Image du jour (2009 à 2011)

La Nébuleuse de crabe, résultat d'une supernova vue en l’an 1054, est remplie de filaments mystérieux. Ces filaments sont non seulement énormément complexes, mais semblent avoir moins de matière que celle expulsée par la supernova originelle, et une vitesse d’expansion plus élevée que prévue.
L'image ci-dessus, prise par le télescope spatial Hubble, est présentée dans trois couleurs choisies pour l'intérêt scientifique. L’envergure de Nébuleuse de crabe couvre environ 10 années-lumière de diamètre.
Au centre de la nébuleuse est un pulsar : une étoile à neutrons aussi massive que le Soleil mais avec la taille d'une petite ville. Le pulsar de crabe tourne sur lui-même environ 30 fois par seconde.

Source : Apod.nasa.gov - Astronomy Picture of the Day

Vous aussi vous pouvez vous lancer dans la zoologie galactique. Le projet Galaxie Zoo permet à toute personne ayant une connexion internet, de se lancer sur un projet scientifique consistant à classer les galaxies.
Après un bref stage de formation, Les volontaires sont invités à employer la capacité de leurs esprits d'interpréter les images inégalées pour classifier et mesurer les propriétés des galaxies dans la vaste enquête de ciel de Sloan Digital Sky Survey.
En deux ans, des millions de galaxies ont été déjà inspectés par des milliers de volontaires enthousiastes. Utilisant des données de Galaxie Zoo, par exemple, il a été découvert qu'aucun sens de rotation pour les galaxies n'était privilégié dans l'Univers, mais aussi un objet étrange et non classifié a été trouvé qui est toujours en cours d'investigation, et une classe entière de petites galaxies surnommées les "petits pois" où la formation d'étoiles se produit à un taux extraordinairement élevé.
Vu ci-dessus, un groupe de galaxies en interaction, étudié par les Zooites, démontre la diversité des formes galactiques dans l'Univers.

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Étonnamment détaillée, cette image en rayon X et fausses couleurs est centrée sur Cygnus A.
Enregistré par l'observatoire spatial Chandra, Cygnus A est vu ici comme une spectaculaire source de rayons X à haute énergie. Mais elle est en réalité plus célèbre à l'extrémité des basses énergies du spectre électromagnétique comme une des sources radios célestes les plus brillantes.
Au milieu des deux images, le centre du Cygnus A brille puissamment tandis que ses émissions se prolonge sur 300.000 années-lumière de chaque côté du même axe. Des jets d'une vitesse proche de celle de la lumière, constitués de particules atomiques produites par un massif trou noir central, seraient la cause de l'émission.

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Et si nous pouvions voir le commencement de l'Univers ? Théoriquement, nous le pouvons – puisque la lumière met une durée égale à l'âge de l'Univers pour que le traverser de part en part.
Les télescopes nous permettent de voyager dans le temps en observant les objets lointains. Ces observations peuvent être employées pour étudier les amas galactiques pour, par exemple, étudier quand et comment ces énormes conglomérations de galaxies se sont formés.
Précédemment, le décalage vers le rouge pour un amas de galaxies était d'environ 1.5, correspondant à environ neuf milliards d'années-lumière de distance par rapport à la Terre. Récemment, utilisant entre autres des données d'images en rayons X de l'observatoire spatial Chandra, un nouvel amas, plus lointain, a été identifié.
Ci-dessus, JKCS041 présente un décalage vers le rouge 1.9, correspondant à presque un milliard d'années-lumière plus loin que le record précédent. Le gaz chaud émettant des rayons X qui a confirmé qu'il s'agissait bien d'un amas galactique, est montré ci-dessus comme une bulle bleutée diffuse, superposée sur une image optique.
JKCS041 est vu aujourd'hui comme il était il y a 10 milliards d'années-lumière.

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La brillante nébuleuse de la Lagune héberge divers types d'objets astronomiques. En particulier un brillant amas ouvert d'étoiles et plusieurs régions de formation d'étoiles énergétiques.
A l'œil nu, la lumière de l'amas est dominée par une lueur rouge globale qui est provoquée par le gaz d'hydrogène, alors que les filaments sombres sont provoqués par absorption des denses bandes de la poussière.
L'image ci-dessus, du télescope Curtis-Schmidt, montre la nébuleuse par émission dans trois vraies couleurs spécifiquement émises par l'hydrogène, l'oxygène et le soufre.
La nébuleuse de la Lagune, également connue sous les noms de M8 et NGC 6523, se trouve à environ 5000 années-lumière de nous. On peut la trouver avec des jumelles dans la constellation du Sagittaire.

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La galaxie au centre est-elle reliée au quasar visible en haut à droite ? Les désaccords au sujet des systèmes comme celui-ci ont fait rage pendant des décennies et ont été employés pour contester les bases de la cosmologie moderne.
Certains pensent que le quasar Markarian 205 a été récemment éjecté de la galaxie NGC 4319, expliquant pourquoi le décalage vers le rouge élevé de Markarian 205 n'est pas indicatif de sa distance.
La plupart des astronomes croient, cependant, que les deux ne sont pas physiquement associés, et que le décalage vers le rouge élevé de Markarian 205 indique en effet qu'il s'allonge tout au long de notre univers.
Dans l'image ci-dessus, comme avec une branche d'arbre qui serait dirigée vers la Lune, leur juxtaposition est juste une coïncidence.

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Le mouvement des jets ultra-rapides sortant d'un système stellaire constitué d'un trou noir est maintenant mieux connu grâce aux observations de l'observatoire spatial en rayons X Chandra.
En 1998, la source rayons X XTE J1550-564 a subi un sursaut énorme. Les jets de matière ont envoyé des flots dans l'espace à une vitesse proche de celle de la lumière, heurtant le gaz environnant, le chauffant si fort qu'il brille en lumière X.
Les panneaux de gauche dans l'image ci-dessus montrent en rayons X que les points chauds se sont déplacés de plus de trois années-lumière dans le temps depuis l'explosion, avec le jet de gauche se fanant au-dessous de la détectabilité.
Le dessin à droite dépeint le système d'étoile binaire qui a probablement produit les jets, avec une étoile rouge normale à gauche déversant sa matière sur un disque d'accrétion autour du trou noir à droite. Les jets sont vraisemblablement émis le long de l'axe de rotation du trou noir.

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De quelle couleur est l'Univers ? Plus précisément, si les teintes de l'Univers entier étaient mélangées, à quelle couleur cela ressemblerait-il ?
La réponse, représentée ci-dessus, est une nuance de beige. Pour la déterminer, les astronomes ont numériquement fait la moyenne de la lumière émise par l'un des plus grands échantillons de galaxies jamais analysé : les 200.000 galaxies de l'enquête 2dF.
Dans un concours pour trouver le nom de la couleur, les propositions ont inclus skyvory (de "sky" et "ivory", soit ciel et ivoire), "univeige" (mélange de "univers" et "beige") et le gagnant : "cosmic latte", c'est-à-dire "lait cosmique".

Source : Apod.nasa.gov - Astronomy Picture of the Day

Ma, 'e uno Italiano que vinca, perche il cafè con latte ??

comme quoi c'est pas si dur de faire l'apod, mdr
çà me rappelle le "monochrome de Whiteman", des Inconnus (dans les 3 frères je crois)

La semaine dernière, la NASA a effectué l'essai du lancement d'une nouvelle fusée. Arès 1-X est la première fusée sans navette lancée du Centre Spatial Kennedy depuis la Saturn qui a envoyé des humains en orbite terrestre et jusqu'à la Lune dans les années 60 et 70.
La NASA teste Arès comme prélude au remplacement de la flotte des navettes spatiales vieillissantes. L'énorme poussée d'Arès 1-X peut emporter la massive fusée jusqu'à une vitesse verticale de zéro à plus de 100 km/h dedans en moins de 8 secondes. La fusée d'essai était plus longue qu'un terrain de football et a été recouverte de plus de 700 capteurs pour enregistrer les données qui permettront aux ingénieurs d'affiner les détails des futures fusées Arès.
Décrit ci-dessus, Arès 1-X s'élève vers l'espace tandis que la partie supérieure de la fusée est engloutie dans un collier de choc de gouttelettes d'eau probablement créées par la baisse soudaine de la pression atmosphérique.

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Des astéroïdes presque aussi gros que des planètes sont encore découvert dans notre système solaire. Il n'y a pas si longtemps, un astéroïde de plus de la moitié de la taille de Pluton s'est avéré orbiter à une distance à peine plus grande que la planète la plus éloignée de notre système solaire.
Dans l'animation ci-dessus, composée d'images prises par le télescope Oschin du Mont Palomar en Californie (Etats-Unis), le gros astéroïde se déplace par rapport aux étoiles en arrière-plan.
Quaoar, nom proposé par ses découvreurs, est l'un des plus grands astéroïdes découvert récemment qui errent dans la lointaine Ceinture de Kuiper. La taille de Quaoar a été résolue par des images du télescope spatial Hubble.
Quaoar est probablement un monde froid couvert de glace depuis lequel le Soleil ressemble seulement à étoile particulièrement lumineuse.

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Eta Carinae est une étoile massive, mais n'est plus aussi brillante qu'avant. Maintenant facilement visible seulement dans des jumelles ou un petit télescope, Eta Carinae a une histoire de spectaculaires hausses et baisses d'éclat.
Entourée d'une nébuleuse complexe en évolution, Eta Carinae est visible près du centre de cette image infrarouge en fausses couleurs, réalisée avec des données de Midcourse Space Experiment (MSX). Dans l'image, les tortueux et vaporeux filaments sont des nuages de poussière brillants aux longueurs d'onde infrarouges. Les astronomes présument qu'Eta Carinae explosera en supernova dans le million d'années à venir.

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Une des étoiles les plus brillantes du ciel abrite probablement des planètes. Fomalhaut, la 17ème étoile la plus brillante du ciel nocturne, est à seulement 22 années-lumière de nous mais n'a qu'une fraction de l'âge de notre Soleil.
Les observations récentes en infrarouge lointain, avec un détecteur refroidi à près de zéro kelvin, indiquent un disque de poussière entourant Fomalhaut qui a un trou au centre et un bord déformé. Le trou au centre indique que la poussière est tombée sur des planètes intérieures - probablement comme la Terre - tandis que la déformation du bord indique la force de gravité d'une planète comme Jupiter ou Saturne.
L'illustration ci-dessus montre à quoi pourrait ressembler le système planétaire poussiéreux de Fomalhaut près de la grande planète.

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Objet familier aux amateurs du ciel nocturne même équipés de petits télescopes, la nébuleuse de l'Anneau (M57) est à environ 2.000 années-lumière de nous dans la constellation de la Lyre.
L'anneau central couvre environ une année-lumière de diamètre, mais cette magnifique image longue pose - un effort de collaboration combinant les données de 3 télescopes différents – explore les boucles et les filaments de gaz se prolongeant beaucoup plus loin de l'étoile centrale de la nébuleuse.
Naturellement, dans cet exemple d'une nébuleuse planétaire, la matière brillante ne vient pas des planètes. Cette matière représente les couches externes expulsées d'une étoile de type solaire.
Cette remarquable image composite inclut les émissions d'hydrogène atomique dans la lumière visible (montrée en violet) et les émissions d'hydrogène moléculaire dans le proche infrarouge (montrée en rouge).
Visible en haut à droite est la galaxie spirale IC 1296, beaucoup plus lointaine.

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Le cratère Stickney, le plus grand cratère sur la lune martienne Phobos, a été appelé ainsi pour Chloe Angeline Stickney Hall, épouse du mathématicien et astronome Asaph Hall. Asaph Hall a découvert les deux lunes de la planète rouge en 1877.
Avec plus de 9 kilomètres de diamètre, Stickney fait près de la moitié du diamètre de la lune Phobos elle-même.
Cette image de Stickney, aux couleurs accentuées, a été enregistrée par la caméra HiRISE à bord de la sonde Mars Reconnaissance Orbiter lors de son passage à environ 6000 km de Phobos en mars 2008.

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L'étrange créature à droite sur la photo ci-dessus est un nuage de gaz connu sous le nom de globule cométaire. Ce globule, cependant, s'est rompu.
Les globules cométaires sont caractérisés par une tête poussiéreuse et une queue allongée. Ces structures ont des similitudes visuelles avec les comètes, mais en réalité ils sont très différents. Les globules sont souvent des lieux de naissance d'étoiles, et beaucoup montrent des étoiles très jeunes dans leur tête.
La raison de la rupture de la tête de cet objet n'est pas tout à fait connue. La galaxie à gauche est très lointaine dans la distance et s'il se trouve à proximité de CG4 sur la photo, c'est dû au hasard de la perspective.

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Où les étoiles se forment quand les galaxies se heurtent ? Pour le savoir, les astronomes ont imagée la fusion de galaxie NGC 2623 en haute résolution avec le télescope spatial Hubble en 2007.
L'analyse des images de Hubble et des images de NGC 2623 en lumière infrarouge par le télescope spatial Spitzer, en rayons X par MMX-Newton et UV par GALEX, indiquent que deux galaxies, à l'origine spirales, semblent maintenant considérablement évoluées et leurs noyaux ont fusionné en un cœur galactique actif (AGN).
La formation d'étoiles continue autour de ce noyau près du centre de l'image ci-dessus, le long des queues de marée gravitationnelle visibles de chaque côté.
NGC 2623, également connu sous le nom d'Arp 243, a un diamètre d'environ 50.000 années-lumière et se trouve à environ 250 millions d'années-lumière de nous vers la constellation du Cancer.

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L'autre côté du plan des anneaux de Saturne est maintenant directement éclairé par le Soleil. Pendant les 15 années précédentes, le côté sud de Saturne et ses anneaux ont été directement éclairés, mais depuis l'équinoxe de Saturne en août, l'orientation s'est inversée.
Sur la photo ci-dessus du mois dernier, le vaisseau spatial Cassini, en orbite autour de Saturne, a capturé la planète géante et ses anneaux majestueux peu après l'équinoxe. On y voit Saturne et sa lune Téthys en phase croissante invisible depuis la terre.

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Pour célébrer les réalisations télescopiques de Galilée et en tant qu'élément de l'année internationale de l'astronomie, la NASA a employé sa flotte entière de ses grands observatoires spatiaux, et Internet, pour nous montrer le centre de notre galaxie.
Ci-dessus, avec plus de détails et de couleurs jamais vus avant, sont les images combinées du télescope spatial Hubble en lumière visible, du télescope spatial Spitzer en infrarouge, et de l'observatoire Chandra en rayons X.
De vastes gisements d'étoiles sont visibles, avec de denses amas d'étoiles, de longs filaments de gaz et de poussière, des restes de supernova en expansion, et l'environnement énergétique du probable trou noir au centre de notre galaxie.

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La nébuleuse du Cocon, cataloguée comme IC 5146, est une nébuleuse d’une beauté saisissante située à environ 4.000 années-lumière de nous vers la constellation du Cygne. A l'intérieur de celle-ci se développe un amas ouvert d’étoiles.
Comme d'autres pouponnières stellaires, la nébuleuse du Cocon abrite également une brillante nébuleuse rouge par émission, des nébuleuses bleues par réflexion, et des nébuleuses sombres d'absorption.
Ces trois processus créent une foule de couleurs dans cette image prise par le télescope Canada-France-Hawaï (CFHT) à Hawaï, Etats-Unis.

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Les nuages de poussière et les étoiles nouvellement nées brillent aux longueurs d'onde infrarouges dans cette magnifique vue en fausses couleurs du télescope spatial Spitzer.
On y voit une des plus proches régions de formation d'étoiles, une partie du complexe nuage d'Ophiuchi Rho situé à environ 400 années-lumière de nous au sud de la constellation d'Ophiuchus.
Après leur formation dans un grand nuage d'hydrogène moléculaire froid, les étoiles nouvellement nées chauffent la poussière environnante pour produire la lueur infrarouge.
Une exploration détaillée a détecté quelques 300 étoiles récemment formées et on estime leur âge moyen à seulement 300.000 ans - extrêmement jeunes comparé à notre Soleil âgé de 5 milliards d'années.

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Les rafales de vents solaires et le souffle des particules chargées arrivant du Soleil ont apporté une magnifique aurore attendue. Trygve Lindersen, près de la ville de Toemmerass en Norvège, a saisi avec un appareil photo numérique cette pittoresque apparition le 6 octobre 2002.
De cette perspective, les rideaux de lumière verte ont formé un anneau qui semblait planer, comme un fantôme, juste au-dessus des arbres au premier plan. Mais l'anneau de lumière était en réalité à une altitude de 100 kilomètres au-dessus des arbres et la lueur verdâtre, produites par des molécules d'oxygène agissant l'un sur l'autre avec les électrons énergétiques, brillait par fluorescence près de la frontière avec l'espace.

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Excepté les anneaux de Saturne, la nébuleuse de l'Anneau (M57) est probablement la couronne céleste la plus célèbre. La vue que nous avons de cette nébuleuse planétaire, d'aspect simple et gracieux, est vraisemblablement due à la perspective – car elle est en réalité un nuage de gaz en forme de tonneau élargi par une étoile centrale mourante.
Les astronomes ont produit cette image fine à partir des observations du télescope spatial Hubble utilisant des couleurs naturelles pour indiquer la température du linceul gazeux stellaire.
La nébuleuse de l'Anneau a un diamètre d'environ une année-lumière et se situe à 2.000 années-lumière de nous dans la constellation de la Lyre.

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M83, l'une des galaxies spirales les plus proches de notre galaxie la Voie Lactée à une distance de 15 millions d'années-lumière, semble être relativement normal. Mais en se rapprochant du cœur de M83 avec les derniers télescopes, nous pouvons voir que le centre est un endroit énergétique et surpeuplé.
Visibles dans l'image ci-dessus - de la caméra WFC3 du télescope spatial Hubble récemment rajeuni - sont les brillantes étoiles nouvellement nées et les bandes géantes de poussière sombre.
Une image avec une perspective semblable de l'observatoire en rayons X Chandra montre que la région est également riche en petites sources lumineuses et gaz très chaud, ce qui correspond à environ 60 souffles de supernova.

Source : Apod.nasa.gov - Astronomy Picture of the Day