et en toute sécurité !

Source : Astronomy Picture of the Day


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Les brillants nuages du gaz se mélangent dans la nébuleuse de la Trifide, une région de formation d’étoiles vers la constellation du Sagittaire. Au centre, ce sont les trois énormes bandes de poussière sombre qui donnent son nom à la Trifide. Une seule étoile massive visible près du centre provoque une grande partie de la lueur du Trifide. La Trifide, cataloguée comme M20, n'a que 300.000 ans, ce qui en fait l'une des nébuleuses à émission les plus jeunes connues. La nébuleuse est située à environ 9.000 années-lumière de nous et la partie visible ci-dessus à une envergure d’environ 10 années-lumière.
L'image composite ci-dessus est issue des données du télescope Subaru de 8,2 m terrestres Subaru pour la luminance, par le télescope spatial Hubble pour les détails, les couleurs ont été fournies par Martin Pugh, et le montage et le traitement ont été fournis par Robert Gendler.

Source : Astronomy Picture of the Day


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