Image du jour (2018 à 2020)

La petite constellation nordique du Triangle abrite cette magnifique galaxie spirale. Cataloguée comme M33, on trouve parmi ses noms populaires la galaxie de la Roue de Feu ou juste la galaxie du Triangle. M33 se situe à environ 3 millions d'années-lumière de nous. Son diamètre de plus de 50.000 années-lumière en fait la troisième plus grande galaxie du Groupe Local de galaxies après la galaxie d'Andromède (M31) et notre Voie Lactée.
L'image composite ci-dessus exhibe joliment dans les bras spiraux des amas d'étoiles bleus et des régions de formation d'étoiles roses de la galaxie M33.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2018)

Ce paysage céleste coloré, riche en nébuleuses, couvre environ trois pleines lunes (1,5 degrés) le long du plan de notre galaxie, la Voie Lactée, dans la constellation de Céphée.
Près du bord du massif nuage moléculaire de la région à quelques 2.400 années-lumière de nous, la brillante région d'émission rougeâtre Sharpless (Sh) 155 qui se trouve en haut à gauche, est aussi connu comme la nébuleuse de la Caverne.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2018)

Pendant 55 nuits consécutives, le ciel de la Méditerranée était dégagé cet été, du 1er juillet au 24 août 2018. Une exposition de chaque nuit est incorporée à cette image composite télescopique et au téléobjectif, afin de suivre la brillante planète Saturne alors qu'elle errait dans les cieux du soir.
Au cours du mois d'août, le mouvement saisonnier apparemment rétrograde de la planète extérieure a ralenti et a dérivé vers la droite, encadré par un fond étoilé. Cela la rapprochait de la ligne de mire de la Voie lactée Centrale et des magnifiques nébuleuses de la Lagune (M8) et de Trifides (M20). Bien sûr, Titan, la plus grande lune de Saturne, était également de la partie, tournoyant autour de la géante gazeuse sur une orbite longue de 16 jours.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2018)

Pourquoi cette étoile à neutrons est-elle décentrée ? Récemment, une seule étoile à neutrons a été trouvée dans les débris laissés par une ancienne explosion de supernova. « L’étoile à neutron solitaire » en question est le point bleu situé au centre de la nébuleuse rouge, dans la partie inférieure gauche de E0102-72.3.
Dans l'image composite ci-dessus, le bleu représente la lumière des rayons X capturée par l'observatoire Chandra de la NASA, tandis que le rouge et le vert représente la lumière optique capturée par le très grand télescope de l'ESO au Chili et le télescope spatial Hubble de la NASA en orbite. La position déplacée de cette étoile à neutrons est inattendue car on pense que la dense étoile est le noyau de l’étoile qui a explosé dans la supernova et a créé la nébuleuse externe. Il se peut que l'étoile à neutrons de E0102 ait été éloignée du centre de la nébuleuse par la supernova elle-même, mais il semble alors étrange que l'anneau rouge plus petit soit resté centré sur l'étoile à neutrons. Alternativement, la nébuleuse externe aurait pu être expulsée selon un scénario différent, impliquant peut-être même une autre étoile.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2018)

Un nouveau chapitre dans le vol spatial a commencé en juillet 1950 par le lancement de la première fusée depuis Cap Canaveral en Floride : Bumper V-2. Montré ci-dessus, Bumper V-2 était un programme ambitieux d’un missile V-2 coiffé d’une fusée WAC Caporal. L'étape supérieure pouvait atteindre une altitude de presque 400 kilomètres, plus haut que les vols des navettes spatiales aujourd'hui.
Lancée sous la direction de la compagnie General Electric, Bumper V-2 a été utilisée principalement pour des systèmes de fusée d'essai et pour la recherche atmosphérique. Sept ans après, l'Union Soviétique a lancé Spoutnik I et Spoutnik II, les premiers satellites placés en orbite terrestre. En réponse en 1958, les USA ont créé la NASA.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2018)

Après que le passage de l'ouragan Florence sur la côte du New Jersey, aux États-Unis, le mois dernier, quelque chose d'assez inhabituel est apparu dans la direction opposée à celle du Soleil : une salve d'arcs-en-ciel. Pendant une demi-heure, pour le plus grand plaisir du photographe et de sa fille, des arcs-en-ciel surnuméraires comme vibrants sont apparus et se sont estompés et au moins cinq ont pu être capturés.
Les arcs-en-ciel surnuméraires ne se forment que lorsque les gouttelettes d'eau tombantes sont presque toutes de la même taille et mesurent généralement moins d'un millimètre de diamètre. Ensuite, la lumière du soleil ne se reflète pas seulement de l'intérieur des gouttes de pluie, mais interfère dans un phénomène de vague similaire aux ondulations sur un étang quand une pierre y est projetée.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2018)

Les bijoux ne brillent pas aussi fort que les étoiles. Et presque chaque endroit de cette boîte à bijoux étincelante d'une image du télescope spatial Hubble est une étoile. Maintenant, certaines étoiles sont plus rouges que notre soleil et d'autres plus bleues, mais toutes sont beaucoup plus éloignées.
Bien qu'il faille environ 8 minutes de lumière pour atteindre la Terre depuis le Soleil, NGC 1898 est si loin qu'il faut environ 160.000 ans à sa lumière pour arriver ici. Cette énorme boule d'étoiles, NGC 1898, s'appelle un amas globulaire et réside dans la barre centrale du Grand Nuage de Magellan (LMC), une galaxie satellite de notre grande galaxie de la Voie lactée.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2018)

Ce n'est pas un jeune croissant de Lune au-dessus des collines de l'horizon ouest au coucher du soleil. C'est Vénus en phase de croissant. À environ 54 millions de kilomètres et moins de 20% éclairé, il a été capturé au télescope et à la caméra le 30 septembre près de Bacau, en Roumanie.
Le phare lumineux céleste se perd maintenant dans le crépuscule du soir, ses jours en tant qu'Étoile du Soir en 2018 se terminant. À la fin du mois, un croissant de Vénus réapparaîtra à l'est, se levant juste avant le Soleil en tant que brillante étoile du matin.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2018)

À quoi ressemble une aurore pour une grenouille ? "Impressionnant !" est la réponse probable, suggérée par cet instantané imaginatif pris le 3 octobre à Kiruna, en Suède. Kiruna, qui est fréquenté par les aurores boréales, se situe au nord du cercle polaire arctique, en Laponie, et souvent sous l'ovale auroral entourant le pôle nord géomagnétique de la Terre.
Pour créer une vue se rapprochant du point de vue d'une grenouille, la photographe a allumé lampe de poche de son téléphone et l'a placée sur le sol, face vers le bas, en posant l'objectif de son appareil photo sur le dessus. Les "diamants" au premier plan sont des cailloux glacés juste devant l'objectif, éclairés par la lampe de poche. Reflétant les aurores boréales scintillantes, le "lac" est une flaque d'eau gelée. Au loin se trouve l'Observatoire de Bengt Hultqvist.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2018)

De petits morceaux de cette comète gris verdâtre ont traversé l'atmosphère terrestre début octobre. Plus précisément, les débris du noyau en érosion de la comète 21P/Giacobini-Zinner, sur la photo, sont à l’origine de la pluie de météores annuelle des Draconides, qui a culminé le soir du 8 octobre. Mais le passage de 21P le mois dernier près de l'orbite terrestre n’a pas augmenté le taux de météores des Draconides cette année. Les taux de météores lors des pics sont notoirement difficiles à prévoir et ceux des Draconides ont été assez impressionnants en 1933, 1946 et 2011.
Ci-dessus, la comète 21P a gracieusement posé entre les nébuleuses de la Rosette (en haut à gauche) et du Cône (en bas à droite) fin septembre avant de se diriger vers de l'orbite de Jupiter. Elle reviendra dans environ six ans et demi.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2018)

Beaucoup de galaxies spirales ont des barres en leur centre. On pense que notre propre galaxie, la Voie Lactée, doit avoir une barre centrale modeste.
La galaxie spirale barrée NGC 1672, vue ci-dessus, a été capturée avec des détails spectaculaires dans cette image prise par le télescope spatial Hubble. Elle a un diamètre de 75.000 années-lumière.A une distance de 60 millions d’années-lumière, elle est visible dans la constellation de la Dorade.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2018)

Parfois, la surface de notre soleil semble danser. Par exemple, à la mi-2012, le satellite Solar Dynamic Observatory de la NASA, en orbite autour du soleil, a imagé une impressionnante protubérance qui semblait se dérouler comme un plongeur acrobatique. L'explosion a été capturée sous une lumière ultraviolette dans la vidéo en accéléré couvrant environ trois heures. Un champ magnétique en boucle dirigeait le flux de plasma chaud sur le soleil.
L’importance de la danse est énorme : la Terre entière s’intégrerait facilement sous l’arche du gaz chaud. Une protubérance au repos dure généralement environ un mois et peut se produire lors d'une éjection de masse coronale (CME) expulsant des gaz chauds dans le système solaire. Contrairement à 2012, la surface du Soleil est nettement plus sereine cette année, avec moins de protubérances en rotation, car elle est proche du minimum de son cycle magnétique de 11 ans.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2018)

Le 7 octobre, après le coucher du soleil, le lancement d'une fusée Falcon 9 de SpaceX a ébloui les téléspectateurs le long de la côte ouest des États-Unis. Depuis la base aérienne de Vandenberg, en Californie, le premier étage du Falcon 9 est ensuite revenu sur une zone d'atterrissage à moins de 400 mètres du site de lancement, moins de 8 minutes après le décollage. Les images du lancement de la fusée et l'atterrissage du premier étage (à gauche) sont regroupés ci-dessus, enregistrée par une caméra fixe activée par le son installée sur une colline voisine.
Cette fusée Falcon 9 a acheminé sa charge utile, un satellite d'observation de la Terre mis au point par l'agence spatiale nationale argentine, sur une orbite terrestre basse. Bien sûr, le premier étage du Falcon 9 avait déjà volé. Après un lancement de Vandenberg le 25 juillet, il a été récupéré après avoir atterri sur le navire de drones autonome Just Read the Instructions.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2018)

Ce nuage éclairé de gaz et de poussière a ébloui les observateurs occasionnels de la côte ouest des États-Unis le 7 octobre dernier. Prise à environ cinq kilomètres au nord de la base aérienne de Vandenberg, l’image suit les panaches et les premier et deuxième étages d'une fusée Falcon 9 SpaceX s'élevant dans les cieux du sud de la Californie au début de la soirée.
Au crépuscule, la fumée rougeâtre qui dérive au premier plan à droite provient de l'ascension initiale de la fusée. Les panaches filamenteux en expansion, bleu et orange, proviennent de la séparation des premier et deuxième étages et du premier stade de l’éclat de rappel, toujours au soleil à des altitudes extrêmes. Mais le point brillant au-dessous du centre correspond au deuxième étage lui-même qui se dirige vers sa cible lointaine, accélérant jusqu’à atteindre une vitesse orbitale. Les propulseurs à impulsions forment le V à l'envers du haut, car ils guident le premier étage réutilisable du Falcon 9 vers le site d'atterrissage.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2018)

Kona, un jeune boxeur, est un chien qui adore patauger dans les vagues le long de la plage de Solana, près de San Diego. Mais il s’est arrêté ici, brièvement, lors d’une chaude soirée le 7 octobre dernier, en compagnie de deux amis. Ensemble, ils regardent vers le ciel dans cet instantané, éblouis par le vol d’une fusée Falcon 9.
Sur le bord de mer, leur vue montre les gaz d'échappement éclairés par le soleil provenant des premiers propulseurs de la fusée alors qu'elle retourne à la base aérienne de Vandenberg, son site de lancement situé à plus de 250 km au nord.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2018)

Depuis quand Orion est-il devenu si flashy ? Cette interprétation colorée d'une partie de la constellation d'Orion provient de la lumière rouge émise par l'hydrogène et le soufre (SII), et de la lumière bleu-verte émise par l'oxygène (OIII). Sur l'image ci-dessus, les couleurs sont ensuite numériquement accentuées à être indicatif de leurs origines élémentaires - mais aussi plus frappant à l'œil humain. L'image à couper le souffle a été soigneusement composée de centaines d'images qui ont été combinées et qui représentent près de 200 heures de pose.
La boucle de Barnard, à travers le fond de l'image, apparaît au berceau des constructions interstellaires comprenant le complexe de la nébuleuse d'Orion vue juste à droite du centre, les nébuleuses de la Flamme et de la Tête de Cheval sont plus au centre. On pense que la boucle de Barnard doit sa forme à une explosion de supernova qui a eu lieu il y a environ deux millions d'années.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2018)

e loin, la nébuleuse entière ressemble à un aigle. En regardant plus attentivement cette nébuleuse, on voit que la brillante région est réellement une fenêtre au centre d'une plus grande coquille de poussière sombre. Par cette fenêtre, apparaît un amas ouvert d’étoiles en formation. Dans cette cavité, de grands piliers et des globules ronds de poussière sombre et de gaz moléculaire froid restent là où les étoiles poursuivent leur formation.
La nébuleuse par émission de l'Aigle, étiquetée M16, se trouve à environ 6500 années-lumière de nous, a une envergure d’environ 20 années-lumière, et est évidente avec des jumelles vers la constellation de Serpent. Cette image nécessite plus de 25 heures de pose et associe trois couleurs spécifiques émises par le soufre (coloré en rouge), l’hydrogène (jaune) et l’oxygène (en bleu).

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2018)

Jupiter a l'air un peu différent en lumière ultraviolette. Pour mieux interpréter les mouvements des nuages de Jupiter et pour aider la sonde Juno de la NASA à comprendre le contexte planétaire des petits champs qu’il voit, le télescope spatial Hubble a pour objectif d’observer régulièrement l’image du géant jovien dans son ensemble.
En 2017, Jupiter apparaît différemment dans une lumière ultraviolette proche, en partie parce que la quantité de lumière réfléchie par le soleil est distincte, ce qui donne des hauteurs de nuages différentes et des éclaircies divergentes. Dans le proche UV, les pôles de Jupiter apparaissent relativement sombres, de même que sa grande tache rouge et un ovale blanc visuellement plus petit à droite. Les orages String of Pearl, plus à droite, apparaissent ici (en fausse couleur) rose. La plus grande lune de Jupiter, Ganymède, apparaît en haut à gauche.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2018)

Messier 15 est un immense essaim de plus de 100.000 étoiles. Un vestige vieux de 13 milliards d'années des premières années formatrices de notre galaxie. C'est l'un des 170 amas d'étoiles globulaires qui parcourent encore le halo de la Voie Lactée.
Centrée sur cette vue télescopique nette, M15 se trouve à environ 35.000 années-lumière vers la constellation de Pégase. Son diamètre est d'environ 200 années-lumière. Mais plus de la moitié de ses étoiles se trouvent dans les 10 années-lumière centrales environ, l’une des concentrations les plus denses d’étoiles connues. Les mesures réalisés par Hubble des vitesses croissantes des étoiles centrales de M15 montrent qu'un trou noir massif se situe au centre du dense amas globulaire M15.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2018)

Le 10 octobre, un nouveau télescope reflétait la lumière du soleil couchant à l'observatoire Roque del Los Muchachos sur l'île canarienne de La Palma. Les segments du miroir couvrent un diamètre de 23 mètres et sont montés dans la structure ouverte du télescope à grande échelle 1, inauguré en tant que premier composant du réseau de télescopes Cherenkov (CTA).
La plupart des télescopes au sol sont gênés par l'atmosphère qui brouille, disperse et absorbe la lumière. Mais les télescopes Cherenkov sont conçus pour détecter les rayons gamma de très haute énergie et nécessitent en réalité le fonctionnement de l'atmosphère. Lorsque les rayons gamma ont un impact sur la haute atmosphère, ils produisent des gerbes de particules à haute énergie. Une grande caméra rapide au foyer commun permet d’éclairer les brefs éclairs de lumière optique, appelée lumière Cherenkov, créée par les particules de la douche aérienne. Les éclairs révèlent la synchronisation, la direction et l’énergie des rayons gamma entrants. À terme, plus de 100 télescopes Cherenkov sont prévus pour le CTA dans des hémisphères nord et sud de la planète Terre.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2018)

Pris vers minuit local, le panorama de cette nuit d'automne suit l'arc de la Voie Lactée traversant l'horizon nord depuis les Hautes Fagnes, dans le parc naturel de l'Eifel, à la frontière de la Belgique et de l'Allemagne. En regardant d'ouest en est (de gauche à droite), on observe les étoiles de l’été céder le pas à celles qui vont bientôt dominer les nuits d'hiver. Mars, le spectateur le plus éclairé à l'extrême gauche, brille toujours face aux lumières presque débordantes de la ville le long de l'horizon sud-ouest.
Les brillantes étoiles Altaïr, Deneb et Vega forment le triangle d’été du ciel septentrional, à cheval sur la Voie lactée à gauche du centre. Une partie de l'hexagone d'hiver Capella et Aldébaran, ainsi que le magnifique amas d'étoiles des Pléiades brillent au nord-est. La ligne de vue le long de la promenade des randonneurs mène presque directement à la Grande Casserole de la Grande Ourse, un astérisme circumpolaire issu de ces latitudes nord. Suivez les étoiles de la Grande Casserole jusqu'à Polaris et le pôle nord céleste presque centré au-dessus. Andromède, l'autre grande galaxie du ciel, se trouve près du sommet du cadre.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2018)

La nébuleuse de l'Œil de Chat (NGC 6543) est l'une des nébuleuses planétaires les plus connues du ciel. Nous la voyons au centre de cette image en fausses couleurs et traitée pour montrer l'énorme mais extrêmement faible halo de matière gazeuse, de plus de trois années-lumière de diamètre, qui entoure la nébuleuse planétaire familière.
Quelques nébuleuses planétaires se sont avérés avoir des halos comme celui-ci, probablement formés de la matière expulsée lors d’épisodes actifs de l’évolution de l’étoile. Alors qu’on pense que la phase de nébuleuse planétaire dure environ 10.000 années, les astronomes estiment l'âge des parties filamenteuses externes de ce halo de 50.000 à 90.000 ans.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2018)

Un météore, une comète et une nébuleuse ont tous été capturés dans cette seule image. Le météore le plus proche et le plus fugace est le météore en haut à droite - il était visible pendant moins d'une seconde. Le météore, qui s'est désintégré dans l'atmosphère terrestre, était probablement un petit fragment de débris du noyau de la comète 21P/Giacobini-Zinner, comme par hasard la comète capturée dans la même image. La comète 21P se distingue par sa longue traînée de poussière qui s’étend horizontalement au centre de l’image. Cette comète était visible depuis des mois avec des jumelles, mais elle est en train de s'estomper alors qu’elle repart vers l'orbite de Jupiter.
La plus éloignée, à 3.500 années-lumière, est IC 2177, la nébuleuse de la Mouette, visible à gauche. La nébuleuse, relativement vaste, dont l'envergure est de 250 années-lumière, restera probablement visible pendant des centaines de milliers d'années. Les longues poses, prises il y a environ deux semaines dans la ville d'Iwaki au Japon, ont été combinées pour montrer les éléments les plus faibles de l'image.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2018)

Apollo 12 a été la deuxième mission visant à poser des humains sur la Lune. Le site d'atterrissage a été choisi pour se trouver à proximité de Surveyor 3, une sonde spatiale qui a atterri sur la Lune trois ans plus tôt. Sur la photo ci-dessus, prise par le pilote du module lunaire Alan Bean, le commandant de mission Pete Conrad remue le vaisseau spatial Surveyor pour voir à quel point il est stable. Le module lunaire est visible au loin.
Apollo 12 a ramené de nombreuses photographies et roches lunaires. Parmi les étapes franchies par Apollo 12, citons le déploiement de l’Apollo Lunar Surface Experiments Package, qui a mené à bien de nombreuses expériences, dont une visant à mesurer le vent solaire.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2018)

Comment les galaxies se sont-elles formées dans l'univers primitif ? Pour aider à le découvrir, les astronomes ont étudié une zone de ciel nocturne sombre avec le réseau de très grands télescopes au Chili pour trouver et compter les galaxies formées lorsque notre univers était très jeune. L'analyse de la distribution de certaines galaxies lointaines (décalage vers le rouge proche de 2,5) a révélé un énorme conglomérat de galaxies s'étendant sur 300 millions d'années lumière et contenant environ 5.000 fois la masse de notre galaxie de la Voie Lactée. Surnommé Hyperion, il s'agit actuellement du proto-superamas le plus volumineux et le plus massif jamais découvert dans l'univers primitif. Un proto-superamas est un groupe de jeunes galaxies qui s'effondrent par gravitation pour créer un superamas, qui est lui-même un groupe de plusieurs amas de galaxies, qui est lui-même un groupe de centaines de galaxies, qui est lui-même un groupe de milliards d'étoiles.
Dans la visualisation présentée ci-dessus, les galaxies massives sont représentées en blanc, tandis que les régions contenant une grande quantité de galaxies plus petites sont ombrées en bleu. Identifier et comprendre ces grands groupes d’anciennes galaxies contribue à la compréhension par l'humanité de la composition et de l'évolution de l'univers dans son ensemble.

Source : Astronomy Picture of the Day


IMAGES DU JOUR (Année 2018)